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  • NICO ROSBERG ET LEWIS HAMILTON

    medium_VIGNETTE_NICO_ROSBERG.14.jpg« Nico Rosberg est aussi bon qu’Hamilton, affirme Frank Williams. Simplement, il ne dispose pas d’une voiture aussi performante. »

    De quoi mettre du bôme au cœur du jeune et brillant Nico.

    D’autant que le patron du Team Williams n’a pas coutume de se répandre en compliments sur ses pilotes ! Souhaitons qu’il parvienne très vite à fournir à Nico la monture qu’il mérite.

    Projetons-nous en 2009, au Grand Prix de France à Paris sur les Champs Élysées. Les moteurs des F1 vrombissent. Les feux vont passer au vert dans une seconde.

    En première ligne, Nico Rosberg et Kimi Räikkönen. Juste derrière eux, Lewis Hamilton. et Nick Heidfeld. Puis viennent Sébastien Bourdais et Loïc Duval sur les Renault.

    Et Alonso s’inquiéteront certains ? En retraite anticipée. Humilié par le débutant Lewis chez McLaren, l’arrogant taureau des Asturies est reparti chercher refuge chez Renault. Mais la chance extraordinaire qui l’accompagna en 2005 et 2006 n’était plus au rendez-vous. Écoutant les conseils de Jacques Villeneuve, Flavio Briatore avait engagé Sébastien Bourdais. Et d’entrée, le sérieux du Manceau eut raison des assauts du taureau furieux qui collectionna les passages dans l’herbe et les bacs à graviers. Alonso ne termina même pas la saison chez Renault et quitta le team après avoir traité sa F1 de camion 4x4. Sous la pression du constructeur français, Flavio accepta de donner sa chance à un autre Français, Loïc Duval. Il ne le regrette pas.

  • NICO ROSBERG EN VERVE A MONTREAL

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    Très brillant en qualifications comme en course depuis le début de la saison, Nico Rosberg, l’autre jeune surdoué du plateau, a réussi une superbe qualif.

    Au volant de sa modeste Williams, il se classe septième, juste devant le phénomène Kubica. Comme on aimerait voir Nico au volant d’une monoplace équivalente aux McLaren, Ferrari ou BMW. Il jouerait la pole avec Lewis et Kimi.

    A signaler aussi l’exploit de Nick Heidfeld, troisième derrière les très performantes McLaren.

    Quant à Kimi Räikkönen, il a devancé Massa. Prend-il enfin la mesure de son équipier ? Il possède le talent et la combativité qui doivent en faire le vrai leader de la Scuderia. Pour peu que le chat noir le laisse tranquille, qu’il trouve ses marques chez les Rouges, et que l’écurie comprenne qu’elle a intérêt à miser sur lui plutôt que sur Massa dont les limites apparaissent dans les conditions difficiles (pluie, circuits particulièrement durs comme Monaco), Kimi peut remporter le titre 2007.

    Gageons que les cuisiniers du Team McLaren servent une soupe à la grimace au motor-home ce week-end. Battu par Hamilton pour la pole, l’humeur du sombre taureau des Asturies sera ombrageuse. Si ses fans éconduits en Australie lorsqu’ils tentèrent d’obtenir des autographes tentent une nouvelle fois leur chance, ils seront encore rejetés !

    Espérons pour Hamilton que la stratégie de son écurie ne le sacrifiera pas au souvent fort chanceux Alonso. L'Espagnol a coûté suffisamment cher à son team et aux sponsors pour que la question de la rentabilité de l’investissement se pose.

  • DEUX JAGUAR SINON RIEN

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    Au Mans, le spectacle est partout

    Les 24 Heures du Mans approchent. Le spectacle ne se passe pas que sur la piste. Lorsque vous vous promènerez dans le village ou les parkings, ouvrez l’œil, et le bon. Vous y découvrirez des scènes intéressantes, comme celle qu’illustre la photo ci-dessus.
    Le propriétaire de cette Jaguar type E aime tant la marque qu’il se promène avec une réplique à l’échelle ¼ d’une Type D sur le toit de sa belle Anglaise ! La passion ne connaît pas de limite !
    J’ai pris cette photo au Mans Classic, le 23 juillet 2004. Certes, il s’agissait de la manifestation organisée par Peter Auto et pas des véritables 24 Heures. Mais les coulisses de l’épreuve contemporaine offrent aussi leur lot de merveilleuses surprises !