QUI VEUT LA PEAU
DE DAVID SAREL ?
David Sarel a tout pour être heureux.
N’a-t-il pas transformé ses rêves en réalité ?
Avocat renommé, entouré d’un clan solidaire et soudé, pilote automobile au palmarès impressionnant, mari d’une femme belle, intelligente et douce, il devrait jouir d’une existence sans nuages.
Ce serait compter sans les ennemis les plus acharnés du Clan Vivia.
Tout d’abord la morue. La morue, c’est Soizick Pierret, la seconde épouse de Grégoire, le père de David. L’amabilité d’un pit-bull enragé, la méchanceté du diable, une cupidité maladive qui, en comparaison, ferait paraître Daffy, le sinistre canard noir de la Warner, comme un modèle de générosité et d’altruisme. La morue est une ancienne entraîneuse qui n’a séduit Grégoire que par intérêt, pour lui voler sa fortune. Elle l’a souvent appelé « mon petit sou à la crème d’oseille » et a toujours refusé qu’il la tutoie. Elle hait David dont elle a toujours craint qu’il hérite d’une partie de la fortune de son père. Elle déteste aussi Éric Trélor, le parrain de David. Parce que lorsque David était adolescent puis étudiant, Éric l’a toujours protégé contre ses coups tordus. La morue ferait n’importe quoi pour nuire au Clan Vivia.
Presque à égalité avec la première nommée, nous citerons morue juniore. C’est la fille de Soizick Pierret. Grégoire l’a reconnue bien qu’il sache que sa petite Soizick chérie l’a conçue avec un autre géniteur. Elle se prénomme Lucrèce, en hommage à l’admiration que « morue séniore » voue aux Borgia. Morue juniore est aussi monstrueuse que sa mère. Elle a poussé son frère cadet dans la voie de la toxicomanie quand il avait douze ans en espérant qu’il « crève au plus vite d’une overdose ». Son but ? Hériter toute seule le moment venu de la fortune de Grégoire Sarel.
Puis Gianetti et Crétal, des escrocs qui sévissent dans le monde des affaires et de l’immobilier. Protégés par une sorte de secte puissante à laquelle ils appartiennent, les aigrefins ont trouvé les avocats associés Éric Trélor et David Sarel en travers de leur route. Eux aussi souhaitent ardemment leur disparition.
Enfin, des ennemis apparus au cours des affaires dont David et Éric s’occupent en tant qu’avocats, ainsi que ceux que le développement du groupe Automobiles Vivia dérange.
Beaucoup de questions autour de David Sarel et du Clan Vivia !
La présence de tels ennemis ravive chez David quelques blessures apparues à l’adolescence, l’époque ou Grégoire, son père, affirmait sans sourciller que la mort de son fils ne le toucherait pas. Dans ces moments-là, l’expression du visage de Grégoire lassait ses interlocuteurs penser qu’il souhaitait la disparition de son fils.
Plus tard, Grégoire Sarel n’hésitera jamais à avaliser des complots sordides destinés à nuire à son fils et à Éric Trélor.
Pourquoi tant de haine ?
Les réponses à toutes ces questions existent. Elles se trouvent dans Les aventures de David Sarel, une série de romans policiers écrits par Thierry Le Bras et publiés aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) . Le premier roman de la série s’intitule Circuit mortel à Lohéac