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  • MEILLEURS VOEUX 2008 !!!

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    « Les personnages de fiction vivent dans un monde parallèle où ils entraînent leurs lecteurs », affirmait Serge Dalens.

    David Sarel et les membres du Clan Vivia, Philippe Georjan et Xavier Ferrant (les principaux héros de mon prochain roman), s’associent donc à moi pour souhaiter aux visiteurs de ce blog une année 2008 propice à la réalisation de leurs rêves les plus fous et les plus chers.

    En avant pour une année 2008 tout feu tout flammes qui apporte le meilleur à nos pilotes préférés, stars, futures stars, valeurs confirmées, espoirs ou amateurs !!!

    Thierry Le Bras

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    Les fictions, les docu-fictions, les infos dans le monde de la course automobile vous passionnent ? Vous êtes tombé à la bonne adresse.

    Rendez-vous dans les archives de ce blog, sans oublier bien sûr trois romans déjà parus de Thierry Le Bras (Éditions Astoure, diffusées par Breizh) , « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac », et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans ».

  • COURSE EN FÊTE (2)

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    Julien Mouthon, le plus jeune pilote de l’histoire du Rallycross, joue aussi un rôle dans un thriller qui trouve son épilogue aux 24 Heures du Mans

    EXTRAIT :

    « Julien Mouthon pilota le premier à l’occasion de la séance d’essais. Au bout d’une demi-heure, il passa le volant à Fabien. Interrogé par Sébastien et Romain, Julien leur fit part de son enthousiasme.
    .- J’ai été enchanté du comportement de la MG. Bien sûr, elle est moins efficace que les voitures de course modernes, mais elle permet d’aborder un virage un peu trop vite et de corriger par des glissades qui ont l’avantage d’être spectaculaires et de ne pas faire perdre de temps. Un régal au niveau pilotage, et du spectacle pour le public qui se plaint souvent que les voitures de course contemporaines roulent sur des rails et ne glissent pas..

    Si les 24 Heures constituaient naturellement l’essentiel du menu de la 24ème semaine de l’année dans la Sarthe, une autre épreuve complétait le programme, la Course du Centenaire de l’ACO. Il s’agissait d’une course de Véhicules Historiques de Collection construits au plus tard en 1955. Elle se déroulerait le samedi 17 juin dans la matinée.

    Les leaders du Team Vivia s’intéressaient à cette épreuve qui honorait l’histoire des 24 Heures. Ne disposant pas de modèles assez anciens pour y participer (la première Vivia date de 1978), Éric, Freddy et David s’étaient cotisés pour acheter une MG TF Course 1954 qu’ils confiaient à un équipage de jeunes pilotes performants, Fabien Trélor et Julien Mouthon. Le Team Vivia s’intéressait depuis plusieurs saisons à Julien Mouthon à qui il ne manquait qu’un complément de budget pour réaliser des exploits en Rallycross, sa discipline de prédilection. Une course en VHC en équipage avec le fils cadet d’Éric constituerait une page originale dans son dossier de presse. Freddy et Éric espéraient d’ailleurs donner un coup de pouce à sa carrière en décidant Yamamodo France à lui confier une Yamamoto 16 Kit Car pour la prochaine saison de Rallycross… »

    Cette scène se déroule le jeudi précédent les 24 Heures du Mans 2006. Elle est issue d’un roman de Thierry Le Bras intitulé « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans ».

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    Julien Mouthon (au centre) en compagnie de Bastien Brière, pilote d’endurance et de GT, et de Thierry Le Bras lors de la présentation de l’ouvrage

    Mais si Julien Mouthon apparaît déjà dans une fiction, il est avant tout un pilote réel qui maîtrise parfaitement le Rallycross et cherche actuellement un budget pour la saison 2008 qu’il prévoit de disputer avec une Citroën Saxo engagée en D4.

    Julien Mouthon fait partie des jeunes pilotes qui enthousiasment le public et transforment les week-ends de course en grandes fêtes de l’automobile. Il mérite de réussir dans ce sport difficile qui exige hélas, outre le talent de ses acteurs, le concours de partenaires financiers. Ces entreprises à la recherche d’un investissement productif, Julien ne manque pas d’arguments pour les convaincre.

    D’une part, au plan général, le sport automobile véhicule quantité de valeurs positives, en parfaite adéquation avec une culture d’entreprise dynamique. Il confère une image à la fois :
    - sympathique,
    - synonyme de compétence et d’audace.

    Il renforce aussi le sentiment d’appartenance à un groupe :
    - tant au sein de l’entreprise (à laquelle j’inclus la « communauté » des franchisés au sein d’un réseau de commerce associé) ;
    - qu’auprès de ses clients.

    « Les jeunes qui sont épris de compétition reconnaissent notre sigle WAP qu’ils ont vu sur la voiture de mon pilote lorsqu’ils trouvent une de nos stations de lavage », me confia Jean König, patron du réseau WAP lors d’une interview.

    Ce franchiseur ne s’y est pas trompé. Le sponsoring d’un pilote sympathique et performant dans une discipline sportive constitue un investissement profitable pour son groupe.

    D’autre part, le Rallycross, sport en pleine expansion qui attire le public et les médias, se révèle un excellent vecteur de communication car c’est une formule conviviale et d’un coût très raisonnable qui comporte une dizaine d’épreuves dans les régions de France.

    Les courses de Rallycross se disputent sur une piste mixte, terre et bitume, sur laquelle cinq voitures partent de front pour cinq à six tours.

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    Julien à l’attaque

    C’est une discipline intense et brève, où la succession de départs entretient un spectacle permanent, où les voitures sont toujours en contact, le tout dans un festival de glisse impressionnant :

    - le public vient nombreux sur ces épreuves. A titre d’exemple, le Rallycross de Lohéac en Bretagne est la troisième manifestation de sport automobile en France derrière les 24 Heures du Mans et le Grand Prix de France ;

    - en Rallycross, non seulement les voitures portent les couleurs du sponsor, mais il est aisé pour ce dernier de convier des invités. Clients ou futurs clients (dont des franchisés ou candidats franchisés) sont au bord de la piste pendant deux jours. Ils assistent à une trentaine de départs, tout près des voitures, et ils suivent les pilotes des yeux pendant toute la course. C’est un avantage incontestable par rapport au rallye où il faudrait les déplacer d’épreuve spéciale en épreuve spéciale, ou à la Formule 1, où le public est placé trop loin de la piste (sans compter bien sûr le coût exorbitant de la F1) ;

    - les invités sont traités en VIP. Ils déjeunent ou dînent dans un réceptif avec l’équipe. Ils côtoient le pilote, ont accès au paddock, vivent la course de l’intérieur. Cela crée toute une atmosphère qui renforce un lien avec l’entreprise qui les invite.

    Enfin, Julien Mouthon est un jeune pilote particulièrement doué. Il fut le plus jeune pilote de l’histoire du Rallycross. Il disputa sa première épreuve dès le lendemain de son seizième anniversaire grâce à une dérogation accordée par la FFSA en raison de ses excellents résultats en karting. En outre, Julien reste encore très abordable au niveau budget.

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    Julien au Rallycross de Mayenne

    Pour une courte présentation de Julien, cliquez sur le lien ci-dessous. Il renvoie à un article qui lui est consacré :
    http://www.leblogauto.com/2006/11/julien-mouthon-l%E2%80%99intersaison-est-une-course.html

    Julien exprime un style généreux dans son pilotage. Son look sympathique servira le sponsor. Et comme c’est un garçon modeste et loyal, il n’éclipsera pas l’entreprise dont il défendra les couleurs pour se mettre en avant aux dépens de ses partenaires.

    Parmi les invités pourraient bien sûr figurer des journalistes. Le Rallycross constitue un excellent moyen de se faire connaître par la presse régionale. Outre les invitations sur les circuits, des séances de baptêmes de piste sont très faciles à organiser.

    ALORS, SI VOUS ÊTES CHEF D’ENTREPRISE, POUR RENDRE L’IMAGE DE VOS PRODUITS ET SERVICES ENCORE PLUS DYNAMIQUE, SYMPATHIQUE ET POSITIVE, POURQUOI PAS UNE ACTION DE SPONSORING ET DE PARTENARIAT AVEC JULIEN EN 2008 ?

    « Lorsque notre pilote remporte la course, mes invités disent on a gagné et pas il a gagné », m’a confié Jean König.

    C’est bien la preuve de l’intérêt de la formule. Le sponsoring en Rallycross s’accompagne d’un fabuleux coefficient multiplicateur de l’investissement consenti dès lors qu’il comprend un réceptif sur les circuits et des actions auprès de la presse locale.

    N’hésitez pas à me contacter à l’adresse mail inscrite en bas de ce la colonne de gauche de ce blog si cette idée vous intéresse ? Vos coordonnées seront immédiatement transmises à Julien.

  • COURSE EN FÊTE (1)

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    La course automobile symbolise les temps forts, les moments de bonheur absolu, donc la fête.

    (illustration : Mathieu Zangarelli s'apprête à monter dans sa Corvette à l'àccasion de la première manche du Championnat GT FFSA 2007. qu'il va remporter. Mathieu fut mon pilote dans l’expérience rapportée ci-dessous)

    Logique dès lors en cette période de fêtes de fin d’année d’évoquer des moments particulièrement marquants liés aux sports mécaniques.

    Cette série de chroniques aura en effet pour finalité de vous faitre découvrir des anecdotes sur des pilotes particulièrement attachants. Je commencerai par un souvenir personnel qui remonte au printemps 2003.

    Nous sommes le 16 avril. Olivier Panis vient inaugurer le nouveau tracé du circuit de Magny-Cours. En attendant son arrivée, Roland Hodel, président du circuit, décrit les travaux réalisés pendant l’hiver. « La philosophie du tracé a changé. Nous avons modifié quinze pour cent du circuit, mais les virages redessinés vont influer sur la façon d’aborder les autres parties. La piste offre deux nouvelles zones de dépassement, maintenant. En outre, l’entrée directe dans les stands va raccourcir la durée des ravitaillements. Cela va jouer sur la stratégie des équipes. Faudra-t-il s’arrêter trois fois au lieu de deux ? Ce sera une complication de plus à gérer pour les écuries. Par ailleurs, les pilotes arriveront très vite dans Estoril et dans la grande courbe. Le nouveau tracé impose trois forts freinages. Il faudra donc que les freins tiennent le coup. Et les qualités de motorisation deviennent importantes. »

    Olivier va rouler sur le nouveau tracé au volant d’un cabriolet Lexus, une marque du groupe Toyota. Il aurait sans doute préféré piloter sa monoplace de Formule 1, la Toyota TF 103, mais cette solution a été écartée pour des raisons réglementaires. Essayer dès à présent sa monoplace de course sur le nouveau circuit aurait pu avantager le pilote français par rapport à ses rivaux lors du Grand Prix de France au mois de juillet suivant.

    Des baptêmes de piste sont proposés aux invités sur divers types de véhicules. Je choisis pour ma part de monter dans la Formule 3 bi-place pilotée par Mathieu Zangarelli, un jeune qui s’est fait remarquer dans les formules de promotion et qui depuis s’est aussi illustré dans la catégorie GT, notamment au volant d’une Chevrolet Corvette en 2007. Les sensations sont fantastiques. L’adhérence de la monoplace est incroyable. Pilotée par un garçon de la trempe de Mathieu, la voiture donne une impression de sécurité absolue. Le pilote change de passager tous les deux tours. Dommage, j’aurais bien poursuivi l’expérience plus longtemps. J’ai couru plusieurs saisons au volant de voitures de tourisme, mais j’avoue que la monoplace procure un autre plaisir. Je comprends encore mieux Olivier lorsqu’il évoque son bonheur au volant. La monoplace, c’est vraiment magique.
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    Vous aimez les émotions que procure la course automobile et vous souhaitez les retrouver dans des fictions ?

    C’est possible. Découvrez les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel, un personnage au caractère très fort : pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).