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sixties - Page 8

  • LA LOTUS ELAN DANS L’UNIVERS MECANIQUE DE PHILIPPE GEORJAN

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    « J’ai conduit de nombreuses voitures dans ma vie, certaines très puissantes,  raconte Philippe Georjan, héros récurrent d’une nouvelle série de romans que prépare Thierry Le Bras. J’ai piloté en course des autos considérées à juste titres comme emblématiques dans leurs catégories, des R 12 Gorde, des Ford Escort 2000 RS, des Golf GTI, des Sierra Cosworth et bien d’autres, jusqu’à une Focus WRC. Mais si je devais choisir celle qui m’a le plus enthousiasmé, je dirais sans hésiter  la Lotus Elan. »

     

    Cela se passait en 1966. J’étais adolescent à l’époque où je l’ai découverte en réalité et un concours de circonstances (1) dont je n’aurais même pas osé rêver m’avait permis de sympathiser avec un jeune pilote de 21 ans, Xavier Ferrant, qui courait alors en F3 et débutait en endurance. Or, Xavier roulait justement en Lotus Elan au quotidien.

     

    Elan de passion

     

    Je me rappelle la Lotus Elan comme une petite bombe très agréable, très vive,  dotée d’une tenue de route extraordinaire, une voiture franchement ludique et passionnante. Je conserve des souvenirs impérissables de virées cheveux au vent sur les routes côtières de la région de Saint-Malo.  L’aiguille du compte-tours grimpait à la vitesse de l’éclair jusqu’à la limite de la zone rouge, La vitesse procurait un plaisir formidable, magnifiquement orchestré par les hurlements du moteur rageur et quelques crissements de pneus. Il faut dire que son groupe  propulseur d’origine Ford d’une cylindrée de 1.594 centimètres cubes développait 115 chevaux et propulsait la petite bombe qui pesait moins de 700 kilos à 180 kilomètres heure. A l’intérieur, le bois du tableau de bord et du volant associé au cuir des sièges et des garnitures créait une atmosphère à la fois chaleureuse et dynamique.

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    La Lotus Elan de Xavier possédait un plus par rapport à ses sœurs sorties des mêmes ateliers. Mon copain pilote sortait avec une speakerine de l’ORTF qui adorait le 5 de Chanel. Ce parfum sensuel et somptueux l’accompagnait dans tous les instants de sa vie. Ses effluves délicieuses imprégnaient le cuir de l’intérieur du cabriolet. C’était très agréable, envoûtant.

     

    Cours de conduite en Lotus !

     

    Comble de plaisir, Xavier me permettait de conduire sa Lotus Elan sur des petites routes. Il serait mon moniteur de conduite particulier et m’apprendrait d’entrée comment placer mes mains sur un volant, rétrograder en faisant le talon-pointe, choisir les bonnes trajectoires, adapter ma conduite aux revêtements et aux conditions d’adhérence. Bien sûr, un adolescent qui apprend à piloter sur route ouverte au volant d’un petit bolide sans double commande, ça paraît fou aujourd’hui...

     

    Mais c’était une autre époque. Il y avait moins de voitures sur les routes. Et nous choisissions tout de même des itinéraires dégagés. D’ailleurs beaucoup de jeunes apprenaient à conduire de cette façon. La seule différence, c’était qu’au lieu de le faire avec un de mes parents sur une 2 cv, une R8 ou une 404, je découvrais la conduite au volant d’une Lotus avec un pilote professionnel.

     

    Une voiture insolente...

     

    L’Elan était une voiture dans l’air du temps, celui de la légèreté, de l’enthousiasme, des chansons d’époque. Dans ma mémoire, je me vois encore écouter I get around avant de monter dans la Lotus, ou Johnny chantant « Les mauvais garçons » en la quittant. Car, si comme l’idole des jeunes, nous ne nous sentions pas méchants, nous avions le sentiment de provoquer la réprobation lorsque Xavier exploitait la vivacité de  la petite Elan pour doubler et laisser sur place des 2 cv, 4L,  R 16, 404 ou autres DS et Mercedes. La Lotus était si basse que capote installée, sa hauteur ne dépassait pas le bas de la vitre des berlines familiales. Mais avec l’insolence et l’insouciance de la jeunesse, nous imaginions les bobonnes d’au moins quarante ans – un âge qui nous semblait absolument canonique - installées à côté de leurs maris tourner la tête d’un air méprisant. Quant à leurs compagnons bedonnants, ils   nous traitaient sûrement de blousons noirs. Sans compter ceux que les feux de la politique dévoraient – le Parti communiste était très puissant à cette période – qui devaient nous qualifier de sales bourges er de fils à papa et nous vouer à une villégiature forcée dans les camps sibériens. A dire vrai, nous n’en avions cure.

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    Un jour, nous avons rattrapé une Simca 1000 beige au niveau de l’Anse Le Guesclin entre Saint-Malo et la Pointe du Grouin. Un chien dodelinant la tête était installé sur la custode et donnait aux propriétaires l’impression de faire partie des français moyens parfaitement respectables. Avant que les hauteurs respectives des deux véhicules nous dissimulent l’intérieur de la Simca, nous avons eu le temps d’apercevoir que monsieur portait un béret et que madame, beaucoup plus large que lui,  arborait une permanente qui durerait au moins six mois avant de défriser. Quand la Lotus est passée devant, le klaxon de la Simca 1000 s’est bloqué, ses pleins phares de sont allumés. Je me suis retourné et j’ai aperçu une tête de mégère sortir pas la vitre droite du véhicule dépassé. Le masque semblait aussi agité que disgracieux. Je ne l’ai pas vu longtemps. Quelques secondes suffirent à faire disparaître la Simca 1000 loin derrière. Je jouissais déjà du plaisir de sentir la Lotus en appui, à la limite du dérapage, bondissant d’un virage à l’autre dans un enchaînement sinueux qui aurait trouvé sa place dans un tracé de course de côte.

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    Une autre fois, nous avons doublé ma grand-mère maternelle sur la route de Rothéneuf. Je ne crois pas qu’elle ait eu le temps de me reconnaître. Nous roulions au moins à 120. Elle ne devait pas dépasser le 60, et encore, avec sa Fiat 1500 blanche. En fait, elle conduisait comme d’habitude, droite comme un I, dos décollé du siège, sa tête à manger des gâteaux secs – expression que j’emprunte à Fernand Reynaud tant elle s’applique bien à celle que j’évoque - fixant craintivement la route. Elle tenait le volant du bout de ses doigts alourdis par le poids de l’or, des diamants  et autres pierres précieuses offertes par mon pauvre grand-père qui avait passé l’arme à gauche six ans plus tôt. La grand-mère prétendait que son mari aurait vécu plus longtemps s’il avait moins aimé le whisky, la bonne chair, le tabac et les autres femmes. Je prétendais quant à moi que c’était elle qui l’avait tué tant elle était foncièrement mauvaise et nuisible. Mes propos faisaient beaucoup rire ma cousine, mon cousin, mon père et mon oncle. Beaucoup moins ma mère et ma tante, je l’avoue. Ma mère et sa sœur levaient les yeux au ciel et assuraient que leur père – c'est-à-dire mon grand-père – devait se sentir seul là-haut et se rendre compte à quel point sa femme était importante. Elles semblaient convaincues qu’il l’attendait avec impatience. Je ne disais rien pour ne pas envenimer la situation. Mais je plaisantais souvent à ce sujet avec mon cousin Laurent et ma cousine Christina. Nous pensions d’abord qu’il n’existait aucun risque que ma grand-mère aille polluer l’avenir de notre grand-père outre-tombe. Lui était un très brave homme qui méritait le paradis. Elle, était une sale peste qui, si les dieux du ciel possédaient un peu de bon sens, passerait l’éternité aux tréfonds des enfers. Nous souhaitions à notre grand-père la compagnie de femmes douces, gentilles, compréhensives, ressemblant à Brigitte Bardot, Sylvie Vartan, France Gall, Marie Laforêt ou Claudine Coster. Si notre abominable grand-mère réussissait à resquiller et à le rejoindre, nous espérions qu’il la virerait sur le champ. Nous avions de toute façon fait le serment que s’il ne le faisait pas – il avait très bon cœur, je l’ai déjà dit -, le premier d’entre nous arrivé là-haut chasserait la grand-mère sans pitié et l’enverrait à une distance infinie. Ça, nous n’en parlions pas devant nos parents. Nous étions en 1966. Déjà aujourd’hui, de telles idées – qui ne nous ont pas quittés – passeraient moyennement. Alors, imaginez à l’époque.

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    Mon grand-père me manquait/ J’aurais aimé pouvoir lui offrir un tour en Lotus avec Xavier. J’étais certain qu’il aurait accepté et qu’il se serait bien amusé. D’ailleurs, il avait manifesté des velléités d’acheter un cabriolet Mercedes deux ans avant sa mort. Mais la grand-mère avait fait un tel scandale qu’il avait renoncé à son projet et s’était rabattu sur une berline. Il paraît que la décapotable, c’était un piège à trainées… Enfin, selon qui vous devinez.

     

    La Lotus Elan symbolisait la jeunesse, une pointe d’arrogance et un défi aux trop bien pensants. Ce n’est pas par hasard qu’Emma Peal apparaîtrait au volant de ce joli petit monstre dans « Chapeau Melon et bottes de cuir ».

     

    Après l’Elan, Xavier choisirait des Porsche 911, une 914/6 aussi, voiture mésestimée qui méritait bien mieux que la carrière commerciale et sportive qu’elle reçut. La 914/6, c’était une sorte de Lancia Stratos avant l’heure au niveau de la conception. Mais ça, c’est une autre histoire.

     

    Les Lotus Elan de Jim Clark

     

    La Lotus Elan représenta une étape marquante dans la vie de Colin Chapman. Elle consacra le passage de Lotus de l’artisanat à l’industrie. Sa tenue de route extraordinaire et sa vivacité la prédestinaient à la compétition. Colin Chapman avait homologué le modèle 26 R qui développait 178 chevaux pour 580 kilos. Une arme redoutable parfois freinée toutefois par des soucis de fiabilité.

     

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    Jim Clark a possédé au moins une Lotus Elan. « Je conduis ma Lotus Elan par plaisir, pas parce que j’en ai besoin », déclarait le champion écossais.  J’ai lu que peu avant son accident à Hockenheim, il l’avait offerte à son ami Gérard Crombac chez qui il résidait lorsqu’il séjournait en France. La voiture a été récemment vendue aux enchères avec d’autres voitures de la collection de Gérard Crombac.

     

    NOTE MODIFIÉE LE 3 AOÛT 2014

    VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, LE polar vintage, gourmand automobile et humoristique. Plus de précisions et possibilité de lire gratuitement les premières pages en cliquant ICI http://bit.ly/1zmPqE6

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    C’est dans ce polar que Philippe, le narrateur, fait la connaissance de Xavier, son moniteur particulier de conduite sur Lotus, l'ami qui va l'aider à grandir plus vite.

    Thierry Le Bras

  • 1969, ANNÉE MÉCANIQUE ET ÉROTIQUE

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    69, année érotique pour Serge Gainsbourg et Jane Birkin…

     

    Sans oublier Brigitte Bardot dont la chanson « Je n’ai besoin de personne en Harley Davidson fait toujours fureur »

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    69, année mécanique aussi, avec quelques temps forts comme l’apparition de la Porsche 917 en compétition, la victoire de Jacky Ickx sur Ford GT 40 aux 24 Heures du Mans dans des conditions très particulières puisqu’après avoir pris le dernier vrai départ type Le Mans en marchant, le pilote belge remporta l’épreuve après un duel roues dans roues jusqu’aux derniers mètre contre la Porsche 908 que Hans Hermann partageait avec Gérard Larrousse.

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    69, Jackie Stewart et Jean-Pierre Beltoise réussissent une super-saison sur les Matra-Ford de l’écurie de Ken Tyrell. L’Écossais remporte le titre. Le Français se classe cinquième.

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    69, vraiment une très belle année !!! 

     

    NOTE MODIFIÉE LE 21 AOÛT 2014

    Vous aimez les sixties et leur ambiance de tourbillon d’enthousiasme. Alors, ne ratez pas VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, LE polar vintage, gourmand automobile et humoristique. Plus de précisions et possibilité de lire gratuitement les premières pages en cliquant ICI http://bit.ly/1zmPqE6

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    LE POLAR tendance sixties à lire cet été ou l’hiver prochain au coin du feu !

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Une autre présentation de VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES http://0z.fr/u88wT

    Bientôt un film avec Tom Cruise à l’époque de VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES http://bit.ly/LHGHst

    Pedro et Ricardo Rodriguez, les frères amis du sport automobile,  devraient aussi arriver sur grand écran ! http://bit.ly/1kdnVsY

    LE PACTE DU TRICHEUR, un autre polar automobile que j’ai écrit pour vous :http://amzn.to/1jAhsoF

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    Thierry Le Bras

  • LA COURSE DE CÔTE DE SAINT-GOUËNO ET SON FER A CHEVAL (2)

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     1974, le pilote rennais Yves Martin  pilote brio une McLaren Formule 2 orange, comme les voitures officielles aux débuts du team créé par Bruce McLaren. Cette monoplace avait d'ailleurs été pilotée par Jody Scheckter

    Après une première note consacrée à des passages « chauds » au Fer à cheval lors de  la Course de côte de Saint-Gouëno, j’ai sorti de mes archives quelques vues de pilotes qui négocièrent ce virage délicat à la perfection. Voici donc quelques moments de pilotage choisi, des instants qui ont fait vibrer les spectateurs amateurs de beau pilotage.

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    Tous les passionnés de compétition se souviennent des BMW Art Cars initiées par Maître Hervé  Poulain. Si le commissaire priseur le plus rapide du monde a  eu envie de courir au Mans et a trouvé un schéma exceptionnel pour y parvenir, ce fut parce qu'il était un gentleman driver particulièrement performant. En 1974, il a couru plusieurs fois dans l'Ouest. Le voici à l’attaque eau volant de sa R 12 Gord groupe 2.

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    Sans soute vous souvenez davantage de ses performances en Championnat d'Europe avec de très grosses autos, BMW 635 groupe A, BMW M1 et Maxi 5 Turbo groupe B. Avant, Giovanni Rossi avait piloté d'autres montures avec brio. Pas seulement la BMW 528 groupe A ou l'Opel Commodore GSE groupe 1, mais aussi une Alfa Romeo 2000 GTV Bertone. Le voici en action en 1974 !

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    Impossible de parler de course de côte sans mentionner un nom, celui d’un des pilotes les pus doués de la discipline, Francis Dosières. Une légende aussi. Mes premiers souvenirs de lui remontent au Mont-Dore 1976 où il avait remporté la classe 1300 – 1600 du groupe 1 avec une Simca 1000 Rallye 2 devant un autre jeune loup, Henri Vuillermoz. En 2015, Francis court encore au volant d’une Megane Trophy. En 1980, 1981 et 1982, il pilotait cette magnifique Ford Escort 2000 RS groupe 1. Avec très souvent la victoire à la clé bien sûr.

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    1980, un pilote de voiture fermée conquiert le titre de Champion de France de la montagne. Il s’agit de Jean-Christian Duby sur Ford Escort 1800 RS groupe 2. Un beau parcours pour le pilote et sa monture.

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    Non, le parcours de Jean-Christian Duby n'avait pas été un long fleuve tranquille. Pour battre les pilotes de F2 au championnat, il fallait gagner le groupe 2 presque tout le temps. Or, il y avait de la concurrence. Au Mont-Dore d'ailleurs, Yves Evrard avait imposé sa BMW 320 aux Escort. Et il fallait aussi compter avec Philippe Leclerc et sa BMW 320 Hartge (ci-dessus).

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    1982, Christian Dzierzbicki réalise des montées parfaites et arrache la victoire en groupe A dans la classe des moins de 1300 cm3. Il devance un peloton de furieux dans lequel figure notamment le très rapide Patrice Cosson. Christian ne courait pas très souvent dans l’Ouest. Il disputait plus volontiers les épreuves pas trop éloignées de l’Ile de France et dans l’Est. Le voir au départ augurait toujours d’une belle bagarre dans la catégorie. J'aurais aimé voir cet excellent pilote au volant d'une grosse auto. Je suis persuadé qu'il avait le talent et toutes les qualités pour intégrer le clan des gros bras capables de jouer régulièrement le groupe et de viser le podium au championnat.

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    1982 toujours, Jean-Philippe Grand fait partie des grands de la montagne. Il tire toute la quintessence de sa barquette Lola sur les routes du Championnat de France. Avant de troquer son casque et sa combinaison pour le costume de patron du Graff Racing, le pilote tourangeau a su s’imposer comme pilote.

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    1984, Francis Dosières pilote maintenant une BMW 528 groupe A. Avec autant de brio que ses montures précédentes. Francis reste le patron dans sa catégorie. Dès 1985, la 635 succédera  à la 528 et lui permettra de conquérir le titre de Champion d'Europe.

     

    Voilà, je n'ai pas évoqué tous les pilotes qui ont écrit l'histoire de la Course de côte de Saint-Gouëno. Mais d'autres photos et d'autres notes viendront. J'ai des cartons entiers de diapos à scanner, alors la matière ne manque pas. Le temps si, souvent, mais j'essaie quand même de faire revivre ces beaux moments de la course automobile que nous aimons tant.

    Vous pouvez également me retrouver sur http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/ , http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Un week-end agité à la Course de côte de Saint-Gouëno  http://bit.ly/OKCzJB

     

    Des « Groupe B » en course de côte http://bit.ly/1NFcjZQ

     

    Un feuilleton automobile dans le monde de la course de côte http://bit.ly/1TFRLlK  

     

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    Thierry Le Bras