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  • F1, FRANCHE RIGOLADE

    RIRES EN F1

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Cette semaine qui se terminera par le premier Grand Prix de la saison 2006, David Sarel et ses proches racontent chaque jour une anecdote ayant trait au monde magique de la Formule 1.

                Vous l’avez lu dans HUMOUR EN F1 , la note parue le 6 mars sur ce blog, David a souvent plaisanté avec Edmond au sujet de Jean Alesi. En 2001, David et Edmond prirent l’habitude d’échanger des mails de pronostics des résultats des Grands Prix. Des messages que David, avec sa verve d’avocat, agrémenta de quelques traits d’humour que n’auraient pas renié les Guignols de l’Info. Quelques extraits.

    GRAND PRIX DU BRÉSIL

    * Jean ALESI (abandon au huitième tour, sur sortie de piste dans un bac à graviers qu’il entendait tester avant son départ du Brésil)

    GRAND PRIX D’IMOLA

    * Jean ALESI (abandon au cinquième  tour, sur sortie de piste dans un bac à graviers ; « je ne supporte plus la pression du franchissement des lignes d’arrivée », déclarera-t-il à la presse italienne. « Lorsque j’ai signé chez Prost, c’était dans l’optique de la réduction du temps de travail, pour rentrer chez moi plus tôt les jours de Grand Prix. En plus, on m’a promis le chômage à la mi-saison si je ne fais pas de résultat. Donc, bientôt les vacances. Kumiko a déjà réservé les billets pour Tahiti »).

    GRAND PRIX D’AUTRICHE

    * Jean ALESI (abandon au premier  tour, sur … sortie de piste dans un bac à graviers ; « moi, je voulais abandonner tôt pour pouvoir regarder la course de Schumacher et admirer la voiture rouge, explique-t-il à Jean-Louis Moncet. C’est pas juste. Je sais que j’suis pas assez bon pour être dans les points, mais tant qu’à faire l’effort de venir sur les Grands Prix, j’voudrais quand même pouvoir regarder les autres! »)

    GRAND PRIX DE MONACO

      * Jean ALESI (abandon au premier tour, sur … sortie de piste au virage du Casino, en faisant coucou à Kenza, invitée sur le Rocher par le Prince Albert) : «z’préfère jouer aux machines à sous ; au moins z’gagne d’temps en temps.»

    * Alain Prost (l’œil éteint et le sourire désabusé) : « j’en ai marre. Bien sûr, Jean est un brave garçon, mais il n’a pas les qualités de mes précédents pilotes comme Olivier (Panis), Nick (Heidfeld), ou encore Jarno (Trulli). Je crois qu’il devrait penser à la retraite sportive. Ses pannes de cerveau sont pleinement responsables de nos échecs. Nous n’arrivons pas à le programmer correctement, et il n’est pas évident que je renouvelle son contrat l’an prochain.»

  • LES ENNEMIS DU CLAN VIVIA

    QUI VEUT LA PEAU

    DE DAVID SAREL ?

                David Sarel a tout pour être heureux.

    N’a-t-il pas transformé ses rêves en réalité ?

                Avocat renommé, entouré d’un clan solidaire et soudé, pilote automobile au palmarès impressionnant, mari d’une femme belle, intelligente et douce, il devrait jouir d’une existence sans nuages.

                Ce serait compter sans les ennemis les plus acharnés du Clan Vivia.

                Tout d’abord la morue. La morue, c’est Soizick Pierret, la seconde épouse de Grégoire, le père de David. L’amabilité d’un pit-bull enragé, la méchanceté du diable, une cupidité maladive qui, en comparaison, ferait paraître Daffy, le sinistre canard noir de la Warner, comme un modèle de générosité et d’altruisme. La morue est une ancienne entraîneuse qui n’a séduit Grégoire que par intérêt, pour lui voler sa fortune. Elle l’a souvent appelé « mon petit sou à la crème d’oseille » et a toujours refusé qu’il la tutoie. Elle hait David dont elle a toujours craint qu’il hérite d’une partie de la fortune de son père. Elle déteste aussi Éric Trélor, le parrain de David. Parce que lorsque David était adolescent puis étudiant, Éric l’a toujours protégé contre ses coups tordus. La morue ferait n’importe quoi pour nuire au Clan Vivia.

                Presque à égalité avec la première nommée, nous citerons morue juniore. C’est la fille de Soizick Pierret. Grégoire l’a reconnue bien qu’il sache que sa petite Soizick chérie l’a conçue avec un autre géniteur. Elle se prénomme Lucrèce, en hommage à l’admiration que « morue séniore » voue aux Borgia. Morue juniore est aussi monstrueuse que sa mère. Elle a poussé son frère cadet dans la voie de la toxicomanie quand il avait douze ans en espérant qu’il « crève au plus vite d’une overdose ». Son but ? Hériter toute seule le moment venu de la fortune de Grégoire Sarel.

                Puis Gianetti et Crétal, des escrocs qui sévissent dans le monde des affaires et de l’immobilier. Protégés par une sorte de secte puissante à laquelle ils appartiennent, les aigrefins ont trouvé les avocats associés Éric Trélor et David Sarel en travers de leur route. Eux aussi souhaitent ardemment leur disparition.

                Enfin, des ennemis apparus au cours des affaires dont David et Éric s’occupent en tant qu’avocats, ainsi que ceux que le développement du groupe Automobiles Vivia dérange.

                Beaucoup de questions autour de David Sarel et du Clan Vivia !

                La présence de tels ennemis ravive chez David quelques blessures apparues à l’adolescence, l’époque ou Grégoire, son père, affirmait sans sourciller que la mort de son fils ne le toucherait pas. Dans ces moments-là, l’expression du visage de Grégoire lassait ses interlocuteurs penser qu’il souhaitait la disparition de son fils.

                Plus tard, Grégoire Sarel n’hésitera jamais à avaliser des complots sordides destinés à nuire à son fils et à Éric Trélor.

                Pourquoi tant de haine ?

    Les réponses à toutes ces questions existent. Elles se trouvent dans Les aventures de David Sarel, une série de romans policiers écrits par Thierry Le Bras et publiés aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) . Le premier roman de la série s’intitule Circuit mortel à Lohéac

  • F1, HUMOUR AU PROGRAMME

    POUR RIRE UN PEU AVEC DAVID

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac ».

                Cette semaine qui se terminera par le premier Grand Prix de la saison 2006, David Sarel et ses proches racontent chaque jour une anecdote ayant trait au monde magique de la Formule 1.

                « La F1, je l’ai vécue comme supporter dès mon enfance, témoigne David Sarel. Quand je regardais un Grand Prix, je voulais que Freddy gagne. Ou alors Didier Pironi. J’avais 10 ans quand Didier a eu son accident à Hockenheim. C’était le seul autre pilote que j’étais content de voir remporter des Grands Prix. Après, si Freddy abandonnait, je considérais que le week-end était fini. Je ne regardais même pas la fin de la course. »

    Schumi, boaf

                « Freddy a arrêté la F1 fin 1992. En 1993, je commençais à courir en amateur. Je ne m’intéressais plus à la F1. J’étais juste content quand Senna battait Prost ou lorsque Christian Fittipaldi ou Éric Bernard faisaient une perf.

                Schumacher commençait à éclore. Mais Schumi, boaf… Son comportement déloyal sur la piste m’a toujours gêné malgré son talent incontestable.

                En fait, je ne me suis ré-intéressé à la F 1 que quand Olivier Panis a remporté le Grand prix de Monaco en 1996. Là, Olivier a montré qu’il faisait partie des meilleurs et qu’il méritait une voiture dans un top team.

    Allez-y

                « Au début du mois de mars l’année suivante, nous étions en reconnaissances du Rallye de Touraine au début du mois de mars. Nous dînions au restaurant Edmond et Vincent deux copains auvergnats - pilotes amateurs eux-aussi - que le sens de l’attaque de l’Avignonnais impressionnait.

    - Pariez sur Jeannot, ai-je ironisé. Il n’en gagnera pas une cette année. Je tiens les paris. Un magnum de Champagne ?

    - Une, il en gagnera bien une, plaisanta Edmond. Un magnum, ce n’est pas assez. Un gueuleton à la Maison du Danemark à Paris.

                - Je m’associe au pari avec Edmond, intervint Vincent.

                - Moi aussi, mais avec David, lança Nick.

                « Il fut donc convenu que si Alesi ne gagnait rien, Edmond et Vincent nous payaient une bouffe à la Maison du Danemark à Paris. S’il remportait au moins une course, Nick et moi prenions l’addition en charge.

    De course en course…

                « Le moral de nos copains se dégrada. Car si les premiers déboires de Jeannot laissaient une marge d’espoir, l’approche de la fin de la saison accroissait nos chances de remporter le pari. Objectivement, nous avons eu chaud à Monza. Alesi a failli gagner. Mais il a rétrogradé en seconde position peu avant le drapeau à damier.

                « Et la saison s’acheva sans victoire du pilote Benetton. Edmond et Vincent ont tenu parole. Nous avons fait un super repas à la Maison du Danemark. »

    Mise en condition

                « J’ai toujours adoré les blagues téléphoniques. Les impostures de Gérald Dahan me font mourir de rire. Entre autres. Les vieilles blagues de Francis Blanche n’étaient pas mal non plus.

                « Dès le dîner à Paris, j’ai commencé à mettre Edmond en condition.

                - C’est très sympas de nous inviter, ai-je déclaré en prenant un air sérieux. Je t’ai fait un petit cadeau, Edmond. Je t’ai inscrit au Club des supporters de Jean Alesi. Tu devrais bientôt recevoir ta carte de membre, ton cadeau de bienvenue et le bulletin du club.

                - Merci, s’enthousiasma Edmond. Ça me fait plaisir. Je l’aime bien, moi, Alesi.

                « Quelques jours plus tard, j’ai rappelé Edmond. Je lui ai demandé s’il avait reçu quelque chose.

                - Non, répondit-il. Pas encore.

                « Ça ne devrait pas tarder. Mon chèque a été débité. Tu recevras tout dans quelques jours.

                « Bien entendu, je n’avais rien adressé au club. Je préparais ma blague.

    Jean et Kumiko

    aimeraient vous connaître

                « Edmond et Vincent, qui sont cousins, exploitent une ferme auberge et un terrain de camping dans la Vallée de Chaudefour. La compagne d’Edmond est enseignante. Je savais donc qu’un appel téléphonique au domicile de notre copain un jour de semaine en milieu de matinée donnerait l’occasion d’enregistrer un message sur le répondeur.

                « J’ai demandé à la femme d’un autre copain d’appeler et de déclamer un texte que j’avais préparé. Comme elle faisait un peu de théâtre, elle a bien tenu son rôle.

                « En rentrant chez lui, Edmond a écouté le message suivant.

                - Bonjour. Je suis Amandine, la secrétaire du fan-club de Jean Alesi. Jean et son épouse Kumiko ont été très touchés de votre adhésion. A dire vrai, c’est la première depuis cinq mois. Ils aimeraient vous connaître et vous inviter à dîner à Paris. Rappelez moi dès que possible afin que j’organise la soirée.

                «  Le message se terminait par un numéro de téléphone à Paris. Edmond l’a composé immédiatement. Un répondeur vantait les mérites … des massages coquins et relaxants de jeunes femmes pratiquant la méthode suédoise ou d’autres, au choix du client. Edmond a beaucoup ri et ne m’a pas tenu rigueur de cette plaisanterie.

                Cette blague, Denis me l’avait faite quelques semaines plus tôt en me faisant croire qu’il avait rencontré la chanteuse d’un groupe de rock qui voulait me prendre comme avocat. Lui-même avait été piégé par un autre copain etc. etc…

                                                                                                                            David Sarel

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