Yoann Bonato, espoir du Rallye français
Après des débuts finlandais ponctués par une victoire nette et sans bavure, Yoann Bonato retrouve ce week-end le volant de la C2 R2 préparée par PH Sport et dotée de pneumatiques BFGoodrich à l’occasion du Rallye d’Allemagne, 10ème manche du Championnat du Monde. Sur une surface, l’asphalte, qui lui sera autrement plus familière, le pilote des Deux-Alpes s’emploiera à viser à nouveau les premiers rangs du Citroën C2 Junior Expérience, compétition taillée sur mesure pour les jeunes avides de formation et d’expérience au plus haut niveau.
Après une longue période d’inactivité sur la terre, vous redoutiez plutôt le Rallye de Finlande, épreuve peu banale s’il en est et à laquelle, de surcroit, vous n’aviez jamais participé… Finalement, cela ne s’est pas si mal passé que cela ?
« Oui et on peut même dire mieux que Benjamin (Boulloud, son copilote, ndlr) et moi ne l’espérions au départ ! D’un côté, il y a un résultat assez positif avec cette victoire en C2 Junior Expérience mais de l’autre il y aussi et surtout la tonne d’enseignements que nous avons ramenée dans nos valises. Globalement, ce rallye très particulier nous a permis d’emmagasiner vraiment beaucoup d’expérience. Expérience des spéciales sur terre que nous n’avions plus fréquentées depuis près de quatre ans. Expérience du Mondial après seulement un essai lors du dernier Rallye de France – Tour de Corse. Expérience en matière de pilotage et de copilotage, évidemment… »
En Finlande, vous découvriez également votre monture, la Citroën C2 R2. Que pensez-vous de cette voiture de course ?
« Dès l’instant où je l’ai découverte, c'est-à-dire au shakedown, je me suis tout de suite senti en confiance. Elle n’est vraiment pas compliquée à prendre en mains et s’avère super facile à conduire dans les spéciales. J’ai été très surpris de trouver une auto aussi agréable. Maintenant, on va voir sur l’asphalte… Mais je pense qu’il n’y a aucune raison qu’elle ne soit pas aussi à l’aise que sur la terre… »
Venons en à l’Allemagne. Vous renouez cette fois avec l’asphalte, un terrain sur lequel vous avez usé vos ‘fonds de culotte’, notamment en Championnat de France des Rallyes. Comment trouvez-vous cette épreuve ?
« J’ai certes pas mal roulé ma bosse sur le bitume mais là, franchement, il y a certaines spéciales qui ne ressemblent à rien de ce que j’ai connu jusqu’à présent ! Celles tracées dans le camp militaire de Baumholder sont, par exemple, assez hallucinantes et surtout très difficiles… Il y a des carrefours partout, des changements de revêtement tous les 50 mètres… Pour moi, elles s’apparentent davantage à des spéciales sur terre… En tous les cas, elles seront très complexes à négocier car on a vite fait d’être totalement déboussolé ou, pire encore, de tirer droit à un endroit ou à un autre. Les autres chronos ressemblent davantage, si on veut oser une comparaison, aux routes du Rallye du Touquet… »
Quelles ambitions affichez-vous pour votre troisième expérience à ce niveau de la compétition ?
« Evidemment, ce serait chouette que nous réussissions à faire aussi bien qu’en Finlande… Mais nous n’en sommes pas là. Il y a quelques clients dont le Belge Hauquier ou le Luxembourgeois Schammel et par principe, je me méfie de tout le monde. Non, notre objectif premier sera de rallier l’arrivée et d’accumuler encore et toujours du ‘vécu’ en Championnat du Monde des Rallyes. »
D’après un Communiqué de presse FFSA
Pour tout savoir sur Yoann Bonato et Benjamin Boulloud, rendez sur leur site :
http://perso.orange.fr/yoann.bonato/accueil.htm __
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Vous aimez les émotions que procure la course automobile et vous souhaitez les retrouver dans des fictions ?
C’est possible, découvrez les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel :
- des nouvelles (fictions courtes) sont en ligne dans les archives de ce blog ;
- les romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).
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GANG DE REQUINS PILOTES
Bientôt une nouvelle donne en F1 et un peu d’humour en cette période estivale
Tous les pilotes disposeront bientôt de la même voiture. Elles seront tirées au sort puis peintes aux couleurs de chaque écurie.
Ces garçons vont se déchiqueter sur les pistes et dans la presse. Une bande de requins voraces, prêts à tout pour gagner. Leurs fans respectifs se battront avec plus de férocité que des Hooligans sur des blogs et des forums sanglants.
Eux, c’est gang de pilotes ! Leurs noms évoquent leurs personnalités, parfois lumineuses, parfois très sombres.
Par ordre de préférences, les miennes bien sûr, j’annoncerai :
- Coco Hollywood :
Roi du dépassement, agressif à souhait, enthousiaste à l’idée d’en découdre. Un mec sympa, mais attention, sur la piste, il se transforme en tigre sanguinaire prêt à bouffer tous ceux qui ont le malheur de se trouver devant lui.
- Kiki la poisse :
Le meilleur coup de volant du plateau, mais son chat noir l’affectionne et il n’a pas le cœur de le laisser seul à la maison les week-ends de course. Du coup, il collectionne les injustices. Il semble toutefois que les choses s’arrangent car Kiki aurait trouvé quelqu’un de sûr qui soigne son mistigri les jours de Grands Prix.
- Nicky le discret :
Un très bon pilote. Du poil au menton mais pas dans la main. Il est capable de doubler les plus méchants, mais il reste trop souvent dans son coin sans rien dire.
- Jamy le British :
Le flegme britannique incarné. Un super succès auprès des filles. Mais attention, cet homme est dangereux. Il sait mordre et gagner.
- Pépé le Massa :
Surprenant d’aisance parfois, mais ce garçon n’aime pas se mouiller et sombre trop souvent sur piste humide. Dangereux tout de même car il bénéficie de gros appuis et se réveille quand le soleil vert et jaune darde ses rayons.
- Nono le Vigneron :
Look surprenant, tignasse ébouriffée, Nono connaît toutes les astuces du métier. C’est un pilote redoutable sous ses airs d’original dilettante. Et comme le bon vin, Nono bonifie en vieillissant.
- Seb le Ricain :
Aux States, il a tout gagé. En endurance, il s’est montré à son avantage. Le Ricain débarque, prêt à conquérir bravement sa place.
- Bastian le Communiant :
Visage d’enfant bien élevé, Bastian cache une volonté de fer derrière son sourire. Il veut tout bouffer, comme ses confrères.
- Wiwi le précoce :
Né au pays d’Enid Blyton, le Benjamin se montre déjà l’égal de ses aînés. Bientôt, Wiwi formera le Club des 5 avec Coco, Kiki, Pepe et Dodo.
- JC le bronzé :
Bronzage toujours impeccable, lunettes noires de play-boy, JC a souffert dans le passé de l’arrivée de Dodo dans sa maison en forme de losange. Surmontera-t-il ses blessures ?
- Kova la Brosse :
De belles dispositions, une coiffure de premier communiant des années 60, Kova apprend et se montre dès qu’il en a l’occasion. Un jour, il surgira de sa boite comme un bon petit diable propulsé par le ressort de la volonté.
- Babar la mémoire :
Une mémoire d’éléphant. Court en F1 depuis Mathusalem ou presque. Il conserve de beaux restes, même si tout le monde rigole quand il annonce qu’un jour, il sera champion du monde.
- Koukou la surprise :
Personne ne l’attendait à pareille fête. Koukou deviendra-t-il l’Ancou des espoirs de quelques aînés ?
- Ralfy le Frérot :
Ce garçon, l’autre Mister S, constitue un mystère. Souvent décrié, il a aussi signé de superbes performances. Récemment sur la piste, il a montré à Dodo qu’il ne se laissait pas faire. L’autre n’a pas prolongé le combat, préférant contourner l’obstacle dans les stands. Les dents « de le » père Ralfy rayent encore le bitume.
- Dodo le Veinard :
Masque carnassier, mâchoires prêtes à mordre, regard inquiétant, comportement grincheux et arrogant, Dodo compte sur un allié de poids, la chance. Jusqu’à présent, ça lui a réussi, il faut bien l’avouer. Il ne se sépare jamais de son trèfle à quatre feuilles depuis l’année où le sort lui a apporté une couronne de lauriers sur un plateau en s’acharnant sur Kiki. D’innombrables grigris remplissent les poches de la combinaison du Veinard. Son volant est en forme de fer à cheval. Certains prétendent l’avoir vu en pleine séance d’incantations. Mais l’adversaire sur lequel il fait une fixation désormais, au point de le faire douter de sa bonne étoile, c’est Wiwi. D’autant que les premières manches de leurs matchs de catch ont le plus souvent tourné à l’avantage du benjamin qui, en outre, sait séduire le public.
Les avez-vous reconnus ?
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C’est possible, découvrez les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel, lequel avoue d’ailleurs respecter certaines superstitions :
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- les romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh). -
MONT-DORE CHAMBON SUR LAC, UNE SACRÉE COURSE DE CÔTE
Une super épreuve
DOCU-FICTION
« Mon père, mon cousin, mon frère aîné et des amis proches de la famille comme Freddy Vivien ont couru et courent encore bien sûr, raconte Fabien Trélor. Aussi loin que remontent mes souvenirs, je me rappelle de week-ends sur les circuits, les rallyes et les courses de côtes. Il a toujours été évident pour moi que je ferais de la compétition automobile, et c’est naturellement ce qui est arrivé. »
Fabien est le cousin de David Sarel, le héros de nombreux romans, nouvelles et feuilletons de Thierry Le Bras. David y apparaît à diverses époques de sa vie, depuis son adolescence jusqu’à la période contemporaine. Et comme tout personnage qui vit dans un univers, fût-il parallèle, il a des amis, une famille, des relations, des ennemis aussi. Fabien et Arnaud Trélor occupent une place particulière dans le cœur de David. Ils sont plus que des cousins, des petits frères qu’il adore. cette relation apparaît d’ailleurs clairement dans CHICANES ET DÉRAPAGES DE LORIENT AU MANS (présenté ici http://bit.ly/1dCEZDi et disponible en version papier chez http://amzn.to/1uvUq6o )
Un souvenir fort de Fabien au Mont-Dore
Quelques années ont passé et Fabien a disputé de nombreuses épreuves dont Le Mont-Dore maintenant. Mais il se rappelle encore très bien l’édition 2002 de cette course magnifique.
« J’avais 17 ans, témoigne-t-il. Je ne pilotais pas encore, mais je naviguais quelquefois mon frère Arnaud en rallye. Arnaud a cinq ans de plus que moi. Il pilotait un coupé Vivia 2000 groupe N cette année-là et il marchait déjà très fort. Bien entendu, je l’ai accompagné au Mont-Dore. »
La Course de côte du Mont-Dore / Chambon-sur-Lac se déroule traditionnellement le deuxième week-end du mois d’août, en pleine période de vacances, ce qui lui permet de faire le plein d’engagés. La lutte est acharnée dans toutes les catégories.
« Nous sommes arrivés le mardi midi, raconte Fabien. Nous nous sommes installés dans un camping à la ferme tenu par de vieux amis de la famille. Leur terrain et leur auberge sont dans le Vallée de Chaudefour à quelques centaines de mètres du départ de l’épreuve. C’est sympa et pratique. Nous comptions aménager notre emploi du temps entre les reconnaissances du circuit, un peu de sport (tennis, randonnées en montage, promenades avec des VTT de location), quelques baignades et séances de farniente-bronzing sur les plages aménagées autour du Lac Chambon. Un programme bien cool. »
Arnaud et Fabien n’avaient oublié qu’une chose, les aléas météorologiques.
« Nous avons monté notre tente sous la pluie, reprend Fabien. Cela ne nous a pas inquiétés. Le temps change vite en montagne. Et puis nous étions début août, l’époque idéale pour trouver le soleil. Une fois notre campement installé, nous sommes allés déjeuner à la ferme auberge auprès du camping. Leur omelette au jambon de pays est un régal. Et leur tarte aux myrtilles aussi. L’après-midi, nous avons reconnu le circuit. Prudemment. Les pilotes ne reconnaissent plus comme auparavant. Mon père m’a raconté que la première fois qu’il a couru au Mont-Dore en 1977, il pilotait une Alfa-Roméo 2000 GTV. En soirée, tous les pilotes se mettaient à reconnaître avec les voitures de course. Mon père se souvient s’être fait doubler par un proto 2 litres pendant les reconnaissances alors qu’il allumait déjà fort avec l’Alfa. Si on osait faire ça aujourd’hui, on finirait derrière les barreaux. Les temps ont bien changé… Dans un sens, c’est sans doute mieux pour la sécurité. Nous avons donc roulé en respectant presque le code de la route avec la petite Rover de série qu’utilisait mon frère au quotidien. Mais une fois les reconnaissances terminées, nous nous sommes demandés quoi faire car il pleuvait toujours. Alors, nous sommes allés boire un pot au Mont-Dore, une très jolie commune. Le soir, nous étions invités au motor-home d’une autre équipe de Morbihannais et nous sommes rentrés assez tard au camping »
Les deux frères Trélor n’étaient pas au bout de leurs surprises.
« C’est le froid qui nous a réveillés le lendemain matin, poursuit Fabien. Nous avions amené des sacs de couchage assez légers. Au petit jour, il faisait très froid sous la tente. Heureusement, nous avions aussi prévu des couvertures, au cas où… Nous les avons installées. En prenant le petit déjeuner à la ferme auberge, nous avons compris pourquoi nous avions dû nous équiper plus chaudement. Il faisait cinq degrés. Une vraie température hivernale ! Notre tente igloo portait bien son nom. »
Les conditions météorologiques ne s’améliorèrent pas beaucoup pendant la semaine.
« Le mercredi, il a plu toute la journée, commente Fabien. Au point que nous sommes allés au cinéma l’après-midi. Aucune activité de plein air n’était envisageable. Heureusement qu’Arnaud et moi, nous aimons la lecture, car le soir, nous rentrions bien vite nous mettre dans nos sacs de couchage avec un bon bouquin. »
Et le jour de la course ?
« Le matin, des accompagnateurs du team morbihannais qui nous avait déjà invités à plusieurs reprises m’a amené au haut du circuit. Nous nous sommes installés dans un droite sympa près de l’arrivée. Comme ça, nous pouvions rejoindre facilement les pilotes que nous suivions après leurs montées. En plus, les bons prennent de gros appuis à cet endroit. Arnaud, qui bombardait fort avec sa Vivia 2000, y faisait lever nettement la roue avant droite. J’ai réussi de bonnes photos d’ailleurs. Il ne pleuvait plus. Mais la surprise, ce fut le vent et la température. Au haut du circuit, il faisait trois degrés et ça soufflait bien. J’ai eu froid toute la matinée avec mon blouson Vivia qui n’était pas un vêtement de sports d’hiver. Les VHC et les voitures du groupe F passaient avant les autres catégories dont le groupe N où courait mon frère.
Après la deuxième montée d’essais, je suis redescendu avec Arnaud dans la Vivia. C’était un moment sympa, d’autant qu’Arnaud s’était placé en tête de sa catégorie. Tu vois que les spectateurs scrutent les voitures pour discerner les visages des pilotes qui roulent très doucement et ne portent pas de casque. Dis donc, tu as attrapé des coups de soleil m’a fait observer Arnaud lorsque nous sommes descendus de la Vivia. Je remarquais en effet que mon visage me brûlait un peu. Deux heures plus tard, c’était pire. Les quelques rayons de soleil qui perçaient les nuages se révélaient traîtres. Heureusement que sur l’insistance de ma mère, nous avions emporté des tubes de biaphine et de la crème solaire. Ma mère se souvenait de courses au Mont-Dore dans des conditions caniculaires, notamment de l’édition 1983 où des copains de mes parents avaient attrapé des coups de soleil sévères. Elle ne se doutait pas que sa prévoyance me servirait dans des conditions bien différentes de celles qu’elle craignait. Le lendemain, la piste était toujours sèche et quelques rayons de soleil perçaient les nuages de temps en temps. Je me suis installé à l’ombre, au bas du circuit, au virage du transformateur. Un passage délicat aussi. Arnaud m’y a gratifié de magnifiques passages en légère dérive des quatre roues. J’ai trouvé qu’il passait un peu mieux que ses principaux rivaux. J’ai redouté de me montrer subjectif et trop optimiste. C’était mon frère.
« A la deuxième montée, j’ai eu encore plus peur. La course a été arrêtée une quarantaine de secondes après son départ. Était-il sorti de la route ? Non. C’était une Mégane partie juste avant lui qui avait fait un tête à queue peu après la carrière. Rien de grave. Le pilote s’en sortait indemne et la voiture n’était pas trop abîmée.. Arnaud est redescendu et il est reparti une troisième fois puisqu’il n’avait pas pu boucler sa seconde montée. Le cœur battant, j’ai attendu le verdict du chrono. Le temps m’a paru long, très long. Pourtant j’avais l’habitude de ces situations depuis le temps que j’allais sur les circuits avec ma famille et nos amis. Le speaker a hésité. Le classement se faisait à l’addition des temps des deux montées. Oui, c’est bien ça, c’est sûr maintenant, Arnaud Trélor remporte la classe 1600 à 2000 du groupe N devant l’Italien Ricardo Valvini sur Clio Williams et l’Autrichien Hans Wallenegr sur Honda Integra Type R. Une très belle performance pour le jeune Arnaud Trélor qui etc… Le soir, nous avons fêté ça dignement, conclut Fabien. Nous nous moquions bien qu’il ait fait mauvais toute la semaine. De toute façon, nous avons toujours adoré le Mont-Dore dans la famille et c’est une histoire d’amour qui n’est pas près de s’arrêter… »
NOTE MODIFIÉE LE 8 AOÛT 2014
La course de côte du Mont-Dore m’a inspiré un polar dans l’univers de la course automobile. L’histoire s’intitule LE PACTE DU TRICHEUR. Elle se déroule en Auvergne. La course emprunte le tracé de la route du Col de la Croix Saint-Robert.
Après la fiction, des annexes abordent la question des superstitions des pilotes en se fondant sur des anecdotes véridiques mettant en scène des pilotes d’hier et d’aujourd’hui.
Le livre est disponible en cliquant sur http://amzn.to/1jAhsoF
Je vous invite également à lire (gratuitement) cette courte histoire illustrée qui se déroule pendant une édition de la course de côte du Mont-Dore Chambon-Sur-Lac
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Thierry Le Bras