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CIRCUITMORTEL - Page 77

  • UNE 80 QUATTRO GROUPE N EN RALLYE

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    Si le système Quattro se révèle formidablement efficace dans certaines conditions, notamment sur neige et verglas, il présente un inconvénient sérieux, son poids.

    Au Monte-Carlo 1984, Audi remporta outre les trois premières places du scratch les groupes N et A avec des 80 Quattro.

    Mais dans les rallyes traditionnels, le modèle 80 Quattro se montra plus discret. Ici, au Rallye d’Armor 1984, Guerbois prendra finalement la seconde place du groupe N derrière la Golf GTI de Guillotin.

    Le pilote dut vraiment « aller au boulot » pour conquérir cette place. Normal, le rallye se disputait non un week-end, mais le lundi 30 avril et le mardi 1et mai, jour de la fête du travail !

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    Argument de performance en compétition, le système Quattro apporte aussi un surcroît de sécurité au conducteur de tous les jours. Mais il semble que malgré les efforts et le talent des services de communication du groupe VAG, tout le monde n’ait pas encore parfaitement compris la signification du sigle accolé aux désignations des modèles de la marque aux anneaux. Pour preuve un petit diaporama qui circule en ce moment sur le Net. Je ne résiste pas au plaisir de vous en rapporter l’essentiel.
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    La scène se déroule lors d’un contrôle routier au péage où 5 copains arrivent à bord d’une Audi Quattro.

    Un motard de la gendarmerie demande les papiers du véhicule et du conducteur. Après les formalités d’usage, un dialogue s’engage entre le gendarme et le conducteur.

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    - Vous êtes dans une Audi Quattro, déclare très sérieusement le gendarme. Vous ne pouvez pas passer, ou alors l’un de vous doit sortir du véhicule.

    - Écoutez, le nom du véhicule n’a rien à voir avec le nombre d’occupants, rétorque ironiquement le conducteur. Nous avons le droit d’être 5.

    - Pas question, s’entête le gendarme. Vous êtes dans une Audi Quattro. Vous devez être 4 occupants au maxi. Si l’un de vous ne descend pas, je ne vous laisse pas passer.

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    - Je vous dis que le terme Quattro se rapporte à la propulsion sur les 4 roues, lance le conducteur d’un ton tranchant. Ça n’a rien à voir avec le nombre  d’occupants.

    - Pas question, rabâche le gendarme d’une voix butée. Je ne vous laisse pas passer tant que l’un de vous ne descend pas de l’Audi Quattro.

    - Fini la plaisanterie !!! s’énerve le conducteur excédé. Vous êtes un incapable !!! Faites venir votre chef, que je puisse régler le problème avec lui.

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    - Ce n’est pas possible, répond le gendarme, imperturbable. Il est occupé avec 2 connards dans une Fiat Uno.

    Thierry Le Bras

  • LA 908 ORECA DOIT REVENIR AU MANS

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    Classe, fair-play, respect de l’adversaire, telles sont les impressions que laissent les déclarations des pilotes de la Peugeot 908 Oreca, Olivier Panis, Nicolas Lapierre et Loïc Duval au terme des 24 Heures du Mans 2010. J’avais avoué ma qualité de supporter de cet équipage sur Circuit Mortel :

     http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/03/loic-duval-pilote-908.html

    Et :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/03/09/908-contre-r15.html

     

    Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu pour les Peugeot cette année. Quatre voitures aux quatre premières places après les essais qualificatifs, et quatre abandons avant la ligne d’arrivée.

     

    La 908 Oreca tenait son rang. Retardée par un bris de cardan à 3 heures du matin, la voiture avait perdu cinq tours. Malgré tout, au début de l’après midi du dimanche, elle était sur le point d’accéder au podium lorsque la mécanique en décida autrement. C’est ça aussi la course. Parfois, elle apporte des joies immenses qu’accompagne le pétillant Champagne de la victoire. D’autres fois, elle s’achève sur le goût amer de la déception, voire des larmes comme celle de Sébastien Bourdais, pilote officiel Peugeot et auteur de la pole.

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    Loïc Duval n’aura pas reçu le cadeau qui lui aurait fait

    le plus plaisir pour son 28ème anniversaire qui tombait samedi,

    à savoir un podium au Mans. Ce n’est que partie remise !

     

    « C’est un peu dur d’abandonner à une heure de la fin, regrette Loïc Duval. Mais il y en a d’autres  comme Franck (Montagny), Stéphane (Sarrazin) et Sébastien (Bourdais) à qui c’est encore passé sous le nez alors qu’ils courent après depuis des années. L’auto était bien. Je pouvais tout donner pour aller chercher Capello, mais nous n’avons pas touché aux réglages du moteur pour autant, c’était ceux que nous avons utilisés toute la course. La mécanique n’a pas voulu suivre. C’est Le Mans, on le sait. Il faut féliciter Audi, ils ont connu zéro problème. »

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    « Un moment terrible pour toute l’équipe, confirme Olivier Panis. On a fait le maximum. On savait qu’on pouvait avoir le podium. Loïc (Duval) et Nicolas (Lapierre) ont été très performants toute la matinée. Nous étions rendus à 10’’ derrière  l’Audi pour la troisième place… Revanche l’an  prochain. »

     

    Pas question de reprocher leur attaque aux pilotes de la 908 Oreca. « On avait dit gaz à fond à Loïc et Nicolas, témoigne Hugues de Chaunac, patron du team. Mais si on avait soupçonné le moindre problème sur le moteur, nous aurions  décidé de lever. »

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    Loïc Duval aura réalisé le meilleur temps en course, ce qui démontre, outre la fiabilité et la rapidité du pilote, la compétitivité de toute l’équipe. Alors, rendez-vous l’an prochain avec l’équipage Duval – Panis – Lapierre pour un podium.  Si possible sur la première marche. Ils le valent bien, même s’ils ne font pas de pub pour une certaine marque de shampoings.

     

    Et Bravo Audi, les plus forts cette année. Une victoire qui permet à la marque aux anneaux de  rejoindre Ferrari au nombre de victoires dans la  Sarthe (neuf).

     

    Pour plus de détails sur la course de l’équipe de la 908 Oreca, cliquez sur le site de Loïc Duval :

    www.loicduval.fr

     

    Thierry Le Bras

  • DE LA MK II A LA FORD GT 2010

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    Bruce McLaren et Chris Amon, vainqueurs au Mans en 1966

     

    1966, la lutte promet d’être chaude aux 24 Heures du Mans. Ford engage 13 GT 40 dont 8 MK II 7 litres. En face, Ferrari dispose de 14 voitures, mais seulement de 3 P 3, son dernier proto, et de 4 P 2, un modèle un peu dépassé. Ce n’est pas avec les Dino 2 litres que Ferrari ira chercher les Ford. Henry Ford Il a fait le déplacement des États-Unis et il donnera le départ de la course samedi. Il veut assister au triomphe de ses voitures. Si Ford gagne, la victoire américaine consacrera le triomphe de la série sur les modèles de grand luxe inabordables. Le moteur des MK II sera monté sur des Mustang et des Cougar dès 1967, c’est à dire sur des voitures que des tas de gens achèteront. Alors que les V 12 Ferrari seront toujours réservés à une poignée de milliardaires généralement plus collectionneurs d’objets de prestige que conducteurs passionnés.

     

    Le duel Ford – Ferrari à son apogée

     

    La bagarre entre les deux constructeurs dépasse la simple rivalité sportive. Ford a voulu acheter Ferrari. Henry Ford II lui-même croyait l’affaire dans la poche. Mais les négociations ont capoté, sans doute parce qu’Enzo Ferrari, le Commandatore, voulait rester le patron de l’activité compétition alors que Ford entendait logiquement la contrôler. Il se murmure aussi qu’Enzo Ferrari n’a jamais voulu vendre à Ford. Il se serait contenté de susciter une offre qui donne un prix à sa marque, un prix qu’il demandera à FIAT s’il a trop besoin d’argent pour maintenir son écurie au sommet. En tous les cas, à Détroit, Henry Ford II a décidé qu’il écraserait Ferrari au Mans.

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    Bruce McLaren fut pendant quatre décennies le plus jeune vainqueur de Grand-Prix

    de l’histoire de la Formule 1

     

    Ferrari dispose de pilotes exceptionnels comme Pedro Rodriguez, Nino Vaccarella, John Surtees, Mike Parkes, Ludovico Scarfiotti, Richie Ginther, Lorenzo Bandini, Jean Guichet, Masten Gregory, Bob Bondurant… Mais Ford aussi aligne des pilotes de premier plan : Bruce Mclaren, Chris Amon, Denis Hulme, Ken Miles, Mario Andretti, Graham Hill qui vient de remporter les 500 miles d’Indianapolis et fut, ne l’oublions pas, champion du monde de F1 en 1962, Lucien Bianchi, Jochen Neerpasch, Jochen Rindt, le vainqueur de l’an dernier, Guy Ligier, Jacky Ickx… Une véritable Dream Team.

     

    Ford sort victorieux du premier bras de fer que se livre les favoris lors des séances d’essais. Dan Gurney a tourné à plus de 230 kilomètres heure de moyenne, s’enthousiasma Jean-Philippe de retour de la salle de presse avec une feuille de temps. C’est le meilleur temps jamais réalisé sur la piste du Mans. Il a annoncé que les Ford tiendraient jusqu’au bout et qu’elles gagneraient la course à plus de 200 de moyenne. Les Ferrari sont dominées. La première est à 3 secondes !

     

    Chaque clan va connaître quelques déboires avec les pilotes. Il n’y a pas assez de gros prototypes P2 et P3 pour tous les pilotes de premier plan. Certains seront relégués sur des Dino 2 litres qui ne pourront pas se battre pour la victoire. Nino Vaccarella menace de rentrer chez lui à Palerme si on ne lui donnait pas une P 3. Rien ne va plus entre John Surtees, le champion du monde de F1 1964 et Eugenio Dragoni, le patron de la Scuderia. Chez Ferrari, on prétend douter de la résistance de Surtees qui a été gravement accidenté en 1965. Balivernes. Surtees a remporté le Grand Prix de Spa quelques semaines plus tôt, il a gagné à Monza sous la pluie, il a mené à Monaco jusqu’à ce que la poubelle que lui avait confiée Dragoni casse. Il est en disgrâce, comme beaucoup d’autres pilotes de la Scuderia  avant et après lui, tout simplement. Il claquera porte de l’écurie italienne après les premiers essais.

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    Chez Ford, Dick Thompson, l’équipier de Graham Hill, va connaître des problèmes avec les organisateurs. Aux essais du jeudi soir, il rattrape la GT 40 privée de Holquist. Apparemment, Holquist ne le voit pas. Il fait un écart. La MK II freine, mais elle ne peut éviter de toucher l’arrière de la GT 40 qui part dans les champs. Les organisateurs reprochent au pilote de la MK II de ne pas avoir au moins signalé l’accident lors de son retour aux stands. Ils excluent Thompson de la course, mais pas sa voiture. Résultat, Graham Hill n’a plus de coéquipier. Jackie Stewart et A.J. Foyt sont indisponibles parce qu’ils se sont blessés en course récemment. En plus, théoriquement, chaque pilote doit avoir participé à des essais de jour et de nuit. Un imbroglio total. Ford menace de se retirer de la course Les choses s’arrangent finalement le vendredi en fin de matinée. Les organisateurs permettront au nouveau pilote appelé à épauler Graham Hill de faire ses preuves le samedi matin. Ils ouvriront la piste à cet effet durant quelques minutes. Tout monde accepte l’arrangement. Finalement, le constructeur américain associe Muir à Hill.

     

    Lorsqu’Henry Ford  abaisse le drapeau tricolore, ses voitures s’emparent immédiatement du commandement. En soirée, elles caracolent toujours en tête. Gurney et Grant devancent Miles et Hulme de 2 secondes. Rodriguez et Ginther sur la première Ferrari suivent à 23 secondes, marqués par deux autres Ford celles de Bucknum  Hutcherson et de Hill – Muir.

     

    Un Titan terrasse l’autre

     

    A 22 heures, la raison du plus Ford reste la meilleure. Certes, Pedro Rodriguez et Ritchie  Ginther viennent de prendre la tête devant les Ford qui ont changé leurs plaquettes et leurs disques de freins. Mais Dan Gurney, Graham Hill, Bruce McLaren et les autres cravachent à un rythme qui annonce une remontée rapide sur la P 3 d’ici environ 1 heure 30. D’ailleurs, qui dit que les P 3 ne vont pas procéder aux mêmes interventions sur leurs freins ? Il reste 18 heures de course. D’après ce qu’elles ont montré en début de course, les Ford vont terrasser les Ferrari. Mais rien n’est encore certain. En course automobile, la victoire ne s’acquiert que quand la voiture passe sous le drapeau à damier.

     

    Sur la piste, la bataille faisait toujours rage. Les Ferrari sont de rudes adversaires et elles ne rendront les armes qu’après avoir tout donné. Mais mi-course, la déroute des voitures italiennes est consommée. Le cavalino était à terre, souffle coupé. Six Ford mènent la danse à un train d’enfer, tandis que la dernière Ferrari P 3 en course, celle de Bandini et Guichet, n’occupe que la douzième position.  A 9 heures le dimanche matin, la dernière P 3 s’immobilise devant son stand, transmission cassée. Aucun prototype Ferrari ne verra la ligne d’arrivée. Cette fois, aucune Ferrari privée n’est en mesure de sauver la mise du constructeur italien. Ford gagnait par KO.

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    A 16 heures les Ford MK II de McLaren – Amon et Miles –Hulme passent ensemble sous le drapeau à damier, suivies de celle de Bucknm – Hutchinson, troisième à douze tours. Les deux  premières voitures ont par contre parcouru le même nombre de tours et Ford espère les voir classées premières à égalité. Mais quelques minutes plus tard, les spectateurs apprendront que la Ford MK II de Bruce McLaren et Chris Amon s’impose au classement général devant celle de Miles et Hulme. Partie sur la grille de départ 14 mètres derrière celle qui avait franchi la ligne d’arrivée à son niveau, la Ford MK II noire des deux Néo-zélandais entre dans l’histoire des 24 Heures du Mans. Les organisateurs utilisèrent ce petit écart afin de départager les deux premières voitures. Conformément au pronostic de Dan Gurney, Ford gagnait l’épreuve à plus de 200 kilomètres heure de moyenne. La MK II de McLaren – Amon avait parcouru 4.843,90 kilomètres à une moyenne de 210,90 kilomètres heure. Un nouveau record !

     

    Un épisode qui sera sans nul doute un temps fort dans le film consacré à la vie de Bruce McLaren s’il voit le jour.

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/04/13/stars-drivers.html

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    James Calvert, le comédien qui, à mon sens,

    serait parfait dans le rôle de Bruce McLaren

     

    La vie de Bruce McLaren vaut bien un film et le projet existe. Les contributions de personnes ayant connu Bruce McLaren sont d’ailleurs les bienvenues :

    www.thebrucemclarenmovie.com

     

    Souhaitons donc que la carrière de Bruce McLaren arrive prochainement sur nos écrans.

     

    Ford GT, le retour

     

    La Ford GT, quant à elle, est bien de  retour, sinon dans nos rues, tout au moins sur les pistes. Rien d’étonnant d’ailleurs à notre époque passionnée de mode Vintage.  D’autres modèles inspirés des sixties contribuent grandement au chiffre d’affaires des firmes qui les ont fait renaître de leurs cendres. Les nouvelles Mini Cooper et Fiat 500 ont tout de suite emballé le public.

     

    Renault fait revivre le sigle Gordini

    http://www.r8gordini.com

     

    Citroën rappelle ses clients aux valeurs Vintage avec les DS :

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/11/06/le-retour-de-la-ds-citroen.html

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    Le Vintage représente à l’évidence une recette de succès et ses saveurs épicées contrastent agréablement avec le goût insipide de la plupart des voitures modernes. Comparer une voiture des sixties  ou un modèle inspiré de leurs valeurs à une bête machine du XXIème siècle faite pour aller de A à B à une vitesse d’escargot sans consommer ni émettre de sons rageurs, c’est comme s’interroger sur l’intérêt d’un sandwich sous vide acheté à l’hyper par rapport à un déjeuner dans un restaurant gastronomique.

     

    Face à ce constat, Ford a ressuscité la Ford GT pour célébrer le centenaire de la marque et certaines équipes l’engagent en compétition. Parmi eux, le Team Matech qui en engage deux au Mans cette année. Une de ces  voitures est confiée à un équipage féminin, Natacha Gachnang, Rahel Frey et Cindy Alleman. L’autre est pilotée par Romain Grosjean, Thomas Mutsch et Jonathan Irschi.

     

    La Ford GT de l’équipe Matech a remporté deux victoires en Championnat FIA GT cette année. Rappelons en outre que les Ford GT ont remporté les trois premières places de la catégorie GT1 aux 1000 kilomètres de Spa. Les Ford GT Matech ne sont donc pas venues faire de la figuration au Mans. Nul doute en tout cas qu’à l’image de leurs glorieuses aînées, elles feront vibrer le public !

     

    Texte :

    Thierry Le Bras

     

    Quelques références :

     

    Dans la note précédente, j’ai inséré quelques liens vers des notes destinées à plonger le lecteur au cœur de l’atmosphère si particulière des 24 Heures du Mans. En voici d’autres :

     

    * les premiers représentent ma modeste contribution au site du Comité Bretagne – Pays de Loire de la FFSA animé par Gaël Meignen :

     

    La saga  des Frères Rodriguez au Mans

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=715:la-saga-des-freres-rodriguez-au-mans&catid=1:circuit&Itemid=3

     

    Le Mans 1980 : Jean Rondeau premier de classe

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=723:le-mans-1980-jean-rondeau-premier-de-classe&catid=1:circuit&Itemid=3

    mini-Roll1_B006717-R1-10-10.JPG
     Le Mans 1980 : quelques images d’époque

     

    http://www.sportauto-comite12.org/index.php?option=com_content&view=article&id=731:le-mans-1980-quelques-images-depoque&catid=1:circuit&Itemid=3

     

    * un petit clin d’œil à Romain Grosjean que j’ai déjà évoqué sur ce blog :

     

    Pilote et fin gourmet

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2010/02/10/pilote-et-fin-gourmet.html

     

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    * et enfin, pour  suivre et supporter la course de l’équipage de la Peugeot 908  Oreca, à savoir Olivier Panis, Nicolas Lapierre et Loïc Duval, un lien vers ORECA TV :

    http://www.oreca-racing.com/actu/oreca-tv

     

    En conclusion, une formule s’impose :

     

    BONNES ET HEUREUSES 24 HEURES DU MANS 2010 !