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  • F1, UNIVERS EMOTIONS

    Queques citations de pilotes

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    OLIVIER PANIS :

     « Il n’y a rien, rien de mécanique, qui puisse donner des sensations comparables à une Formule 1. J’ai fait de l’avion, dans un Mirage ; c’est performant, mais l’espace semble tellement gigantesque que tu ne te rends plus compte de la performance. Alors qu’une F1, c’est sur la terre, c’est sur une piste, c’est incroyable. Tout est fabuleux ".

    FANGIO, après une course :

     

    « Je pense que j’étais possédé »

     

    LAFFITE , à AUTOhebdo après l’essai de la LIGIER 1996 :

     

    « La F 1 c’est orgasmique, ça vaut tous les pétards du monde »

    f1,senna,fangio,laffite,panis,david sarel,romans

    SENNA, après un tour de qualification à Monaco :

     

    « J’avais l’impression de me regarder dans la voiture »

     

    Note modifiée le 21 mars 2014

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Une anecdote arrivée à David Sarel, un des héros récurrents de mes polars, dans l’univers de la Formule 1

    http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/article-david-joue-l-intox-101163259.html

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    Thierry Le Bras

  • F1 ATMOSPHERE F1

    LA SAISON VA COMMENCER !

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952 et remporta plusieurs titres de Champion du monde). Le lecteur observera que héros  de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel. Freddy répond ici aux questions du journaliste Sébastien Ménier, un personnage qui jouera un rôle important dans les prochains épisodes des aventures de David.

    SM : Freddy, trouves-tu la F1 différente de ce que tu as connu de 1977 à 1992, l’époque où tu courais dans cette discipline ?

    FV : La F1 reste la discipline de l’extrême. Les voitures sont incroyablement performantes. Elles procurent toujours des sensations incomparables. Par contre, l’ambiance s’est détériorée. Dans les années 70 et au début des années 80, les pilotes se connaissaient tous, fréquentaient les journalistes, les voyaient en dehors des circuits. Maintenant, l’ambiance est devenue très froide.

    SM : Que se passera-t-il si je veux interviewer Schumacher ?

    FV : Il faudra que tu passes par son attachée de presse. Au mieux, tu seras invité à une conférence de presse avec une trentaine de confrères. Et il est probable que si tu le croises dans les couloirs de l’hôtel le lendemain matin, il ne te reconnaîtra même pas.

    SM : Et l’ambiance entre les pilotes ?

    FV : La F1, c’est un combat. Il y a peu de places et beaucoup de candidats. Compte tenu des enjeux financiers, les places sont très chères, à tous les sens du terme. Donc, l’amitié est devenue quasi impossible dans le milieu. Aujourd’hui, si la femme d’un pilote parle à un membre d’une autre écurie, toute l’équipe va lui faire sentir que c’est inadmissible et des rumeurs vont commencer à circuler sur un futur transfert de son compagnon

    SM : au Grand Prix de France l’an dernier, j’ai été impressionné par la propreté des stands et de tout le paddock.

    FV : La F1 est un spectacle haut de gamme qu’Ecclestone vend dans le monde entier. Tout doit être impeccable. Les toits des camions dans les paddocks par exemple sont lavés en permanence pour que tout brille à la télé lorsque les chaînes des cinq continents diffusent des images prises d’hélicoptère. Dans les stands, dès qu’une voiture s’arrête, quelqu’un nettoie les éléments de carrosserie. D’ailleurs, compare les F1 d’aujourd’hui avec celles des années 70 et 80. Nos voitures conservaient un aspect artisanal. Tu voyais des rivets, des petites imperfections, alors qu’aujourd’hui, toutes les monoplaces ressemblent à des pièces d’orfèvrerie.

    SM : depuis ton retrait et la mort de Senna, j’ai l’impression que la F1 manque de champions charismatiques. Qu’en penses-tu ?

    FV : Je crois beaucoup en l’avenir dans la discipline de certains jeunes pilotes comme Kimi Raïkkönen, Felipe Massa, Nico Rosberg, Nick Heidfeld, Jenson Button, qui sont des garçons performants et attachants. Et bien sûr Damien Brémant, dont je suis l’agent. Il est vrai que les pilotes d’aujourd’hui sont plus « formatés » que nous ne l’étions. Ils représentent des firmes internationales qui investissent des fortunes sur eux, ce qui leur interdit toute fantaisie. Je n’entretiens pas de nostalgie qui idéalise les pilotes du temps passé. Certes, à l’époque que j’ai connue, la F1 a compté des hommes d’exception comme Didier Pironi, Ronnie Peterson, Jacques Laffite, René Arnoux, Keke Rosberg, Elio de Angelis, Ayrton Senna bien sûr, et j’en oublie sûrement. Mais elle a aussi subi des gars difficiles à vivre. Je ne citerai aucun nom, même si je pense à un pleurnichard, à des jaloux, à quelques gars au comportement dangereux et à d’autres qui oubliaient leur tête dès qu’ils enfilaient le casque.

    SM : ton favori pour le Championnat 2006 ?

    FV : j’en citerai deux., Kimi et Button. Nico et Damien vont continuer à apprendre leur métier. Nick est déjà un pilote mûr, mais l’Écurie Sauber BMW devra se roder. En 2007 par contre, je ne serais pas surpris qu’il fasse partie des candidats au titre.

    SM : Pas Schumi ?

    FV : Franchement non. C’est incontestablement un grand pilote. Seulement, il pète souvent les plombs quand il n’est pas dominateur. Il ne va pas manquer de rivaux cette année. A commencer par son équipier, Massa dont les performances en 2005 face à Villeneuve doivent faire réfléchir à Schumi. Je le vois en retraite à la fin de la saison.

    SM : Et Renault ?

    FV : l’an dernier, c’est la fiabilité et une série noire qui ont battu Kimi, pas les pilotes Renault. Sur la piste, Kimi s’est montré dominateur. La chance va changer de camp.

  • TOUR DE FOLIE EN F1

    TOUR DE FOLIE A MONACO

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952). Il nous raconte aujourd’hui une arrivée de Grand Prix pleine de surprises. Le lecteur observera que personnages de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel.

                En 1982, Didier Pironi pilote une Ferrari et apparaît comme l’homme fort du championnat. Il aborde le dernier tour du Grand prix de Monaco en tête quand tout à coup, le moteur commence à hoqueter. Didier balance sa monoplace d’un bord à l’autre de la piste dans l’espoir de faire remonter quelques gouttes d’essence du réservoir vers les injecteurs. Peine perdue. Le moteur s’éteint après un dernier soubresaut. La Ferrari s’arrête sur le bord de la piste.

                - Je suis en tête de la course, se souvient Freddy. J’ai du mal à y croire, car Ddier me devançait de 25 secondes au tour précédent. Cette année-là, le team Priceley pour lequel je courais n’avait pas encore adopté le moteur turbo. Nous avions toujours le V 8 Cosworth, un fameux moteur, si ce n’est qu’il commençait à accuser le poids des ans. Nous souffrions face à la Ferrari de Didier et aux Renault. En plus, notre châssis n’était pas parfait non plus.

                « Didier était le pilote que j’estimais et que j’appréciais le plus, poursuit Freddy Vivien. Mais la course est la course. Monaco représente quelque chose d’extraordinaire, le Grand Prix le plus prestigieux de l’année. Je le savais d’autant mieux que j’avais déjà gagné en Principauté.

                Tous les pilotes de toutes les générations le confirmeront. Les derniers tours en tête d’un Grand Prix génèrent une angoisse de la casse tout à fait particulière.

                - Tu entends des bruits suspects partout, confirme Freddy. Tu as toujours l’impression que quelque chose va casser. Moi, j’étais d’autant plus inquiet que la boite de vitesses de la Priceley me causait des soucis depuis une dizaine de tours. J’avais du mal à rétrograder en seconde et en première.

                Il ne reste que quelques hectomètres. Un dernier freinage pour l’épingle de la Rascasse, puis une ultime accélération pour franchir la ligne d’arrivée.

                - Ricardo Patrese ne peut plus me rattraper, commente Freddy. Normalement, j’ai course gagnée. Je rentre la seconde, je lâche l’embrayage… et la boite se bloque. Ma Priceley part en tête à queue dans un nuage de fumée provoqué par les pneus des roues arrière qui se sont bloquées. Ma voiture percute le rail en marche arrière. Heureusement, l’accident s’est produit dans un virage lent et ma voiture s’était freinée dans le tête à queue avant le choc.

                « Je vois passer Ricardo Patrese. Il gagne le Grand Prix. C’est la course…

                Tant que la ligne d’arrivée n’est pas franchie, tout peut arriver. Glorieuse incertitude du sport, surtout dans les disciplines qui font appel à une mécanique !

    Pour en savoir plus sur les aventures de David Sarel, découvrez Circuit mortel à Lohéac », le roman de Thierry Le Bras. Ce livre est disponible en librairie, ou à défaut sur commande à l’éditeur (9 € franco de port) : Éditions Astoure, 22240 SABLES-D’OR-LES-PINS.(cf : http://astoure.site.voila.fr )