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Livre - Page 53

  • DAVID SAREL MET LES PETITS PLATS DANS LES GRANDS !

    C’est un fin gourmet !

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     « Les personnages de fiction vivent, non seulement dans l’esprit de leur créateur, mais aussi dans un monde parallèle où ils entraînent les lecteurs », écrivit Serge Dalens.

     

    Pilote automobile le week-end, avocat durant la semaine, héros de romans policiers et de nouvelles, David Sarel a un passé, un présent et, j’espère, un avenir. Comme vous, comme moi, comme tout être humain. Il vit dans une autre dimension, c’est tout.

     

    Qu’est-ce qu’un auteur sinon le biographe de ses personnages ? David m’a confié cette mission. Il m’a accordé sa confiance de telle sorte que je suis habilité à raconter sa vie. Je connais sa famille, ses amis, ses ennemis. Je suis tous les évènements professionnels, sportifs et privés qui jalonnent son existence. Je prends des notes pour ne rien oublier.

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     David est un partenaire facile à vivre. Plus que Holmes avec Watson. Il ne me reproche pas de le négliger quelquefois pour mettre en valeur d’autres héros, notamment Philippe et Xavier, acteurs principaux d’une série de polars vintage et gourmands que j’ai hâte de concrétiser.

     

    Qu’est-ce qu’un auteur sinon le biographe de ses personnages ?

     

    David Sarel, un fin gourmet !

     

    Ceux qui le connaissent déjà l’auront remarqué. David Sarel aime bien manger. Gourmet, voire gourmand, il s’avoue amateur de bons restaurants. Pas un scénario sans quelques bonnes tables, qu’elles soient réelles ou issues de l’imagination de l’auteur.  De La Manivelle au Relais des Arcandiers, de la Ferme Auberge de Lohéac à La Gibecière ou au Vieux Fox (1), de La Crêperie du vieux port (Vannes) au Restaurant des Mouettes (Larmor Plage), au Corsaire (Ploemeur) et au Bistrot des marins (La Trinité sur mer) (2), du Restaurant Goldenberg (Paris), à la Brasserie de Maître Kanter (Le Mans) et au Pêcheur gourmand (Larmor Plage) (3), de L’Auto Passion Café à La Maison du Danemark (Champs Élysées) (4) - la liste n’est pas exhaustive, David et ses proches font partager quelques repas succulents aux invités qui les accompagnent dans leurs aventures. Sans oublier les références à la convivialité du réceptif du Team Vivia aux 24 Heures du Mans où la restauration est particulièrement soignée (3).

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     Arielle, l’épouse de David, est une grande spécialiste des cocktails à base de Champagne. Les préférés de notre héros sont le Champagne orange (avec de l’orange pressée) et le mélange Champagne, liqueur de poire et curaçao. L’avocat – pilote aime aussi les cocktails de son ami Nick, notamment la vodka rallongée au jus de pamplemousse et au curaçao. A défaut, il ne dédaigne pas un bon whisky ou un Américano.

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     En bon Breton, David est un grand amateur de fruits de mer et de crustacés. Quoi de meilleur que de bonnes huîtres, de succulentes praires crues, des moules à la crème, un plat de langoustines, un plateau de fruits de mer, si ce n’est un magnifique homard ? Côté plats de résistance, les goûts de David sont éclectiques. Quoiqu’adorant la gastronomie, il n’a jamais vraiment appris à cuisiner de telle sorte qu’il se cantonne à des plats simples lorsqu’il ne fréquente pas les restaurants. Ses invités réguliers pourraient le confirmer. Ils ont de grandes chances de se voir proposer une grillade, surtout l’été. Arielle ne passe pas beaucoup de temps à la cuisine non plus. Si les Sarel servent un plat cuisiné (ragoût de Saint-Jacques par exemple), c’est qu’ils l’ont commandé au Pêcheur gourmand puis réchauffé chez eux. A moins que leurs amis Nick et Vanessa Varesky (qui passent quasiment tous les week-ends à la propriété de Ploemeur) se soient mis au fourneau. Le meilleur ami de David et son épouse se lancent quelquefois dans de subtiles préparations. Leur magret de canard fourré au foie gras ne laisse personne indifférent, pas plus que leur flan de langoustines ni leur filet de bœuf en croûte…

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    Bien que ce soit davantage la spécialité de Philippe, David sait aussi accommoder le vocabulaire gourmand à la sauce au piment. Surtout quand il évoque sa marâtre, mieux connue sous le sobriquet de morue sauce piquante. Il entend lui faire payer l’addition de ses méfaits. Il a réuni les ingrédients de sa vengeance, mijote sa préparation à petit feu et affirme que la morue sera bientôt cuite à point. Le duel à mort est engagé entre les deux protagonistes.

     

    Un scoop ?

     

    Je vais même vous en confier trois. David a été chargé d’une affaire peu ordinaire. Un jeune orphelin qui ignore tout de ses origines lui demande de l’aider. Très vite, David va réaliser que le garçon est en grand danger. Ce sera un thriller jeunesse.

     

    Parallèlement, David interviendra dans un livre destiné aux adultes Une histoire politiquement incorrecte, où il défendra un jeune étudiant suspecté du meurtre d'un ex star du foot, un homme engagé comme on dit à la télé, et aussi u type dont l'avocat fera fouiller le passé et les agissements. Une affaire qui se gagnera ou se perdra dans les médias avant même d'arriver (ou pas) devant une cour d'assise. David fera appel à Boris pour l'aider à parer son client de l'image qu'il convient face aux médias officiels au service des proches du mort.

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    Puis ensuite, il prendra part à un projet énorme, une entreprise dans laquelle interviendra aussi Erwan Berriach, l’architecte fou de kayak de mer qui apparaît dans Meurtre au village, une de mes 7 Nouvelles pimentées parues au printemps chez Gaïa Village Publications Il s’agira là d’un business-thriller pour adultes. Autant vous l’avouer tout de suite, de bons repas sont programmés !

     

    La vie de héros de fiction n’est décidément pas un long fleuve tranquille.

     

    Mais chut, ne le répétez à personne !

    Vous pouvez également me retrouver sur http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/ , http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/

    Thierry Le Bras

  • FAITS D'ENFER A CARNAC, UN LIVRE DE SAISON

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    L’histoire policière qui dévoile la vérité sur l’origine des alignements de Carnac (ou au moins ma vérité) !

     

    Dans ce roman, le chemin de Sébastien Ménier, journaliste, croise celui de l’avocat David Sarel à l’occasion d’affaires judiciaires étranges dans la région de Carnac. Que découvriront-ils en enquêtant sur l’accident de la circulation provoqué par un homme d’affaires véreux aux mœurs incertaines ? Pourquoi, quelques jours plus tard, l’esthéticienne d’un centre d’amaigrissement revendique-t-elle le statut de prostituée après la mort suspecte d’un curiste ? A nouveau, Sébastien cherche la vérité. L’avocat David Sarel, avec qui il s’est lié d’amitié, lui prodigue conseils et assistance sans aucune réserve. Sera-ce suffisant pour échapper aux périls qui le menacent ?

     

    Des questions mystérieuses. Une instruction menée en dépit du bon sens par un magistrat contesté. Des cadavres. Du suspense. De l’action. Des rebondissements. Des réponses stupéfiantes et pleines d’enseignements sur les arcanes de l’âme humaine.

     

    Une histoire estivale, parfaite pour une lecture l’après-midi sur la plage ou le soir avant de s’endormir.

     

    Dans ce livre, c’est le métier d’avocat de David qui sert de fil conducteur au scénario. Mais que les supporters de David, pilote, se rassurent. Deux scènes de course automobile trouvent place dans l'histoire !

     

    Note modifiée les 22 mai 2014 et 22 juillet 2015 :

      

    Héros de polars et de nouvelles, David Sarel a un biographe. J’ai accepté cette mission. Je  rapporte des temps forts survenus à diverses époques de la vie de David.

     

    Fin 2013, j’ai mis en ligne un e-book intitulé LE PACTE DU TRICHEUR, une histoire qui s’est passée quand David avait 17 ans http://amzn.to/1jAhsoF. Un flash-back sur l’adolescence de David, un polar cross-age teinté de fantastique qui enchantera les jeunes lecteurs aussi bien que les adultes habitués à lire les épisodes de la vie du héros quelques années plus tard. David est un peu comme certains personnages de BD qui, tel Lucky Luke, racontent leur jeunesse et leurs vies d’hommes ! C’est logique. Un personnage de fiction vit dans un autre univers. Il a donc un passé, traverse un présent et fonce vers son avenir.

     

    Le passé de Sébastien Ménier, étudiant en journalisme avec qui David se lie d’amitié dans FAITS D’ENFER A CARNACa aussi été exposé à des dangers alors qu’il n’était encore qu’un lycéen. Je l’ai raconté dans GARE A LA MAIN DU DIABLE, un polar sur fond de course au large à Saint-Malo : http://0z.fr/fRC-J

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE :

     

    Faits d’enfer à Carnac reste disponible en occasion et dans certaines librairies, notamment :

    chez Amazon

    http://amzn.to/1HS1hg2

     

    chez Abebooks

    http://www.abebooks.fr/Faits-dEnfer-Carnac-Astoure/15695720087/bd

     

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    Thierry Le Bras

  • F1 SENSATIONS

    Au cœur de l’action avec un champion du monde

    f1,fiction

    « Les personnages de fiction vivent, non seulement dans l’esprit de leur créateur, mais aussi dans un monde parallèle où ils entraînent les lecteurs », écrivit Serge Dalens. Ce que le pilote français Freddy Vivien rapporte au journaliste Sébastien Ménier est donc vraiment arrivé.

     

    Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, et Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952 et remporta plusieurs titres de Champion du monde). Le lecteur observera que héros  de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel. Freddy répond ici une nouvelle fois aux questions du journaliste Sébastien Ménier, un personnage qui joue un rôle important dans les plusieurs épisodes des Aventures de David Sarel.

     

    SM : Freddy, que ressent-on au volant d’une Formule 1 ?

    FV : C’est dur à décrire. Piloter une F1, ça ne se raconte pas, ça se vit. Un champion de rallye a dit un jour que la seule chose qui pouvait donner autant de sensations que le pilotage d’une voiture de course, c’était l’orgasme. C’est particulièrement vrai en ce qui concerne la F1.

     

    SM : Qu’est-ce qui rend les sensations si fortes ?

    FV : une F1 se propulse de 0 à 200 en 5 secondes. Au début des années 80, nos voitures étaient équipées de jupes latérales coulissantes qui créaient un effet de sol. L’adhérence était incroyable, mais la voiture pompait et vibrait en permanence. La brutalité des réactions était absolument inouïe. Mais cela procurait aussi beaucoup de plaisir.

     

    SM : Le pilotage se révèle donc éprouvant ?

    FV : Plus encore que tu ne le crois. Piloter une F1, c’est affreux au plan physique. Cela soumet ton corps à une vraie torture. Tu encaisses 4 à 5 G latéraux dans les courbes rapides. Dans un freinage violent au bout d’une longue ligne droite, la moitié du sang que contient ton corps descend dans les jambes. Le tout par une température de plus de cinquante degrés dans le cockpit.

     

    SM : Dans quel état finis-tu la course ?

    FV : Fatigué, surtout si il a fait chaud. Dans ces cas-là, tu as pu perdre trois ou quatre kilos. Tu les reprends très vite. En deux jours au maximum. La température du corps d’un pilote monte parfois jusqu’à 39,5° pendant une course. On a vu des gars au bord du malaise à l’arrivée. Avant les Grands Prix les plus caniculaires, notamment l’Argentine et le Brésil, nous nous préparions à supporter la chaleur en jouant au tennis en plein midi avec des combinaisons de pilotes. Autant te dire qu’on transpirait bien.

     

    SM : Et le cœur ?

    FV : Il est solide, sinon tu fais de la pétanque. Les pulsations cardiaques montent à 180 au moment du départ, dans certains dépassements et en cas de sortie de piste.

    f1,fiction

    SM : Comment te préparais-tu physiquement ?

    FV : En faisant de la musculation, du tennis, de la natation. En fait, rien ne permet de préparer parfaitement ton corps aux contraintes spécifiques de la F1, à part l’enchaînement de tours au volant d’une F1. Au cours de ma première saison dans la discipline, j’ai pris 2 centimètres de tour de cou. Pourtant, je faisais déjà beaucoup de sport avant. Daniéla (NDLR : Daniéla Merle, la célèbre comédienne qui est l’épouse de Freddy) plaisantait en me disant qu’il fallait que j’achète des chemises neuves. Pendant l’hiver, j’avais même fait de la musculation et tourné en kart avec un casque sur lequel j’avais fait souder une altère. Ce n’était pas encore suffisant pour reproduire l’effort du cou dans une F1.

     

    SM : Et les bras ?

    FV : Soumis à rude épreuve eux-aussi. Mais c’était plus facile de travailler la musculation des bras que celle du cou. A l’époque où je courais, les monoplaces n’avaient pas de direction assistée. Il fallait tirer fort sur le volant. Si tu regardes des photos du début des années 80, tu remarqueras que des gars comme Didier Pironi, Keke Rosberg, Alan Jones, Jean-Pierre Jarier ou moi étions plutôt costauds. Au bout du bras, la main droite souffrait également. Nous changions encore les vitesses avec un levier. Il était précis mais très dur. Sur les circuits les plus sinueux, tu changeais de vitesse plusieurs centaines de fois pendant la course. A l’arrivée, la paume de ta main droite était en sang. Pas question de faire du tennis les jours suivants.

     

    SM : Felipe Massa a évoqué les termes de KO tous les quarts d’heure en commentant le déroulement  des qualifications. Qu’en penses-tu ?

    FV : Si Felipe compare la F1 à la boxe, je suis d’accord. La F1, c’est violent comme une bagarre de rue. Tu entres dans le milieu en poussant un autre pilote hors du ring, tu t’y maintiens en tenant ceux qui veulent piquer ta place à distance, et tu gagnes les courses et les championnats soit aux points, soir par KO. En qualifications, tu conquiers désormais ta place sur la grille par éliminations successives. Comme la voiture te secoue autant qu’un sparring-partner, la comparaison avec la boxe me paraît très pertinente.

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    SM : As-tu des anecdotes à nous raconter sur les contraintes physiques d’une F1 ?

    FV : J’en ai une effectivement. Une fois, au Grand Prix d’Angleterre, j’étais second à deux tours de l’arrivée. Mes pneus se dégradaient. La voiture vibrait de partout. Elle faisait un bruit infernal. Ma vision devenait floue tant les vibrations étaient violentes. Mon stand m’a demandé de rentrer parce que le team manager craignait que cela devienne dangereux, qu’un pneu éclate à 320 à l’heure. Je ne l’ai pas écouté. Puis la radio s’est déréglée à cause des vibrations. A l’entrée du dernier tour, je rattrape une autre voiture. Tout vibrait tellement que je n’ai distingué qu’une espèce de masse avec du bleu, du jaune et du rouge. J’ai cru revenir sur un attardé. Je me colle en aspiration et je déboîte. Le gars essaie de résister. Nos pneus se touchent au freinage. Je suis à l’intérieur. Il est obligé de me laisser passer. Je me dis que ce mec est gonflé d’essayer de m’empêcher de passer alors que je lui prends un tour et que je vais monter sur le podium. Je franchis le drapeau à damier. Je ralentis, les vibrations s’atténuent. Je commence à revoir le monde qui m’entoure plus distinctement. Le gars que j’ai doublé me rattrape et se place à mon niveau. Il me fait un signe, pouce en l’air, pour me féliciter. Là, je le reconnais. C’était le leader de la course jusqu’à ce que je le dépasse. Je réalise que je viens de remporter le Grand Prix d’Angleterre. Mon rival aussi commençait à avoir des problèmes de pneumatiques. Il avait ralenti et n’avait pas imaginé que je reviendrais dans ses roues et que j’oserais l’attaquer alors que son stand l’avait informé que mes pneus étaient en lambeaux. Quant à moi, ma voiture vibrait tellement que je ne voyais qu’une masse de couleurs et que je ne l’avais pas reconnu en me battant avec lui !

     

    Note modifiée le 07 septembre 2012

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Les personnages de fiction vivant dans un univers, ils ont un passé, comme vous et moi. Ainsi, vous pouvez retrouver ces personnages de fiction à d’autres époques de leur vie dans mes polars et nouvelles

    f1,fiction

     En 1964, Freddy Vivien était collégien et impliqué dans une histoire où un de ses meilleurs copains était en danger de mort. L’histoire est fidèlement rapportée dans une des nouvelles qui composent 7 Nouvelles pimentées, mon dernier ouvrage. Dans une autre histoire de ce livre, Sébastien Ménier enquête quant à lui auprès de David Sarel, un de mes héros récurrents

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2012/06/06/7-nouvelles-pimentees.html

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     Adolescent, Seb se mit aussi en danger pour tenter de découvrir la vérité sur les incidents et accidents qui s’abattaient sur un skipper avec qui  il avait sympathisé. J’ai raconté l’affaire dans un polar jeunesse. : http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/article-nouveaute-polar-81824882.html

    Thierry Le Bras