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CIRCUITMORTEL - Page 143

  • DAVID SAREL GENTLEMAN DRIVER

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    Du VHC au rallye, au championnat LMS et aux 24 Heures du Mans, l’avocat pilote David Sarel vit pleinement sa passion du pilotage.

    Qu’est-ce qu’un gentleman driver ? D’abord un pilote. Peu importe que ses revenus ne proviennent pas de la course et qu’il exerce un autre métier. Dès qu’il s’installe dans un baquet et sangle son harnais, le gentleman driver donne le maximum afin de piloter sa machine à la limite.

    Car gentleman driver ne signifie nullement pilote de seconde zone. Certains se montrent d’ailleurs redoutables derrière un volant. Et lorsqu’on applique strictement le critère de cette qualification, c’est à dire l’exercice d’un autre métier parallèlement à la course, des noms auxquels s’attachent de très beaux palmarès apparaissent. Par exemple Bob Wollek (simultanément concessionnaire automobile et un des meilleurs pilotes d’endurance du monde), Fabien Giroix, Jean-Pierre Malcher, Jean-Louis Bousquet, Lucien Guitteny, David Hallyday, Hervé Poulain et bien d’autres encore.

    Certains offrent en outre au sport automobile de superbes cadeaux imaginés grâce à leurs compétences professionnelles spécifiques. Hervé Poulain, commissaire priseur et homme de goût, fit ainsi rouler de véritables œuvres d’art sur la piste du Mans, notamment les BMW décorées par Calder et Stella à la fin des sixties. Il récidiva au Mans Classic 2004. A son initiative, la Jaguar Type E dont il partageait le volant avec Jean-François Bentz fut habillée par la créatrice de mode Chantal Thomass. Une couleur rose, un dessin de lèvres pulpeuses et des sourcils qu’aurait enviés Betty Poop conféraient à l’ensemble une touche sensuelle de nature à toucher le cœur des donateurs appelés par l’équipage à aider l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque Enfants du Monde qui permet aux enfants défavorisés atteints de malformation cardiaque d’être opérés ailleurs quand l’intervention s’avère impossible dans leur pays d’origine. Les gentlemen drivers ont du cœur. Et pas seulement lorsqu’il s’agit de freiner tard ou de réaliser des dépassements osés.

    David Sarel correspond parfaitement à la définition du gentleman driver. Durant la semaine, il s’occupe de ses clients. Le week-end , il troque sa robe d’avocat pour sa combinaison de pilote et plaide sa propre cause ainsi que celle du Team Vivia sur les circuits ou les routes de rallyes.

    Certes, David est un personnage de fiction. Mais j’ai toujours pensé que comme l’affirma Serge Dallens, « les personnages de fiction vivent dans un monde parallèle où ils entraînent les lecteurs ». David Sarel fait déjà partie de mon univers, puisque c’est moi qui écris ses aventures. J’espère qu’il intégrera bientôt le vôtre, si ce n’est déjà fait.

    La plupart des fictions où apparaît David Sarel se déroulent dans l’univers de la course automobile. Parmi ses principaux clients figurent des pilotes professionnels, des constructeurs automobiles et des écuries.

    D’autres nouvelles (au sens littéraire de courtes fictions) et docu-fictions dont il est le héros sont en ligne dans les archives de ce blog.

    N’hésitez pas non plus à lire les romans de Thierry Le Bras dont l’avocat –pilote David Sarel est le personnage principal : « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).

  • A quand les belles GT en Mondial des Rallyes ?

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    Photos de Adrien Bert, équipe Bastien Brière et Thierry Le Bras

    Pas de GT dans les manches du championnat du monde, confirme la FIA. Dans son numéro du 7 novembre 2007, AUTOhebdo regrette cette décision négative pour l’image globale du WRC.

    C’est vrai qu’elles sont superbes ces GT qui enchantent les circuits ainsi que les routes des championnats de France et d’Espagne des Rallyes.

    Durant la première moitié des années 80, nous avons admiré leurs ascendantes dans de nombreuses épreuves. Pourquoi nous refuser ce plaisir aujourd’hui ?
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    Vous aimez les émotions que procurent les plus belles automobile et la compétition ? Vous souhaitez les retrouver dans des fictions ?

    C’est possible, découvrez les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel :
    - des nouvelles (fictions courtes) et des docu-fictions sont en ligne dans les archives de ce blog ;
    - les romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).

  • La PORSCHE 914/6, voiture passion

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    CIRCUIT MORTEL, C’EST AUSSI LE RENDEZ-VOUS DE TOUS LES PASSIONNÉS DE VOITURES PASSIONS

    Vous avez des souvenirs liés à la Porsche 914/6 ? Laissez vos commentaires !

    Il existe des voitures surdouées qui passent auprès d’une grande carrière sportive. Tel fut sans doute le cas de la Porsche 914/6. Au début des seventies, Porsche s’interrogea sur son avenir en compétition. Le modèle piloté par Guy Chasseuil et Claude Ballot-Léna avait terminé sixième au scratch et gagné en GT aux 24 Heures du Mans lors de l’édition 1970 perturbée par la pluie. Pas mal pour une voiture équipée d’un petit moteur de 220 cv ! Dans des conditions difficiles, la 914/6 avait supplanté les 911 S et les Corvette qui n’appréciaient guère l’adhérence précaire.

    Le Marathon de la route la même année consacra la petite nouvelle. Au bout des 86 heures de l’épreuve disputée sur le grand circuit du Nürburgring, les trois 914/6 engagées occupaient tout simplement les trois premières places.

    Sa carrière bascule sur les spéciales du Monte-Carlo

    Au Monte-Carlo 1971, Porsche en engagea trois, comme au Marathon. Les voitures manquaient de mise au point. Gérard Larrousse était un de leurs pilotes. Il décela un potentiel énorme mais souligna le besoin de développement et suggéra un travail sur la direction qui était trop lourde. Les ingénieurs de Porsche demandèrent à Waldegaard ce qu’il en pensait. Les bras de bûcheron du grand Bjorn ne souffraient pas du poids de la direction. Par contre, il préférait la bonne vieille 911 qu’il connaissait par cœur à sa cadette. Grand pilote sur le terrain mais moins sensible que son équipier français au développement d’une voiture, Bjorn ne sentait rien à améliorer sur la 914/6. Au Monte-Carlo, il réalisa de meilleurs temps que Gérard Larrousse, sans doute beaucoup parce que son physique lui permettait de ne pas souffrir du poids de la direction. Larrousse et Andersson abandonnèrent tous les deux sur problèmes d’embrayage. Waldegaard se classa troisième après avoir remporté 9 spéciales.

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    Porsche décida pourtant de revenir à la 911 S, d’autant que la 914/6 ne connaissait pas un succès énorme auprès de la clientèle. Trop carrée, trop différente du style 911, et standing cassé par l’existence d’une version 2 litres d’origine Volkswagen, tels furent les principaux handicaps de la 914/6. La clientèle traditionnelle Porsche redouta de se faire assimiler à de vulgaires utilisateurs de la populaire « VolksPorsche ».

    Quand on y réfléchit pourtant, la 914/6 adoptait avec plusieurs années d’avance la structure de la Stratos qui domina longtemps les rallyes mondiaux : une GT à moteur central, construite en fonction d’un équilibre des masses idéal. Porsche a-t-il raté l’occasion de développer l’arme absolue dans la discipline ? J’en suis assez convaincu.

    A défaut d’avoir construit le palmarès qu’elles méritaient, les 914/6 font désormais le bonheur des pilotes de VHC.

    Vous pouvez également me retrouver sur http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/ , http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Porsche, un triomphe économique, sportif et marketing  http://bit.ly/Op7Cuk

     

    Quand la 908 était une Porsche et la R 15 une Renault  http://bit.ly/1KSycoY

     

    Des Porsche à l’honneur dans ce roman  http://bit.ly/1MOKOyc

     

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    Thierry Le Bras