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CIRCUITMORTEL - Page 223

  • DAVID SAREL : SA VIE QUOTIDIENNE (1)

    Le public s’interroge souvent sur la vie quotidienne d’un avocat renommé. Que fait David Sarel lorsqu’il n’est pas sur les circuits automobiles ? La réponse se trouver bien sûr dans ses romans.

    « Faits d’enfer à Carnac », roman écrit par Thierry Le Bras aux Éditions Astoure (voir la rubrique nouveautés du site : http://astoure.site.voila.fr) met David en scène dans l’exercice de son métier d’avocat.

    Dans « Circuit mortel à Lohéac » (ce livre est disponible en librairie, ou à défaut sur commande à l’éditeur (9 € franco de port) : Éditions Astoure, 22240 SABLES-D’OR-LES-PINS), la vie d’avocat de son parrain Éric Trélor est largement évoquée au travers d’anecdotes croustillantes.

    Mais en attendant la lecture de ces livres, nous vous offrons le récit d’une consultation soumise à la sagacité de Maïtre David Sarel au mois de juillet 2005. Une consultation presque banale car, bien que David soit sollicité par une cliente célèbre, aucun risque mortel n’existait en l’espèce contrairement aux affaires rapportées dans ses romans.

                            David est depuis plusieurs années l’avocat attitré de Caroline Ducellier, une championne de tennis. Il s’occupe notamment de ses contrats avec les sponsors et les annonceurs publicitaires. Caroline a confié ses intérêts à David en raison de sa réputation dans les milieux sportifs et artistiques.

                            Mademoiselle Caroline Ducellier, âgée de vingt six ans est une joueuse de tennis française particulièrement performante, surtout sur les surfaces rapides. Au moment de la consultation, elle était classée cinquième joueuse mondiale, alors qu’elle n’avait pas participé à un tournoi depuis plusieurs semaines en raison d’une blessure .

                            Mademoiselle Ducellier est depuis le mois de décembre 2004 la compagne du pilote brésilien de Formule 1 Felipe Rodrigo. Elle l’a accompagné au Grand Prix de Bahreïn du 6 au 8 avril 2005. Or, afin d’aller voir leurs amis durant la qualification, Caroline Ducellier et son amie Jane Shawn - une actrice américaine qui vit avec Carlos Sueca, l’équipier espagnol de Felipe Rodrigo au sein de l’écurie anglaise Walcity – ont emprunté la moto 900 cm3 d’un ingénieur.

                            Alors qu’elles revenaient vers le paddock, Caroline et Jane ont été prises en chasse par des paparazzis qui, eux aussi au guidon d’un moto, les ont renversées. Dans la chute, Caroline a subi une fracture du poignet gauche impliquant six semaines de plâtre. Étant droitière, Caroline Ducellier devrait pouvoir poursuivre sa carrière nonobstant cet accident.

                            A l’hôpital le dimanche soir après la course où Felipe et son équipier ont réalisé le doublé, les paparazzis sont entrés dans la chambre où le pilote venait rejoindre sa compagne. Une infirmière a déclaré à un journal italien qu’elle avait entendu un bruit de bagarre et que les paparazzis avaient pris la fuite. Leurs visages présentaient des traces d’ecchymoses. Carlos Sueca et Jane Shawn étaient également présents dans la chambre d’hôpital. Plusieurs journaux italiens ont publié que Carlos Sueca et Felipe Rodrigo avaient cassé la figure aux paparazzis. La presse automobile et sportive, auprès de laquelle les deux pilotes sont très appréciés, a passé l’affaire sous-silence, se contentant de rapporter que les compagnes des deux champions avaient été victimes d’un accident de moto à l’intérieur du circuit à cause de photographes imprudents.

                            Caroline Ducellier partit en convalescence au Brésil chez son compagnon. Elle reprit l’entraînement mi-juin à l’Académie Bolitieri en Floride et partagea ensuite son temps entre la Floride et le Brésil.

                            Elle ne se doutait pas encore de l’exploitation scandaleuse que certaines personnes allaient faire de cette affaire dans le but de lui nuire.

                         A suivre le 4 avril 2006

  • LA F1 DANS L'UNIVERS DE DAVID SAREL

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans policiers parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac »

                Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952 et remporta plusieurs titres de Champion du monde). Le lecteur observera que héros  de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel. Freddy répond ici aux questions du journaliste Sébastien Ménier, un personnage qui jouera un rôle important dans les prochains épisodes des aventures de David.

    SM : Les premiers Grands Prix de la saison se sont déroulés de façon assez conforme à tes prévisions, sauf en ce qui concerne les aléas qui continuent de retarder Kimi Raïkkönen. Considères-tu que Kimi est frappé par la malchance depuis l’an dernier ?

    FV : Si l’on entend par chance la manière favorable dont les événements se produisent, il est incontestable que Kimi Raïkkönen accumule la malchance. La guigne s’acharne sur lui. L’an dernier, Kimi s’est presque toujours montré le plus rapide en course. Injustice du destin, malgré sa domination en piste, Iceman a passé l’année à tenter de rattraper son retard sur le Taureau des Asturies. Il a perdu au moins trente points à cause de défaillances de sa voiture qui ne lui étaient pas imputables.

    SM : Les chiffres parlent d’eux-mêmes en effet. Crois-tu que les Dieux préféreraient le feu à la glace ?

    FV : J’espère que non. Mais en Malaisie, ils ont semblé retomber dans leur errances passées en projetant une autre voiture dans la McMaren de Kimi dès le premier tour.

    SM : Tu nous as promis des anecdotes tout au long de la saison. Que pourrais-tu nous raconter aujourd’hui ?

    FV : Je t’ai parlé de l’atmosphère particulière qui règne en F1. Tout le monde surveille tout le monde. Quand la femme d’un pilote parle avec les membres d’une autre écurie, les observateurs voient son mari changer d’équipe la saison suivante. Bien sûr, c’est encore pire si c’est son agent qui discute avec un autre patron de team. Quand j’étais en F1, mon ami Éric Télor, qui est un avocat renommé, négociait tous mes contrats.

    En 1998, mon écurie m’avait proposé quinze millions de dollars par an pour renouveler mon contrat. Je souhaitais obtenir dix huit millions, et je savais qu’une autre équipe, moins performante mais dotée d’un budget confortable, signerait avec moi pour seize millions. Éric a arraché vingt trois millions par an pour les deux saisons suivantes en faisant croire à l’équipe que si elle refusait, je signerais dès la semaine suivante chez Ferrari. Le patron de l’écurie au sein de laquelle je roulais a signé, soucieux de conserver ma collaboration. Il voulait éviter de me retrouver comme adversaire. Éric a bluffé. Aucune négociation n’avait jamais été entamée avec Ferrari. Il s’est contenté de s’afficher avec le patron des rouges dans le paddock du Grand Prix de Silverstone, puis de laisser échapper devant des journalistes que la couleur de ma combinaison changerait peut-être la saison suivante. Les rumeurs circulent très vite dans le milieu. Dès le lendemain, la presse sportive mondiale évoquait mon arrivée chez le constructeur de Modène.

                « Vivien vengera-t-il son ami Pironi ? lisait-on en première page de couverture d’un grand quotidien national. Sera-t-il le premier Champion du monde français au volant d’une Ferrari ? ».

                Du côté de Modène, où on discutait les salaires des pilotes au titre de la saison suivante, personne n’a démenti l’information. Les pilotes des voitures rouges se montreraient moins exigeants s’ils sentaient la menace de se voir remplacés par un champion du monde. Le jeu des chaises musicales et de la chasse au baquet inquiète les pilotes et leurs agents.

                Éric avait parié sur ce phénomène. Il ne lui restait plus qu’à attendre que Priceley cède à ses prétentions, ce qui n’a demandé que quelques heures.

    SM : un vrai jeu d’intox ?

    FV : Comme je te l’ai déjà expliqué, la F1 est un monde sans pitié. Rien à voir avec l’univers du Club des cinq.

    SM : Pour revenir à l’actualité, le déroulement des premiers Grands Prix modifie-t-il un peu tes prévisions pour le championnat 2006 ?

    FV : Sur un point seulement. Avant Bahreïn, je croyais que Nico Rosberg ferait de belles performances mais qu’il fallait lui laisser un peu de temps car il débutait en F1. Compte tenu de ce qu’il a montré lors des deux premières courses, je pense que son potentiel est encore plus exceptionnel que je le pensais. Ce garçon est tellement doué, intelligent et motivé qu’il pourrait bien gagner son premier Grand Prix dès 2006 !

  • LE TEAM ASTOURE DEDICACE !

    Ce n’est pas un

    Poisson d’avril !

    VENEZ TOUS  A LA PÊCHE AU POLAR !

    Samedi prochain, 1er avril 2006,

    quatre auteurs du fameux Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) dédicaceront leurs livres de 10 heures à 19 heures à l’Intermarché de Pontivy dans le Morbihan.

    L’équipage Astoure pour cette course d’endurance sera composé (par ordre alphabétique) de :

    Thierry Le Bras

    Éric Rondel

    Bruno Ségalotti

    Guénolé Troudet.

    Signalons que Guénolé habite Baud et qu’il « pilotera » donc cette dédicace sur une piste qu’il connaît parfaitement et qui lui est chère. Devant son public, devant ses amis, il sera particulièrement motivé pour entraîner le Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) vers des records de signatures jamais atteints jusqu’à présent.

    Les auteurs du Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) mettent leurs stylos au point. Samedi matin à la première heure, ils les feront chauffer pour être prêts à lancer leurs plumes à toute allure sur les pistes des dédicaces les plus audacieuses !