Il faut les faire connaître !
J’ai besoin de votre aide pour promouvoir mes polars au cœur de la course auto, et en premier lieu LE PACTE DU TRICHEUR.
Si vous lisez cette note, c’est que, comme moi, vous aimez la course automobile.
La compétition, j’en ai rêvé quand j’étais gamin. Je l’ai photographiée dès que j’ai pu aller sur des circuits. Je l’ai pratiquée dès que c’est devenu possible. Puis, après avoir rangé mon casque et ma combinaison, je l’ai à nouveau suivie, à nouveau photographiée, racontée.
"La course, c'est la vie! Avant et après, il n'y a que l'attente", déclare Steve McQueen dans le film Le Mans. J’adhère à 1000% aux propos de l’acteur pilote. Devenu écrivain, je considère que la course automobile est un univers si fantastique qu’elle est le théâtre idéal pour des nouvelles et des romans policiers. J’éprouve peut-être le besoin d’écrire les livres que j’ai envie de lire. En tout cas, après CIRCUIT MORTEL A LOHÉAC et CHICANES ET DÉRAPAGES DE LORIENT AU MANS, j’ai publié LE PACTE DU TRICHEUR. Il s’agit cette fois d’un polar cross-age teinté de fantastique dont l’action se déroule pendant un rallye en Auvergne. Le livre (un Ebook) s’adresse principalement aux jeunes lecteurs, mais pas seulement. Il intéressera aussi les grands enfants, c’est-à-dire les adultes qui savent conserver leur enthousiasme et leur dynamisme.
Le livre est disponible. Des sites et blogs l’ont présenté et je les en remercie très sincèrement. Un pilote aussi attachant que rapide, Yoann Bonato, l’a préfacé et je ne l’en remercierai jamais assez car sa préface a enrichi le roman. Mais j’ai aussi besoin de vous pour que la vie de ce livre soit un succès complet. Alors, j’ose vous exposer quellques bonnes raisons de m’aider à promouvoir et à vendre LE PACTE DU TRICHEUR, disponible ici pour 0,98 € http://amzn.to/1jAhsoF
Un roman sur fond de course automobile contribue à faire aimer notre sport préféré
La course automobile ne fait pas l’unanimité, malheureusement. Polluante, sport de riches, truc de fils à papa, d’enfants gâtés, sport de dingues, activité poussant à conduire dangereusement, autant de reproches injustes mais courants. Hollande a même présenté comme argument de campagne en 2012 qu’il n’aimait pas la F1.
Les fictions écrites par des auteurs qui aiment la compétition automobile et la connaissent contribuent à donner une image positive de la course et donc à la faire aimer. Ceux qui la découvrent dans des fictions auront envie de mieux la connaître et d’aller voir de vraies épreuves ! Contribuer à faire vendre des romans, BD, polars dont les scénarii intègrent l’univers de la compétition représente un acte militant en faveur de sa cause. C’est particulièrement vrai pour le rallye qui n’a pas encore donné d’idées à Hollywood (messieurs les producteurs de là-bas, si LE PACTE DU TRICHEUR vous plait, nous pouvons discuter !!! Vous verrez, je suis un gars sympa, raisonnable et plein d’humour). Pourtant, le rallye est une discipline extraordinaire qui demande des qualités exceptionnelles aux pilotes.
Le sport n’est pas encore apprécié à sa juste valeur par le monde de l’édition. Nous devons tous y remédier
Curieusement, le sport n’est pas un univers présent dans beaucoup de romans malgré les émotions et les tensions qu’il met en scène. « Le sport est un lieu parfait pour voir se commettre des crimes », déclare pourtant Harlan Coben dans une interview diffusée dans L’Équipe du 11 janvier 2013. C’est pourquoi Myron Bolitar, un de ses personnages récurrents, est agent de sportifs.“Le processus d’écriture d’un roman est très semblable à un entraînement sportif, témoigne pour sa part John Irving. Il faut aimer répéter le même geste ».
Beaucoup d’auteurs aiment le sport… mais peu ont l’audace d’y installer leurs scenarii, tout au moins en France. Pourquoi ? Je crois que la réponse vient en grande partie de la mentalité de nos éditeurs et du fonctionnement de leurs entreprises. Le monde de l’édition française se montre volontiers intello-bobo, et chez ces gens-là mes amis, évoquer un bolide qui vrombit ou un boxeur qui encaisse un crochet, serre les dents et riposte par un uppercut n’entre pas dans les réflexes du métier. En outre, les projets et tapuscrits sont le plus souvent triés par des petites mains qui appliquent sans réfléchir des consignes de base et jettent a priori toute idée non conforme à 100% au formatage dictatorial de la collection. Dommage, car ce formatage assassine quantité de projets. J’entendais récemment un écrivain renommé d’amuser dans une émission littéraire des chances qu’aurait Victor Hugo d’être publié aujourd’hui : « aucune car il se permettait beaucoup de digressions et ne faisait pas entrer ses personnages dans l’action à la vitesse d’une série télé ». Splendeur et misère de l’écriture ? Dans le même ordre d’idées, Columbo serait jeté à la poubelle par les décideurs contemporains. Pourquoi ? L’assassin est connu dès les premières minutes et pas à la fin du film.
Autre élément qui dessert les scenarii sur fond de sport, y compris de sport automobile, la réticence de certains journalistes spécialisés face aux fictions policières. Pourquoi ? Parfois en raison des aspects les moins glorieux du sport. Eh oui, il existe des gougnafiers partout, même dans les activités que nous adorons. Il serait aussi vain que naïf de le nier. A mon sens, ce n’est pas desservir une discipline d’imaginer dans un roman qu’un concurrent peut ne pas se comporter comme un gentleman face à des rivaux honorables, ni qu’un journaliste cède à des intérêts personnels ou aux souhaits de la régie publicitaire de son média et masque dans ses reportages les comportements anormaux d’un pilote. D’autres chroniqueurs pensent que la réalité du sport est si sacrée qu’il est sacrilège de la détourner dans une fiction. C’est leur droit, bien sûr. Et c’est aussi le droit des auteurs de privilégier les médias qui les relaient et de beaucoup moins s’intéresser aux autres…
En tout cas, si vous pensez que le sport automobile a droit de cité dans les fictions, soutenez mes efforts pour promouvoir LE PACTE DU TRICHEUR et les romans, BD, films sur fond de course automobile. Les habitués de ce blog savent que je ne me contente pas de prêcher pour ma paroisse. Je présente également très régulièrement d’autres fictions.
Comment faire exister un roman sur la course automobile aujourd’hui ?
Avez-vous observé les campagnes de communication dont bénéficient les ouvrages qui pointent parmi les meilleures ventes dans les rayons des grandes surfaces et des hebdos ? Piles de livres entassés comme des boites de petits pois dans les lieux stratégiques, pavés publicitaires dans des magazines comme L’Express et Le Point, pub aussi sur les radios à des heures de grande écoute (notamment sur Europe), campagnes d’affichage, sans parler des interviews des auteurs dans les JT des plus grandes chaines TV. Un matraquage publicitaire aussi coûteux que celui qu’entreprend un constructeur automobile pour lancer un nouveau modèle.
Loin de moi l’idée de critiquez ces pratiques. C’est la loi du marché et je serai ravi si je parviens à convaincre un des plus grands groupes d’édition de me suivre sur un projet. Malheureusement, une place chez Fleuve Noir ou chez Albin Michel, c’est à peu près aussi difficile à décrocher qu’un bon baquet en F1. Comme en course automobile, il n’y a pas assez de places pour ceux qui mériteraient de s’exprimer dans les meilleures conditions. Et comme en F1 encore, des éléments un peu subjectifs entrent en considération au-delà du potentiel pur. Les pilotes français ne sont pas une priorité pour les décideurs de la F1. Les auteurs français ne sont pas davantage une priorité pour les éditeurs de polars. Ou plus exactement, le monde de l’édition attend d’eux un certain type d’ouvrages, des histoires très noires, sordides, dans des univers glauques, avec des héros marginaux, hostiles à la société. . Si un héros français se montre ambitieux, gagneur dans l’âme et essaie de forger son destin, c’est un abominable crime de lèse-bobo. Le personnage à peu près normalement intégré qui se trouve face à une situation extraordinaire ressemble pourtant plus au lecteur traditionnel. Oui, mais ces scénarii-là, nos plus grands éditeurs préfèrent les récupérer chez des auteurs anglo-saxons ou nordiques. Nos principaux éditeurs n’aiment pas le sportif né de la plume d’un auteur français.
Les éditeurs de taille moyenne qui avaient réussi en région ont paru une solution intéressante à une période. Mais ça, c’était avant… L’évolution de la distribution du livre les place aujourd’hui dans la situation d’épiciers de quartier face à un géant de la distribution alimentaire. Observez la place que leur laisse votre grande surface préférée dans ses rayons culture. Plus rien, ou presque. Je connais même un réseau qui les sort des rayons au moment des fêtes de fin d’année, période particulièrement propice aux ventes. Certains de ces éditeurs ont cherché ce qui leur arrive en n’exploitant pas intelligemment le potentiel que leur offrait leurs équipes d’auteurs et en négligeant la communication. Dans ce genre de maisons, il arrive que les auteurs les plus performants, les plus agressifs commercialement, les plus efficaces en termes de retombées médiatiques se trouvent, toutes proportions gardées, dans la situation de Kimi Räikkönen chez Lotus en 2013 : mal servis, mal (ou pas) payés, et plus vraiment aimés quand ils montrent les dents.
Faut-il pour autant renoncer à ses projets de livres ? Certainement pas. Il convient simplement de chercher d’autres solutions d’édition et de diffusion, par exemple en Ebook, avec peut-être des tirages papier sur commande quelques mois après la version électronique. Aux USA, le chiffre d’affaires de la vente de livres électroniques dépasse celui de la distribution des livres de poche. La révolution de l’Ebook est en marche. Je devrais plutôt dire en piste dans une note où je défends les romans de course automobile. D’ailleurs, le livre électronique présente beaucoup d’avantages : téléchargeable immédiatement et sans se déplacer, moins cher, meilleur confort de lecture (adaptable à votre vue, à la luminosité ambiante), moins encombrant, offre d’une image branchée, voire geek au lecteur, et dans un avenir proche des versions enrichies vraiment intéressantes. Si vous souhaitez conserver une variété dans l’offre de livres et trouver des titres incluant vos passions, soutenez cette démarche !
Téléchargements, partages et mentions Like sur Facebook, RT (sur Twitter) sont les bienvenus et ne vous coûteront pas grand-chose…
Les réseaux sociaux aident à la promotion d’un livre. Oui, bien sûr, un peu… Il ne faut pas rêver non plus. D’abord, ils sont avant tout l’expression du besoin des gens de se mettre en scène et de parler d’eux. Analysez les mentions Like, les partages et les RT sur les interventions qui vous tiennent à cœur vous donnera une idée précise du potentiel réel de Twitter et surtout de Facebook. La plupart de vos relations ne vous donneront un coup de pouce (clin d’œil au signe de la mention Like) que lorsque vous posterez un lien qui correspond à leur violon d’Ingres. Pas pour vous faire plaisir et encore moins pour vous aider. Et peu importe que vous vous soyez montré généreux en « Like » et partages de leurs posts ou en RT…
« Les gens sur qui je peux compter, si j’en ai cinq, je suis un roi », chante Michel Sardou dans Le prix d’un homme. Je dois sans doute me sentir un vrai roi dans le mesure ou plus de cinq supports ont relayé mes communiqués et que plus de cinq amis et followers ont appuyé la communication du PACTE DU TRICHEUR. Un grand merci à ceux qui l’ont fait, d’ailleurs. Je sais maintenant qui sont ceux sur qui je peux compter et je m’en souviendrai dans le choix de mes lectures favorites comme dans celui des mentions Like et des RT à privilégier. La notion de retour d’ascenseur existe fort justement sur les réseaux comme dans la vraie vie et c’est tant mieux.
Faire connaître un livre est un vrai parcours du combattant dans la jungle des titres qui paraissent sur papier comme en Ebooks. Les plus grands producteurs de films et d’ouvrages dépensent des fortunes en marketing et en communication. Savez-vous que le budget marketing moyen d’un film de Disney sur le marché français est de 6 Millions d’euros ? Imaginiez-vous que plusieurs mois avant le lancement d’Hunger Games, 21 personnes travaillaient sans relâche sur les réseaux sociaux afin de préparer le buzz ? Alors, j’ai encore besoin de vous, de vos partages et mentions Like sur FB, de vos RT sur Twitter, et de vos téléchargements sur Amazon. Car, pour ceux qui aiment la course automobile, payer 0,98 € pour télécharger une histoire de sport auto, ce n’est quand même pas un frein. J’ai consenti un effort en lançant LE PACTE DU TRICHEUR à ce prix pour que tout le monde puisse se l’offrir. Aidez-moi à faire exister des fictions sur le sport automobile dans le paysage éditorial ! Et n’oubliez pas non plus de défendre les autres romans, BD et films qui vous plaisent. Les auteurs ont besoin de votre soutien pour continuer à travailler.
Une occasion de partager une passion commune avec les vôtres
LE PACTE DU TRICHEUR est un polar cross-age, ce qui signifie qu’il s’adresse en priorité à de jeunes lecteurs mais qu’il est conçu pour plaire aussi à un lectorat d’adultes. Autrement dit, vous pouvez faire plusieurs heureux en le téléchargeant. Vous, mais aussi vos enfants, neveux, nièces, filleul(e)s… C’est possible avec un seul téléchargement puisque je l’ai édité sans DRM, ce qui vous permet de le transférer gratuitement sur d’autres ordinateurs ou tablettes avec un câble USB.
Autrement dit, grâce au PACTE DU TRICHEUR, vous pouvez offrir à vos enfants un roman de course automobile pour le prix d’un pain au chocolat !
Si vous souhaitez qu’ils s’éveillent à l’automobile et que cela contribue au partage de moments privilégiés avec eux, faites leur lire LE PACTE DU TRICHEUR ? Beaucoup se plaignent à juste titre de la téléréalité, des feuilletons nullissimes qui abêtissent les jeunes générations. Alors, incitez ceux que vous aimez à s’intéresser à autre chose. Je ne voudrais pas me montrer prétentieux. Sûrement, les dialogues de mon roman n’atteignent-ils pas les fulgurances littéraires de la Comédie humaine. Mais les jeunes y utilisent au moins un vocabulaire dépassant « Allô, non mails allô quoi ». Et puis, Clarisse, un des personnages de l’histoire, ne parle pas de shampoing. Elle se soucie moins de sa petite personne que du sort de ses amis. Valeur dépassée ? Sans doute dans la téléréalité qui vante le mensonge, la trahison, l’apparence… Pas si sûr dans la vraie vie. Les ados se sentent naturellement très solidaires entre eux et se montrent moins égoïstes que leurs aînés.
QUELQUES LIENS A SUIVRE
Où commander LE PACTE DU TRICHEUR ? C’est simple, en cliquant sur
Pour mieux connaître Yoann Bonato, l’auteur de la préface du livre
David, lycéen et copilote en rallye http://0z.fr/PB0ED
Polar et rallye, les mêmes pistes sinueuses et glissantes
Lutte et écriture http://0z.fr/ffluo
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Thierry Le Bras