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  • OFF COURSE

    medium_347_1_.jpgTraque aux « 24 heures du Mans »
    Par Renaud Wagenaar
    Éditions Libra Diffusio
    La course automobile ne constitue pas la principale source d’inspiration des romanciers dont l’imagination se révèle pourtant sans limite.
    Quelques ouvrages méritent cependant d’être cités. Nous vous présenterons sur ce blog ceux que nous connaissons et qui nous ont plu. OFF COURSE en fait indiscutablement partie. Noël approche, c’est le moment de l’acheter, de vous le faire offrir, ou de l’offrir à un proche passionné de sport auto.


    Les 24 Heures du Mans, la fête annuelle du sport automobile, le rendez-vous des meilleurs pilotes d’endurance, des grands constructeurs, des journalistes spécialisés et d’une foule hétéroclite.

    Derrière le rêve se cachent des coulisses pas toujours présentables, les problèmes financiers des petites écuries, les rivalités entre pilotes, les jalousies, les mesquineries, et cette année-là, une vague de meurtres et un enlèvement.

    Pendant que les 24 Heures du Mans se jouent sur la piste, une autre course contre la montre a démarré. Les fantômes du passé ont ressurgi et les protagonistes d’un drame oublié depuis vingt ans vont se retrouver…

    Un excellent roman, tout simplement ! L’auteur connaît tout des 24 Heures, retrace parfaitement l’ambiance de l’épreuve et maîtrise magnifiquement l’art d’entretenir le suspense. Il faut absolument lire ce livre.
    ___
    N’hésitez pas non plus à lire au plus vite les romans et nouvelles rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel :
    - des nouvelles (fictions courtes) sont en ligne dans les archives de ce blog
    - les romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).

  • DES GOÛTS ET DES COULEURS

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    La course automobile, le bonheur absolu !

    Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours considéré la course automobile comme quelque chose de très important dans ma vie. Durant mon enfance, mon héros était Jim Clark, pas une star du rock. Plus tard, j’ai suivi de très près les performances des pilotes de ma génération, notamment Didier Pironi.

    Les 24 Heures du Mans représentent à mes yeux une fête bien plus importante que Noël ou le 1er de l’An.

    J’ai couru quelques saisons en course de côte, et si j’ai rangé ma combinaison malgré des victoires de classe régulières, ce fut uniquement à cause des difficultés à concilier la course avec mes obligations professionnelles et le budget de plus en en plus important qu’elle exigeait.
     
    La course avant tout

    Jean-Luc Pailler, le plus titré des pilotes de Rallycross, qui a préfacé l'édition 2005 de mon roman Circuit Mortel à Lohéac, m’a dit un jour, « on n’a que de bons souvenirs en course automobile ». C’est bien ce que je pense aussi.

    Ce n’est pas par hasard si j’ai réalisé la biographie officielle d’Olivier Panis et si plusieurs héros récurrents de mes romans, à commencer par David Sarel, évoluent dans le milieu du sport automobile.

    Mais tout le monde ne considère pas la course de la même manière. Les recettes du bonheur ne sont pas universelles. Une séance de dédicaces à la Bibliothèque du Lude m’en apporta une nouvelle preuve. Une semaine avant les 24 Heures, j’étais invité à présenter mon roman  Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans. Le scénario tourne autour de la participation d’une écurie aux 24 Heures. Le dénouement intervient pendant l’épreuve. Donc, tour naturellement, la discussion s’orienta autour de la course et des pilotes.

    Incroyable mais vrai

    Un journaliste sarthoise fit part de ses observations sur la façon dont la course était vécue par les femmes de pilotes et leurs enfants. La problématique est abordée dans mon roman dans la mesure où les comportements des épouses des pilotes de l’écurie diffèrent. Certaines acceptent très bien cette vie. D’autres en souffrent. Et mes pilotes, qui sont par définition des égoïstes comme tous ceux qui pratiquent ce sport, ne renonceront pas à la compétition. Elles le savent très bien.

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     L’intervenante nous raconta sa propre expérience. Elle n’est pas mariée à un pilote, mais fille de pilote. Et là, son opinion fut comme un choc. Son père, chef d’entreprise, connut des hauts et des bas, comme la plupart des patrons. Lorsque les affaires marchaient fort, il courait et envoyait ses enfants dans les meilleures écoles privées. Mais lorsque le commerce se ralentissait, il vendait la voiture de course et inscrivait sa progéniture à l’école publique de la petite commune où habitait la famille.

     « Nous, les enfants, nous préférions les périodes de vaches maigres à celle de vaches grasses,témoigna cette dame, par ailleurs charmante et excellente conteuse. Quand mon père n’avait pas d’argent, nous étions tous à la maison. Nous allions en classe avec nos copains. Nous passions les week-ends tous ensemble. Quand il en avait, on ne le voyait presque plus, il passait les week-ends par monts et par vaux. Un soir, je suis rentrée à la maison et j’ai vu une Ferrari dans la cour. J’étais désespérée. Ça voulait dire pension en perspective et papa parti tout le temps. »

    Moi qui aurais été si fier et si heureux que mon père fasse de la course automobile quand j’étais gamin ! J’avais du mal à en croire mes oreilles. Chacun sa vie, chacun son chemin. Mais le monde est souvent mal fait. Il apporte aux uns de prétendues satisfactions qui font leur malheur alors qu’elles auraient rendu d’autres fous de joie. Éternel problème de la réciprocité, comme en amour. Combien d’épouses d’hommes ayant bien réussi n’entendons-nous pas se plaindre qu’elles étaient beaucoup plus heureuses avant parce qu’elles voyaient davantage leur mari, qu’elles se sentaient utiles,qu’elles trouvaient leur place alors qu’elles se sentent perdues dans l’univers qu’il a conquis ?

    NOTE MODIFIÉE LE 25 JUIN 2013

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

    Souvenirs de courses de côtes

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/11/17/course-de-cote-de-neuvy-le-roy-un-bon-souvenir.html

    Sensations F1, au cœur de l’action

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2006/03/12/f1-sensations.html

    Lecture automobile gratuite  http://0z.fr/MkBH9

     Suivez-moi sur Twitter  

    https://twitter.com/ThierryLeBras2

     

    Et pourquoi pas sur Facebook ?

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    Thierry Le Bras

  • DESCENTE AUX ARCHIVES (2)

    medium_PORSCHE_911_1973.2.jpgLa chasse au trésor

    Que sont les archives ? Au bureau, nous les considérons souvent comme une contrainte. Il s’agit de cartons de documents qu’il faut conserver un certain nombre d’années pour satisfaire à des obligations juridiques, comptables et fiscales. Les archives, ça prend de la place, c’est ennuyeux à classer, c’est l’enfer lorsqu’il faut les trier et déménager, et ça coûte de l’argent si leur volume contraint à recourir aux services d’une société spécialisée. Sans compter l’angoisse de les perdre par la faute d’un incendie ou d’une inondation lorsqu’elles sont imprimées sur support papier ni la terreur d’une défaillance de l’informatique pour celle conservées sur un tel support.

    Mais pour les passionnés de sport automobile, les archives recèlent leur lot de trésors, des boites à souvenirs qui réveillent les moments les plus chers de leur existence et font revivre des moments de joie intense.

    C’est pourquoi je vous invite à surfer sur celles de ce blog.

    Cliquez sur les archives de juin 2007 par exemple, vous vous plongerez dans l’atmosphère des 24 Heures du Mans.

    La nuit mancelle envahit votre esprit. Vous entendez le vrombissement sauvage des moteurs autour de la piste. Vous essayez de vous remémorer vos premières 24 Heures. Rendez-vous aux archives, départements octobre et novembre 2006 cette fois. Vous voilà aux 24 Heures 1968. Laissez vous guider par Éric Trélor, Freddy Vivien , le fameux grand-père Victor et la belle Régine, sa jeune compagne. A la lecture de ce docu-fiction, vous revivrez les meilleurs moments de votre adolescence en compagnie de personnages récurrents des Aventures de David Sarel, l’avocat-pilote dont Thierry Le Bras écrit les aventures palpitantes dans des romans et nouvelles.

    Les intrigues policières vous fascinent. Vous souhaitez découvrir d’autres épisodes de la vie de David, les moments où son existence l’écarte quelques jours des circuits ? C’est possible. Rendez-vous aux archives de janvier et février 2007. Découvrez tous les textes dont les titres contiennent « cuisine » ou « morue ». D’une part, les goûts culinaires de notre héros exciteront votre appétit. D’autre part, vous rencontrerez la pire ennemie de David, Soizick Pierret, une femme sans scrupules qui vivait d’une forme discrète de prostitution avant d’ensorceler le père de l’avocat-pilote. Le plus beau coup de filet qu’ait jamais donné la morue ! Vous apprendrez pourquoi David et le Clan Vivia ont ainsi surnommé le monstre de perversité. L’ignoble morue que David accommode volontiers à la sauce piquante avant de la voir cuite à point (http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2007/01/22/recette-de-morue.html )

    N’hésitez pas non plus à plonger dans les souvenirs épiques de Philippe Georjan, le héros d’une nouvelle série de romans que prépare Thierry Le Bras. Ces scénarii se déroulent durant les sixties. Vous pouvez déjà lire des nouvelles mettant ce personnage et ses proches en scène, icônes des sixties 1, 2 et 3 dans les archives récentes de ce blog ainsi qu’en cliquant sur :
    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2007/07/31/la-baule-les-pins-des-émois-inoubliables.html

    En conclusion, je ne dirai qu’une phrase :

    BONNE DESCENTE AUX ARCHIVES !!!