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CIRCUITMORTEL - Page 228

  • TOUR DE FOLIE EN F1

    TOUR DE FOLIE A MONACO

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952). Il nous raconte aujourd’hui une arrivée de Grand Prix pleine de surprises. Le lecteur observera que personnages de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel.

                En 1982, Didier Pironi pilote une Ferrari et apparaît comme l’homme fort du championnat. Il aborde le dernier tour du Grand prix de Monaco en tête quand tout à coup, le moteur commence à hoqueter. Didier balance sa monoplace d’un bord à l’autre de la piste dans l’espoir de faire remonter quelques gouttes d’essence du réservoir vers les injecteurs. Peine perdue. Le moteur s’éteint après un dernier soubresaut. La Ferrari s’arrête sur le bord de la piste.

                - Je suis en tête de la course, se souvient Freddy. J’ai du mal à y croire, car Ddier me devançait de 25 secondes au tour précédent. Cette année-là, le team Priceley pour lequel je courais n’avait pas encore adopté le moteur turbo. Nous avions toujours le V 8 Cosworth, un fameux moteur, si ce n’est qu’il commençait à accuser le poids des ans. Nous souffrions face à la Ferrari de Didier et aux Renault. En plus, notre châssis n’était pas parfait non plus.

                « Didier était le pilote que j’estimais et que j’appréciais le plus, poursuit Freddy Vivien. Mais la course est la course. Monaco représente quelque chose d’extraordinaire, le Grand Prix le plus prestigieux de l’année. Je le savais d’autant mieux que j’avais déjà gagné en Principauté.

                Tous les pilotes de toutes les générations le confirmeront. Les derniers tours en tête d’un Grand Prix génèrent une angoisse de la casse tout à fait particulière.

                - Tu entends des bruits suspects partout, confirme Freddy. Tu as toujours l’impression que quelque chose va casser. Moi, j’étais d’autant plus inquiet que la boite de vitesses de la Priceley me causait des soucis depuis une dizaine de tours. J’avais du mal à rétrograder en seconde et en première.

                Il ne reste que quelques hectomètres. Un dernier freinage pour l’épingle de la Rascasse, puis une ultime accélération pour franchir la ligne d’arrivée.

                - Ricardo Patrese ne peut plus me rattraper, commente Freddy. Normalement, j’ai course gagnée. Je rentre la seconde, je lâche l’embrayage… et la boite se bloque. Ma Priceley part en tête à queue dans un nuage de fumée provoqué par les pneus des roues arrière qui se sont bloquées. Ma voiture percute le rail en marche arrière. Heureusement, l’accident s’est produit dans un virage lent et ma voiture s’était freinée dans le tête à queue avant le choc.

                « Je vois passer Ricardo Patrese. Il gagne le Grand Prix. C’est la course…

                Tant que la ligne d’arrivée n’est pas franchie, tout peut arriver. Glorieuse incertitude du sport, surtout dans les disciplines qui font appel à une mécanique !

    Pour en savoir plus sur les aventures de David Sarel, découvrez Circuit mortel à Lohéac », le roman de Thierry Le Bras. Ce livre est disponible en librairie, ou à défaut sur commande à l’éditeur (9 € franco de port) : Éditions Astoure, 22240 SABLES-D’OR-LES-PINS.(cf : http://astoure.site.voila.fr )

  • F1, FRANCHE RIGOLADE

    RIRES EN F1

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Cette semaine qui se terminera par le premier Grand Prix de la saison 2006, David Sarel et ses proches racontent chaque jour une anecdote ayant trait au monde magique de la Formule 1.

                Vous l’avez lu dans HUMOUR EN F1 , la note parue le 6 mars sur ce blog, David a souvent plaisanté avec Edmond au sujet de Jean Alesi. En 2001, David et Edmond prirent l’habitude d’échanger des mails de pronostics des résultats des Grands Prix. Des messages que David, avec sa verve d’avocat, agrémenta de quelques traits d’humour que n’auraient pas renié les Guignols de l’Info. Quelques extraits.

    GRAND PRIX DU BRÉSIL

    * Jean ALESI (abandon au huitième tour, sur sortie de piste dans un bac à graviers qu’il entendait tester avant son départ du Brésil)

    GRAND PRIX D’IMOLA

    * Jean ALESI (abandon au cinquième  tour, sur sortie de piste dans un bac à graviers ; « je ne supporte plus la pression du franchissement des lignes d’arrivée », déclarera-t-il à la presse italienne. « Lorsque j’ai signé chez Prost, c’était dans l’optique de la réduction du temps de travail, pour rentrer chez moi plus tôt les jours de Grand Prix. En plus, on m’a promis le chômage à la mi-saison si je ne fais pas de résultat. Donc, bientôt les vacances. Kumiko a déjà réservé les billets pour Tahiti »).

    GRAND PRIX D’AUTRICHE

    * Jean ALESI (abandon au premier  tour, sur … sortie de piste dans un bac à graviers ; « moi, je voulais abandonner tôt pour pouvoir regarder la course de Schumacher et admirer la voiture rouge, explique-t-il à Jean-Louis Moncet. C’est pas juste. Je sais que j’suis pas assez bon pour être dans les points, mais tant qu’à faire l’effort de venir sur les Grands Prix, j’voudrais quand même pouvoir regarder les autres! »)

    GRAND PRIX DE MONACO

      * Jean ALESI (abandon au premier tour, sur … sortie de piste au virage du Casino, en faisant coucou à Kenza, invitée sur le Rocher par le Prince Albert) : «z’préfère jouer aux machines à sous ; au moins z’gagne d’temps en temps.»

    * Alain Prost (l’œil éteint et le sourire désabusé) : « j’en ai marre. Bien sûr, Jean est un brave garçon, mais il n’a pas les qualités de mes précédents pilotes comme Olivier (Panis), Nick (Heidfeld), ou encore Jarno (Trulli). Je crois qu’il devrait penser à la retraite sportive. Ses pannes de cerveau sont pleinement responsables de nos échecs. Nous n’arrivons pas à le programmer correctement, et il n’est pas évident que je renouvelle son contrat l’an prochain.»

  • LES ENNEMIS DU CLAN VIVIA

    QUI VEUT LA PEAU

    DE DAVID SAREL ?

                David Sarel a tout pour être heureux.

    N’a-t-il pas transformé ses rêves en réalité ?

                Avocat renommé, entouré d’un clan solidaire et soudé, pilote automobile au palmarès impressionnant, mari d’une femme belle, intelligente et douce, il devrait jouir d’une existence sans nuages.

                Ce serait compter sans les ennemis les plus acharnés du Clan Vivia.

                Tout d’abord la morue. La morue, c’est Soizick Pierret, la seconde épouse de Grégoire, le père de David. L’amabilité d’un pit-bull enragé, la méchanceté du diable, une cupidité maladive qui, en comparaison, ferait paraître Daffy, le sinistre canard noir de la Warner, comme un modèle de générosité et d’altruisme. La morue est une ancienne entraîneuse qui n’a séduit Grégoire que par intérêt, pour lui voler sa fortune. Elle l’a souvent appelé « mon petit sou à la crème d’oseille » et a toujours refusé qu’il la tutoie. Elle hait David dont elle a toujours craint qu’il hérite d’une partie de la fortune de son père. Elle déteste aussi Éric Trélor, le parrain de David. Parce que lorsque David était adolescent puis étudiant, Éric l’a toujours protégé contre ses coups tordus. La morue ferait n’importe quoi pour nuire au Clan Vivia.

                Presque à égalité avec la première nommée, nous citerons morue juniore. C’est la fille de Soizick Pierret. Grégoire l’a reconnue bien qu’il sache que sa petite Soizick chérie l’a conçue avec un autre géniteur. Elle se prénomme Lucrèce, en hommage à l’admiration que « morue séniore » voue aux Borgia. Morue juniore est aussi monstrueuse que sa mère. Elle a poussé son frère cadet dans la voie de la toxicomanie quand il avait douze ans en espérant qu’il « crève au plus vite d’une overdose ». Son but ? Hériter toute seule le moment venu de la fortune de Grégoire Sarel.

                Puis Gianetti et Crétal, des escrocs qui sévissent dans le monde des affaires et de l’immobilier. Protégés par une sorte de secte puissante à laquelle ils appartiennent, les aigrefins ont trouvé les avocats associés Éric Trélor et David Sarel en travers de leur route. Eux aussi souhaitent ardemment leur disparition.

                Enfin, des ennemis apparus au cours des affaires dont David et Éric s’occupent en tant qu’avocats, ainsi que ceux que le développement du groupe Automobiles Vivia dérange.

                Beaucoup de questions autour de David Sarel et du Clan Vivia !

                La présence de tels ennemis ravive chez David quelques blessures apparues à l’adolescence, l’époque ou Grégoire, son père, affirmait sans sourciller que la mort de son fils ne le toucherait pas. Dans ces moments-là, l’expression du visage de Grégoire lassait ses interlocuteurs penser qu’il souhaitait la disparition de son fils.

                Plus tard, Grégoire Sarel n’hésitera jamais à avaliser des complots sordides destinés à nuire à son fils et à Éric Trélor.

                Pourquoi tant de haine ?

    Les réponses à toutes ces questions existent. Elles se trouvent dans Les aventures de David Sarel, une série de romans policiers écrits par Thierry Le Bras et publiés aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) . Le premier roman de la série s’intitule Circuit mortel à Lohéac