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  • LE MANS 68 (3) : Pedro Rodriguez et Lucien Bianchi remportent la mise

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    Dans les 2 notes précédentes (cf 1ère partie : http://bit.ly/1dqEzSG et 2ème partie : http://bit.ly/1llQF1U ), je vous ai raconté la course jusqu’au bout de la nuit mancelle. Le public français exultait toujours le dimanche matin. Pour la première fois depuis bien longtemps, une voiture bleu France figurait aux avant-postes. Les applaudissements crépitaient à chaque passage de la Matra qui se maintenait en seconde position.

    La Ford GT 40 bleue et orange du Team John Wyer pilotée par Pedro Rodriguez et Lucien Bianchi menait toujours la danse. Malmenée par les Porsche 908 sur les courses de 1000 kilomètres, la Ford GT 40 imposait sa fiabilité et la puissance de son moteur 5 litres sur la distance. Un constat qui conduirait Porsche à réaliser que pour gagner une épreuve très longue, une machine Sport 5 litres possédait des arguments de poids face à un proto 3 litres. Autant dire que ces 24 Heures 1968 ont influencé le développement de la Porsche 917 et de sa future rivale, la Ferrari 512.

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    Chez Porsche, on avait souffert et on n’espérait plus la victoire du proto 908 3 litres. C’est aussi ça la course. Parfois on gagne, parfois tout va mal et on galère tout le week-end… Tous les team-managers et tous les pilotes connaissent ces moments pénibles.

    Drame au Tertre Rouge

     « L’Alpine A 220 N° 27 de Mauro Bianchi est sortie de la piste au Tertre Rouge », annonça soudain le speaker officiel. Elle occupait la sixième position. Le silence qui suivit s’accompagna d’une angoisse intense.

     Le Tertre Rouge a éliminé beaucoup de voitures dans l’histoire des 24 Heures. Heureusement que ce n’est pas un enchaînement très rapide. Mieux vaut sortir là qu’à plus de 300 à l’heure à la fin des Hunaudières.

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    Les nouvelles du pilote ne tarderaient pas à tomber. Mauro Bianchi – le grand-père de Jules Bianchi qui se faire maintenant un prénom dans le monde de la course automobile - souffrait de graves brûlures, mais ses jours n’étaient pas en danger.

     Que  ressentit son frère Lucien ce jour-là ?  Il était  en tête des 24 Heures du Mans et son frère était gravement blessé. Malgré tout, il devait continuer à piloter au même rythme. Et que pensa Pedro Rodriguez ? Lui qui était passé près de l’exploit 7 ans plus tôt avec son petit frère Ricardo ? Les deux Mexicains faisaient équipe au volant d’une Ferrari. Sans doute Pedro comprit-il mieux que personne l’angoisse de Lucien. Et peut-être, malgré son entente avec son équipier, songea-t-il qu’il aurait aimé courir à nouveau avec Ricardo, le petit frère disparu un jour de Toussaint, à l’âge de 20 ans, aux essais de leur Grand-Prix national, celui du Mexique 1962.

    Victoire finale de pilotes éclectiques

     La série noire continua pour les voitures bleues. A 12 heures 20, un pneu de la Matra éclata dans les Hunaudières. Personne ne connaîtrait jamais l’origine certaine de ce problème, mais il n’est pas impossible que le pneu ait été détérioré en roulant sur les débris de l’Alpine A 220 au Tertre Rouge. La Matra prit feu et s’immobilisa sur le bord de la piste. C’en était fini des espoirs de voir une voiture bleue sur le podium des 24 Heures 1968. Il faudrait attendre 1972 avant que Matra réalise un superbe doublé, Henri Pescarolo et Graham Hill devançant François Cevert et Ganley. Les voitures françaises remporteraient aussi les deux éditions suivantes avec l’équipage Henri Pescarolo - Gérard Larousse.

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     Il restait deux heures trente de course. La GT 40 de tête n’avait plus de rivale. Seuls une sortie de piste ou un problème mécanique pouvaient la priver de la victoire. Mais en sport automobile, la première place n’est acquise qu’une fois le drapeau à damier franchi. La voiture de Pedro Rodriguez et Lucien Bianchi tint bon. A 15 heures, elle inscrivit son nom au prestigieux palmarès des 24 Heures du Mans et apporta à Ford le titre de champion du monde d’endurance 1968. La Porsche 907 de Spoery – Steineman et la 908 de Stommelen – Neeparsch complétaient le podium.

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     La première Alfa, celle de Galli et Giunti s’empara de la quatrième place.

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    A défaut de podium avec l’A 220, Alpine remporta l’indice de performance avec les sympathiques petites A 210. Leurs pilotes portaient des noms qui ne tarderaient pas à faire vibrer les amoureux de notre sport préféré : Andruet, Thérier, Wollek, Vinatier, Nicolas, tous de futurs grands pilotes et des personnalités particulièrement attachantes.

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     Pedro Rodriguez fut avec son frère Ricardo un des premiers « baby-pilotes » de l’histoire de la course automobile. Pedro, l’aîné, commença à courir au volant d’une Jaguar XK 120 à l’âge de quinze ans. Ricardo, son cadet de deux ans, devint Champion des courses de voitures de tourisme au Mexique à quatorze ans. Ils étaient des pilotes éclectiques, capables de jouer les premiers rôles dans toutes les disciplines. L’arrivée en F1 de leur jeune, fougueux et talentueux compatriote Sergio Perez cette année m’a rappelé leur souvenir. J’y reviendrai dans quelques semaines. Lucien Bianchi aussi était un pilote complet capable de s’imposer dans toutes les disciplines. En 1968, avant de remporter Le Mans, il était monté sur le podium du Grand-Prix de Monaco Et à la fin de l’année, il disputait le Marathon Londres – Sydney au volant d’une DS 21. Il était d’ailleurs en tête de ce rallye à quelques kilomètres de l’arrivée lorsqu’une voiture de touristes imprudents vint le percuter. La responsabilité de Lucien Bianchi n’était aucunement engagée dans l’accident. Sans cet aléa, il aurait remporté le premier Londres – Sydney.

    Et les autres ?

    Impossible de parler de toutes les voitures dans cette note sans bafouer les règles de base de l’écriture web avec lesquelles j’ai déjà pris quelques libertés en allongeant mon texte au-delà du raisonnable. Quand on aime – la course – on ne compte pas (les signes et espaces) avec la fonction « statistiques » du  traitement de texte.

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     Peut-être un jour l’idée de raconter la course d’un des pilotes non cités aujourd’hui après avoir recueilli un nouveau témoignage ou une nouvelle anecdote me conduira-t-elle à mettre en ligne un nouveau chapitre de l’histoire de ces 24 Heures 1968 pas tout à fait comme les autres. En attendant, deux infos complémentaires avant de conclure. En GT, le Belge Jean-Pierre Gaban associé à son compatriote Roger Van der Schrick imposait sa Porsche 911 T.

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     Les petites Alpine A 110 des hommes de l’Ouest  Bourdon – Nusbaumer – Pouteau (N° 61) et de Colomb – Lacarreau (N° 51) bouclaient vaillamment l’épreuve. N’ayant pas parcouru une distance suffisante, elles ne figureraient malheureusement pas sur le classement officiel. Qu’importe, les Berlinettes se vengeraient de cet affront sur les routes du monde entier en devenant les terreurs des rallyes nationaux et internationaux.

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

    Les nouvelles publications de CIRCUIT MORTEL sont désormais mises en ligne sur http://circuitmortel.com

     Quand Pedro Rodriguez pilotait une Porsche 917

     http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/06/06/belles-de-course-les-porsche-917.html

     La Triumph Spitfire a couru au Mans

     http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/07/12/quand-la-triumph-spitfire-faisait-planer-la-jeunesse.html

     Un excellent site consacré aux Alpine dans l’ouest

    http://www.alpine-grand-ouest.com/actu-ago/actu-alpine-grand-ouest.html

     

    Quelques jeux de mots autour du sport automobile, de la cuisine et des sports de combat

    http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/article-question-de-vocabulaire-81262654.html

     Thierry Le Bras

  • LES ALPINE DE MARCEL GRUÉ

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    Marcel Grué fait partie des grandes figures du sport automobile dans l'Ouest. En 1998, il comptait 34 saisons de course automobile et s'était aligné au départ de plus de 500 courses...

    Marcel Grué a piloté quantité de voitures de la Peugeot 203 à la Ford Sierra Cosworth en passant par la Dauphine 1093, la R8 Gordini, la Toyota Celica, la Ford Capri 3000, la R5 Turbo et quelques autres encore dont l'inévitable Berlinette Alpine 1600 SC.

    Ceux qui couraient ou suivaient les courses de côtes en 1977 se souviennent tous de sa fameuse Alpine blanche qu'il tractait avec une DS 21.

    Portière contre portière

    Marcel n'a jamais hésité à se frotter à la concurrence. En 1966, il dispute le Championnat des aspirants avec sa R8 Gordini. « J'étais en tête les six premiers mois, confiera-t-il une vingtaine d'années plus tard à Ludovic Bellanger, le spécialiste du sport automobile à Presse Océan. Mais ensuite, je n'avais pas les moyens de partir dans le sud de la France pour continuer le championnat et c'est Andruet qui a gagné. »

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    Marcel finit tout de même troisième et s'attaque à la Coupe Gordini l'année suivante. Parmi les grands moments de l'année figure un fameux duel avec un futur champion de F1. « A Albi, je me souviens d'une grosse bagarre avec Jean-Pierre Jarier, confiera le Nantais à Ludovic. Portière contre portière, on prenait les échappatoires, les ralentisseurs... On perdait du temps, mais on s'amusait. »

    Une expérience qui se révélera utile lorsque Marcel pilotera une Commodore GSE aux 24 Heures de Spa Francorchamps comme quand il engagera sa Capri 3 litres dans des épreuves en circuit. Et aussi en course de côte où la finesse des trajectoires joue un rôle capital. De 1973 à 1975 par exemple, Marcel court en Alfa Roméo 2000 GTV et remporte sa catégorie dans 28 des 29 courses auxquelles il participe. Puis viennent les années Alpine, de 1976 à 1978.

    L'Alpine, un choix raisonnable

    « Les gens rêvaient de ce constructeur, se rappelle-t-il. Moi, c'est une voiture que j'aimais bien, sans plus. »

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    La Berlinette va pourtant marquer une nouvelle période faste. Je me rappelle particulièrement l'été 1977. Un été meurtrier... pour les rivaux de Marcel Grué. Corcoué sur Logne, Saint-Germain sur Ille, Pluméliau, Pouillé les Coteaux, Le Mont-Dore, Saint-Gouëno, Neuvy Le Roy, Saumur Saint-Hilaire et d'autres courses encore... C'est simple, Marcel gagne partout.

    Et ça recommencera en 1978 ! Une Berlinette bleue succède à la blanche. Mais sa présence tue toujours le suspense. « Les autres n'ont qu'à aller plus vite », plaisante-t-il.

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    Chez les Grué, la course est une fête de famille. Marie-Jo, l'épouse du pilote nantais, est aussi passionnée que lui. Elle prendra même le départ d'une édition d'une édition de la course de côte de Pouillé les Coteaux au volant d'une Simca 1000 Rallye 2 d'emprunt. Quant à Nicolas, le fils, il pilotera à son tour à une époque, hélas, moins ouverte aux gentlemen drivers.

    La Berlinette blanche de Marcel Grué roule encore aujourd'hui. Patrick Bourdais (le papa de Sébastien) l'a rachetée à Marcel Grué en 1978 et il a couru en côte avec. Puis, après diverses pérégrinations, au début des années 2000, Thomas Delago, un collectionneur allemand qui roule parfois en VHC, l'a rachetée et restaurée.

    Les nouvelles publications de CIRCUIT MORTEL sont désormais mises en ligne sur http://circuitmortel.com

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

    Saint-Germain sur Ille, haut lieu de la course de côte

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2011/03/10/course-de-cote-de-saint-germain-sur-ille-1973-et-1974-les-vo.html

    Un autre souvenir de 1977

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/11/17/course-de-cote-de-neuvy-le-roy-un-bon-souvenir.html

    AGO, Alpine Grand Ouest, un site Alpine à découvrir absolument

    http://www.alpine-grand-ouest.com/actu-ago/actu-alpine-grand-ouest.html

    NOTE : Les sources de ce texte sont le numéro spécial La Passion de l'Auto, écrit, réalisé et édité par Ludovic Bellanger en 1998 ainsi que des souvenirs personnels corroborés par des documents d'époque. Je profite aussi de cette occasion pour remercier Marcel Grué des nombreux conseils qu'il m'a prodigués quand je commençais la compétition.

    Thierry Le Bras

  • TRAJECTOIRES ET GOMME BRÛLÉE

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    La victoire de Jenson Button au Canada m'a réjoui car l'Anglais est un authentique gentleman et un pilote très fin. Elle m'a aussi rappelé quelques anecdotes entendues le long des pistes...

    Jenson est un pilote intelligent qui économise sa voiture et ses pneumatiques, ce qui lui a permis à plusieurs reprises de prendre l'avantage sur des rivaux à l'agonie. Rouler fort en ménageant l'auto n'est pas chose aisée. En son temps, l'immense Jim Clark fit partie des pilotes qui excellaient dans cet exercice.

    Spectacle ou efficacité ?

    Loin des pistes de F1, au bord des tracés de courses de côtes, les spectateurs n'apprécient pas toujours l'art du pilotage à sa juste valeur. Loin s'en faut. Tous les passionnés de compétition se souviendront d'anecdotes cocasses qui auront écorché leurs oreilles averties.

    tags : courses de côtes,sorties de piste,berlinette,alpine,saint-gouëno,mont-dore

    Ainsi, quand un pilote se loupe, freine trop tard, part en travers ou en tête à queue (ici Vladimir Barras au Mont-Dore 2002), il ne manque jamais de pros de la beaufitude pour s'écrier que « celui-là, il va vite, ça doit être lui le champion du monde... » L'extase émane le plus souvent d'un type bien rougeaud qui passe plus de temps à la buvette qu'à regarder les pilotes. La pollution olfactive qu'il dégage en témoigne. Des effluves d'alcool qui tâche grave mêlées à la transpiration qui n'ont rien à voir avec le bouquet de ce petit Bordeaux qui accompagne si bien la côte de boeuf au poivre ni le délicieux parfum de votre Mandarine Napoléon préférée. Arrivé à la course de côte par hasard, le beauf aurait tout aussi bien pu se rendre au concours de l'Amicale bouliste de Trifouilli les trois canards. Du moment qu'il y a une buvette..;

    Il y va tout de même de son avis de prétendu spécialiste, car le ridicule ne tue pas, heureusement, sauf pour les entrepreneurs de pompes funèbres, les fabricants de cercueils et les marbriers.

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    Car en vérité, le pilote qui allume ses roues, frôle le tout droit ou part en travers, perd de précieux dixièmes qui signifient une montée morte. Anthony Gasquet, pilote d'une Lucchini, se serait bien passé de cette frayeur au Mont-Dore 2002.

    L'auto s'est freinée sur ses roues, elle sortira trop lentement du virage loupé. Sans compter qu'après un plat sur un (ou plusieurs) pneu(s), la voiture risque de se comporter bizarrement dans le virage suivant et que son conducteur a intérêt à gérer son émotivité s'il veut éviter une nouvelle faute.

    Sobriété fait plus que rage et que glisse

    Dans les écoles de pilotage, les moniteurs apprennent à leurs élèves que les frottements des pneus ralentissent la voiture et que moins ils tournent les roues tout en inscrivant l'auto sur la trajectoire parfaite, plus ils iront vite.

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    Seule satisfaction pour le pilote qui s'est loupé comme celui de cette Berlinette à la CC de Saint-Gouëno 1974, celle d'avoir sauvé l'auto. Tant que la caisse n'est pas cassée, que les trains sont intacts et les pneus sauvegardés, il reste l'espoir de réussir la deuxième montée parfaite ou de prendre sa revanche dès l'épreuve suivante. C'est forcément ce qu'espère Julien France à l'instant précis saisi ci-dessous.

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    Si l'incident s'est produit à la première montée et que le pilote échaudé passe de façon sobre mais efficace à la seconde, le rougeaud enthousiaste dont la perspicacité décline au fil des verres et/ou des canettes manifestera son dépit. « Y s'est fait peur le mec. Il a les chocottes maintenant. Il avance plus. Ah que si c'était moi au volant, comment que j'mettrais la patate et que je j'leur montrerais c'que c'est que faire couiner les pneus. Y-zont-qu'à m'les prêter leurs bagnoles et j'leur montrerai moi. Pis d'abord moi, j'conduisais déjà le tracteur de tonton Momo à 12 ans, quand eux, y-z-étaient encore sur leurs vélos... » Que le pilote sobre remporte sa catégorie ne changera rien à l'avis éclairé du spectateur du dimanche.

    QUELQUES LIENS A SUIVRE :

    Des portraits de Jenson Button

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/10/28/john-et-jenson-button-ou-les-valeurs-du-rallycross.html

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/08/25/jenson-button-et-nico-rosberg-se-mouillent.html

    Sorties de piste en course de côte

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2011/01/05/sorties-de-piste-en-course-de-cote.html

    La première sortie de route de Ronnie (fiction illustrée et humoristique)

    http://confidentielpaddocks.over-blog.com/article-36659346.html

    Thierry Le Bras