Julien Mouthon, le plus jeune pilote de l’histoire du Rallycross, joue aussi un rôle dans un thriller qui trouve son épilogue aux 24 Heures du Mans
EXTRAIT :
« Julien Mouthon pilota le premier à l’occasion de la séance d’essais. Au bout d’une demi-heure, il passa le volant à Fabien. Interrogé par Sébastien et Romain, Julien leur fit part de son enthousiasme.
.- J’ai été enchanté du comportement de la MG. Bien sûr, elle est moins efficace que les voitures de course modernes, mais elle permet d’aborder un virage un peu trop vite et de corriger par des glissades qui ont l’avantage d’être spectaculaires et de ne pas faire perdre de temps. Un régal au niveau pilotage, et du spectacle pour le public qui se plaint souvent que les voitures de course contemporaines roulent sur des rails et ne glissent pas..
Si les 24 Heures constituaient naturellement l’essentiel du menu de la 24ème semaine de l’année dans la Sarthe, une autre épreuve complétait le programme, la Course du Centenaire de l’ACO. Il s’agissait d’une course de Véhicules Historiques de Collection construits au plus tard en 1955. Elle se déroulerait le samedi 17 juin dans la matinée.
Les leaders du Team Vivia s’intéressaient à cette épreuve qui honorait l’histoire des 24 Heures. Ne disposant pas de modèles assez anciens pour y participer (la première Vivia date de 1978), Éric, Freddy et David s’étaient cotisés pour acheter une MG TF Course 1954 qu’ils confiaient à un équipage de jeunes pilotes performants, Fabien Trélor et Julien Mouthon. Le Team Vivia s’intéressait depuis plusieurs saisons à Julien Mouthon à qui il ne manquait qu’un complément de budget pour réaliser des exploits en Rallycross, sa discipline de prédilection. Une course en VHC en équipage avec le fils cadet d’Éric constituerait une page originale dans son dossier de presse. Freddy et Éric espéraient d’ailleurs donner un coup de pouce à sa carrière en décidant Yamamodo France à lui confier une Yamamoto 16 Kit Car pour la prochaine saison de Rallycross… »
Cette scène se déroule le jeudi précédent les 24 Heures du Mans 2006. Elle est issue d’un roman de Thierry Le Bras intitulé « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans ».
Julien Mouthon (au centre) en compagnie de Bastien Brière, pilote d’endurance et de GT, et de Thierry Le Bras lors de la présentation de l’ouvrage
Mais si Julien Mouthon apparaît déjà dans une fiction, il est avant tout un pilote réel qui maîtrise parfaitement le Rallycross et cherche actuellement un budget pour la saison 2008 qu’il prévoit de disputer avec une Citroën Saxo engagée en D4.
Julien Mouthon fait partie des jeunes pilotes qui enthousiasment le public et transforment les week-ends de course en grandes fêtes de l’automobile. Il mérite de réussir dans ce sport difficile qui exige hélas, outre le talent de ses acteurs, le concours de partenaires financiers. Ces entreprises à la recherche d’un investissement productif, Julien ne manque pas d’arguments pour les convaincre.
D’une part, au plan général, le sport automobile véhicule quantité de valeurs positives, en parfaite adéquation avec une culture d’entreprise dynamique. Il confère une image à la fois :
- sympathique,
- synonyme de compétence et d’audace.
Il renforce aussi le sentiment d’appartenance à un groupe :
- tant au sein de l’entreprise (à laquelle j’inclus la « communauté » des franchisés au sein d’un réseau de commerce associé) ;
- qu’auprès de ses clients.
« Les jeunes qui sont épris de compétition reconnaissent notre sigle WAP qu’ils ont vu sur la voiture de mon pilote lorsqu’ils trouvent une de nos stations de lavage », me confia Jean König, patron du réseau WAP lors d’une interview.
Ce franchiseur ne s’y est pas trompé. Le sponsoring d’un pilote sympathique et performant dans une discipline sportive constitue un investissement profitable pour son groupe.
D’autre part, le Rallycross, sport en pleine expansion qui attire le public et les médias, se révèle un excellent vecteur de communication car c’est une formule conviviale et d’un coût très raisonnable qui comporte une dizaine d’épreuves dans les régions de France.
Les courses de Rallycross se disputent sur une piste mixte, terre et bitume, sur laquelle cinq voitures partent de front pour cinq à six tours.
Julien à l’attaque
C’est une discipline intense et brève, où la succession de départs entretient un spectacle permanent, où les voitures sont toujours en contact, le tout dans un festival de glisse impressionnant :
- le public vient nombreux sur ces épreuves. A titre d’exemple, le Rallycross de Lohéac en Bretagne est la troisième manifestation de sport automobile en France derrière les 24 Heures du Mans et le Grand Prix de France ;
- en Rallycross, non seulement les voitures portent les couleurs du sponsor, mais il est aisé pour ce dernier de convier des invités. Clients ou futurs clients (dont des franchisés ou candidats franchisés) sont au bord de la piste pendant deux jours. Ils assistent à une trentaine de départs, tout près des voitures, et ils suivent les pilotes des yeux pendant toute la course. C’est un avantage incontestable par rapport au rallye où il faudrait les déplacer d’épreuve spéciale en épreuve spéciale, ou à la Formule 1, où le public est placé trop loin de la piste (sans compter bien sûr le coût exorbitant de la F1) ;
- les invités sont traités en VIP. Ils déjeunent ou dînent dans un réceptif avec l’équipe. Ils côtoient le pilote, ont accès au paddock, vivent la course de l’intérieur. Cela crée toute une atmosphère qui renforce un lien avec l’entreprise qui les invite.
Enfin, Julien Mouthon est un jeune pilote particulièrement doué. Il fut le plus jeune pilote de l’histoire du Rallycross. Il disputa sa première épreuve dès le lendemain de son seizième anniversaire grâce à une dérogation accordée par la FFSA en raison de ses excellents résultats en karting. En outre, Julien reste encore très abordable au niveau budget.
Julien au Rallycross de Mayenne
Pour une courte présentation de Julien, cliquez sur le lien ci-dessous. Il renvoie à un article qui lui est consacré :
http://www.leblogauto.com/2006/11/julien-mouthon-l%E2%80%99intersaison-est-une-course.html
Julien exprime un style généreux dans son pilotage. Son look sympathique servira le sponsor. Et comme c’est un garçon modeste et loyal, il n’éclipsera pas l’entreprise dont il défendra les couleurs pour se mettre en avant aux dépens de ses partenaires.
Parmi les invités pourraient bien sûr figurer des journalistes. Le Rallycross constitue un excellent moyen de se faire connaître par la presse régionale. Outre les invitations sur les circuits, des séances de baptêmes de piste sont très faciles à organiser.
ALORS, SI VOUS ÊTES CHEF D’ENTREPRISE, POUR RENDRE L’IMAGE DE VOS PRODUITS ET SERVICES ENCORE PLUS DYNAMIQUE, SYMPATHIQUE ET POSITIVE, POURQUOI PAS UNE ACTION DE SPONSORING ET DE PARTENARIAT AVEC JULIEN EN 2008 ?
« Lorsque notre pilote remporte la course, mes invités disent on a gagné et pas il a gagné », m’a confié Jean König.
C’est bien la preuve de l’intérêt de la formule. Le sponsoring en Rallycross s’accompagne d’un fabuleux coefficient multiplicateur de l’investissement consenti dès lors qu’il comprend un réceptif sur les circuits et des actions auprès de la presse locale.
N’hésitez pas à me contacter à l’adresse mail inscrite en bas de ce la colonne de gauche de ce blog si cette idée vous intéresse ? Vos coordonnées seront immédiatement transmises à Julien.
julien mouthon
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COURSE EN FÊTE (2)