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Sport - Page 117

  • DES GOÛTS ET DES COULEURS

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    La course automobile, le bonheur absolu !

    Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours considéré la course automobile comme quelque chose de très important dans ma vie. Durant mon enfance, mon héros était Jim Clark, pas une star du rock. Plus tard, j’ai suivi de très près les performances des pilotes de ma génération, notamment Didier Pironi.

    Les 24 Heures du Mans représentent à mes yeux une fête bien plus importante que Noël ou le 1er de l’An.

    J’ai couru quelques saisons en course de côte, et si j’ai rangé ma combinaison malgré des victoires de classe régulières, ce fut uniquement à cause des difficultés à concilier la course avec mes obligations professionnelles et le budget de plus en en plus important qu’elle exigeait.
     
    La course avant tout

    Jean-Luc Pailler, le plus titré des pilotes de Rallycross, qui a préfacé l'édition 2005 de mon roman Circuit Mortel à Lohéac, m’a dit un jour, « on n’a que de bons souvenirs en course automobile ». C’est bien ce que je pense aussi.

    Ce n’est pas par hasard si j’ai réalisé la biographie officielle d’Olivier Panis et si plusieurs héros récurrents de mes romans, à commencer par David Sarel, évoluent dans le milieu du sport automobile.

    Mais tout le monde ne considère pas la course de la même manière. Les recettes du bonheur ne sont pas universelles. Une séance de dédicaces à la Bibliothèque du Lude m’en apporta une nouvelle preuve. Une semaine avant les 24 Heures, j’étais invité à présenter mon roman  Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans. Le scénario tourne autour de la participation d’une écurie aux 24 Heures. Le dénouement intervient pendant l’épreuve. Donc, tour naturellement, la discussion s’orienta autour de la course et des pilotes.

    Incroyable mais vrai

    Un journaliste sarthoise fit part de ses observations sur la façon dont la course était vécue par les femmes de pilotes et leurs enfants. La problématique est abordée dans mon roman dans la mesure où les comportements des épouses des pilotes de l’écurie diffèrent. Certaines acceptent très bien cette vie. D’autres en souffrent. Et mes pilotes, qui sont par définition des égoïstes comme tous ceux qui pratiquent ce sport, ne renonceront pas à la compétition. Elles le savent très bien.

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     L’intervenante nous raconta sa propre expérience. Elle n’est pas mariée à un pilote, mais fille de pilote. Et là, son opinion fut comme un choc. Son père, chef d’entreprise, connut des hauts et des bas, comme la plupart des patrons. Lorsque les affaires marchaient fort, il courait et envoyait ses enfants dans les meilleures écoles privées. Mais lorsque le commerce se ralentissait, il vendait la voiture de course et inscrivait sa progéniture à l’école publique de la petite commune où habitait la famille.

     « Nous, les enfants, nous préférions les périodes de vaches maigres à celle de vaches grasses,témoigna cette dame, par ailleurs charmante et excellente conteuse. Quand mon père n’avait pas d’argent, nous étions tous à la maison. Nous allions en classe avec nos copains. Nous passions les week-ends tous ensemble. Quand il en avait, on ne le voyait presque plus, il passait les week-ends par monts et par vaux. Un soir, je suis rentrée à la maison et j’ai vu une Ferrari dans la cour. J’étais désespérée. Ça voulait dire pension en perspective et papa parti tout le temps. »

    Moi qui aurais été si fier et si heureux que mon père fasse de la course automobile quand j’étais gamin ! J’avais du mal à en croire mes oreilles. Chacun sa vie, chacun son chemin. Mais le monde est souvent mal fait. Il apporte aux uns de prétendues satisfactions qui font leur malheur alors qu’elles auraient rendu d’autres fous de joie. Éternel problème de la réciprocité, comme en amour. Combien d’épouses d’hommes ayant bien réussi n’entendons-nous pas se plaindre qu’elles étaient beaucoup plus heureuses avant parce qu’elles voyaient davantage leur mari, qu’elles se sentaient utiles,qu’elles trouvaient leur place alors qu’elles se sentent perdues dans l’univers qu’il a conquis ?

    NOTE MODIFIÉE LE 25 JUIN 2013

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

    Souvenirs de courses de côtes

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/11/17/course-de-cote-de-neuvy-le-roy-un-bon-souvenir.html

    Sensations F1, au cœur de l’action

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2006/03/12/f1-sensations.html

    Lecture automobile gratuite  http://0z.fr/MkBH9

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    Thierry Le Bras

  • ICÔNES DES SIXTIES (3/4)

    Immergez-vous quelques heures dans la jeunesse dont vous avez rêvé…

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    C’est ce que vous propose Thierry Le Bras dans un incroyable roman vintage, automobile et gourmand…

     

    AMBIANCE 24 Heures du Mans 1966 ! VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, tel est le titre du dernier roman de Thierry Le Bras qui met en scène de nouveaux personnages, parmi lesquels le jeune pilote Xavier Ferrant qui dispute l’épreuve mancelle pour la première fois cette année-là.

     

    Philippe Georjan (1), le narrateur, est lui-même un des acteurs principaux du scénario. Adolescent à l’époque de cette édition fabuleuse qui vit pour la première fois le géant industriel Ford terrasser l’orfèvre de génie Ferrari, Philippe se rappelle encore la semaine passée au Mans comme si c’était hier. « Nous ne doutions de rien, rapporte-t-il. Nous étions impatients, turbulents, pas toujours raisonnables, insouciants, heureux. Les péripéties vécues cette année-là devaient nous conforter dans la conviction que rien ne nous arrêterait. La vie nous attendait. Elle allait nous offrir des moments palpitants, la satisfaction de tous nos rêves. »

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    Des circonstances particulières rendraient cette course inoubliable, il est vrai. Pas seulement le duel de Titans que se livraient sur la piste les fabuleuses Ford MK II et Ferrari P3. Mais aussi le mystère inquiétant qui planait autour de l’écurie UTP pour laquelle pilotait Xavier. Une atmosphère d’angoisse liée à une intrigue policière à laquelle Philippe, Xavier et leurs amis ne comprenaient rien.

     

    Ce scénario plonge le lecteur dans le formidable tourbillon des sixties qui génère tant de nostalgie aujourd’hui.

     

    Sur les ondes

     

    Les variétés traduisaient l’esprit de leur époque.

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    En 1966, Johnny et Antoine battaient des records de ventes de 45 tours sans se prendre au sérieux. Ils ne s’entendaient pas toujours très bien et une de leurs querelles chantées contribua à booster les chiffres d’affaires de leurs producteurs.

    Oh Yeah !

    Tout devrait changer tout le temps,

    Le monde serait bien plus amusant,

    On verrait des avions dans le couloir du métro,

    Et Johnny Hallyday en cage à Médrano,

    affirmait celui qui se considérait en avance sur les autres puisqu’il portait des chemises à fleurs tandis que les nôtres n’avaient encore que des boutons.

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    Mais Johnny et ses paroliers n’avaient pas la langue dans leur poche non plus, comme le démontra le texte de Cheveux longs et idéescourtes composé en riposte au joyeux hippie.

    Si les mots suffisaient

    Pour tout réaliser

    Tout en restant assis

    Avec les bras croisés

    Je sais que dans une cage

    Je serais enfermé

    Mais c’est une autre histoire

    Que de m’y faire entrer

    Da-da-da-da-dam

    Da-da-da-da-dam

    Car il ne suffit pas

    D’avoir les cheveux longs

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    Dans l’entourage de Philippe, Gogo, grand fan de Johnny, défendait son idole face à Brice, petit rigolo pathologiquement moqueur rangé du côté d’Antoine. La raison du plus fort étant souvent la meilleure, Brice, beaucoup plus petit que Gogo,  payait régulièrement son insolence de prises de catch qui le calmaient quelques minutes. Bientôt, la participation de Johnny à des courses automobiles sur une Ford Mustang amènerait Gogo à partager la passion de Philippe pour la compétition…

     

    Maintenant, Johnny et Antoine plaisantent sans doute de l’innocent duel qui boosta leurs ventes de disques. A moins qu’ils l’aient oublié… La dernière fois qu’ils se sont affrontés, ce fut indirectement par publicités de lunettes interposées. Et même ça, c’était avant…

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    Dans VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, de nombreuses anecdotes au sujet des stars des sixties sont évoquées. Par exemple les rapports de Michel Sardou avec Montlhéry, commune qui abritait un célèbre circuit automobile et autre chose…

     

    Pilotage et gastronomie  

     

    Maintenant, les pilotes sont suivis par des diététiciens, suivent un entraînement rigoureux et soignent particulièrement leur condition physique. Des garçons comme Nico Rosberg et Jenson Button sont capables d’enchaîner les épreuves d’un triathlon en signant des performances époustouflantes. Mais avant, de nombreux pilotes étaient aussi des épicuriens.

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    Nombre de gentlemen drivers le restent d’ailleurs… Pourquoi le pilotage serait-il incompatible avec la qualité de fin gourmet ? Piloter et déguster des mets cuisinés avec subtilité constituent des plaisirs complémentaires. D’ailleurs, après avoir appuyé sur le champignon, le champagne s’associe délicieusement aux exquises saveurs de la victoire.

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    Dans VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, le lecteur se régale de recettes fort appétissantes. Certaines très classiques comme Les spaghettis à la manière Philippe et Laurent, d’autres plus originales et directement liées au thème automobile. Vous apprendrez ainsi queLes accélérateurs en folie désignent une fricassée de champignons servie à la Brasserie des pilotes.

     

    Au bord de la piste

     

    En lisant  VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, vous vivrez la semaine des 24 Heures du Mans 1966 au cœur de l'action.

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    D’abord le pesage, puis les séances d’essais. D’entrée, les Ford et les Ferrari chassent le chrono. Vous suivrez des géants en piste, Bruce McLaren, Pedro Rodriguez, Dan Gurney, John Surtees, Chris Amon… Ainsi que les rois de la catégorie GT, à commencer par Xavier, le nouvel ami de Philippe.

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    Puis vous assisterez à des duels de Titans sur le bitume jusqu’au triomphe de Ford face aux machines de Maranello. Mais Xavier verra-t-il l’arrivée ? Tout dépendra de l’habileté de Philippe et de ses proches. Car même si les sixties étaient autrement plus passionnantes que l’époque aseptisée et déprimée que nous traversons, il existait déjà de dangereux malfaiteurs en 1966. Ça, c’est la trajectoire policière de VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, pas si aisée à négocier…

    Vous pouvez également me retrouver sur http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/ et http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/

    NOTE MODIFIÉE LE 1er OCTOBRE 2014

     

    (1) Philippe est le héros de  VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, LE polar vintage, gourmand automobile et humoristique. Plus de précisions et possibilité de lire gratuitement les premières pages en cliquant ICI  http://bit.ly/1zmPqE6

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    C’est dans ce polar que Philippe, le narrateur, fait la connaissance de Xavier, son moniteur particulier de conduite sur Lorus,  l’ami qui va l’aider à grandir plus vite !

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Une autre présentation de VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES  http://0z.fr/u88wT

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    Un feuilleton gastronomique (menu de lecture gratuit) en 3 épisodes (ou 3 plats) avec les mêmes personnages

    ENTRÉE http://bit.ly/1rlBhnh

    PLAT  http://bit.ly/1yuTHIC

    DESSERT http://bit.ly/1vouydO

     

    Icônes des sixties (1/4)  http://bit.ly/1paDuC6

     

    Icônes des sixties (2/4)  http://bit.ly/VKxBQ1

     

    LE PACTE DU TRICHEUR, un autre polar automobile que j’ai écrit pour vous :http://amzn.to/1jAhsoF

     

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    Thierry Le Bras

  • La PORSCHE 914/6, voiture passion

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    CIRCUIT MORTEL, C’EST AUSSI LE RENDEZ-VOUS DE TOUS LES PASSIONNÉS DE VOITURES PASSIONS

    Vous avez des souvenirs liés à la Porsche 914/6 ? Laissez vos commentaires !

    Il existe des voitures surdouées qui passent auprès d’une grande carrière sportive. Tel fut sans doute le cas de la Porsche 914/6. Au début des seventies, Porsche s’interrogea sur son avenir en compétition. Le modèle piloté par Guy Chasseuil et Claude Ballot-Léna avait terminé sixième au scratch et gagné en GT aux 24 Heures du Mans lors de l’édition 1970 perturbée par la pluie. Pas mal pour une voiture équipée d’un petit moteur de 220 cv ! Dans des conditions difficiles, la 914/6 avait supplanté les 911 S et les Corvette qui n’appréciaient guère l’adhérence précaire.

    Le Marathon de la route la même année consacra la petite nouvelle. Au bout des 86 heures de l’épreuve disputée sur le grand circuit du Nürburgring, les trois 914/6 engagées occupaient tout simplement les trois premières places.

    Sa carrière bascule sur les spéciales du Monte-Carlo

    Au Monte-Carlo 1971, Porsche en engagea trois, comme au Marathon. Les voitures manquaient de mise au point. Gérard Larrousse était un de leurs pilotes. Il décela un potentiel énorme mais souligna le besoin de développement et suggéra un travail sur la direction qui était trop lourde. Les ingénieurs de Porsche demandèrent à Waldegaard ce qu’il en pensait. Les bras de bûcheron du grand Bjorn ne souffraient pas du poids de la direction. Par contre, il préférait la bonne vieille 911 qu’il connaissait par cœur à sa cadette. Grand pilote sur le terrain mais moins sensible que son équipier français au développement d’une voiture, Bjorn ne sentait rien à améliorer sur la 914/6. Au Monte-Carlo, il réalisa de meilleurs temps que Gérard Larrousse, sans doute beaucoup parce que son physique lui permettait de ne pas souffrir du poids de la direction. Larrousse et Andersson abandonnèrent tous les deux sur problèmes d’embrayage. Waldegaard se classa troisième après avoir remporté 9 spéciales.

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    Porsche décida pourtant de revenir à la 911 S, d’autant que la 914/6 ne connaissait pas un succès énorme auprès de la clientèle. Trop carrée, trop différente du style 911, et standing cassé par l’existence d’une version 2 litres d’origine Volkswagen, tels furent les principaux handicaps de la 914/6. La clientèle traditionnelle Porsche redouta de se faire assimiler à de vulgaires utilisateurs de la populaire « VolksPorsche ».

    Quand on y réfléchit pourtant, la 914/6 adoptait avec plusieurs années d’avance la structure de la Stratos qui domina longtemps les rallyes mondiaux : une GT à moteur central, construite en fonction d’un équilibre des masses idéal. Porsche a-t-il raté l’occasion de développer l’arme absolue dans la discipline ? J’en suis assez convaincu.

    A défaut d’avoir construit le palmarès qu’elles méritaient, les 914/6 font désormais le bonheur des pilotes de VHC.

    Vous pouvez également me retrouver sur http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/ , http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Porsche, un triomphe économique, sportif et marketing  http://bit.ly/Op7Cuk

     

    Quand la 908 était une Porsche et la R 15 une Renault  http://bit.ly/1KSycoY

     

    Des Porsche à l’honneur dans ce roman  http://bit.ly/1MOKOyc

     

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