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  • 30 ANS, LE BEL ÂGE

    medium_vivia.jpgLE JOURNALISTE SÉBASTIEN MÉNIER RACONTE VIVIA

    Nous sommes sur Édicourse TV. Lors du magazine hebdomadaire consacré aux sports mécaniques, Sébastien rappelle les débuts de Vivia. Une belle histoire comme on en trouve parfois dans le monde de l’industrie et celui du sport.

    - Si les spécialistes de l’histoire automobile se rappellent la naissance de Vivia, les autres ont peut-être oublié l’origine de cette aventure qui débuta en 1977 et trouva sa source dans la passion de deux gamins, deux copains qui devaient rester des amis et concrétiser leurs rêves. Nous remontons à l’été 1966. L’un allait sur ses 12 ans, l’autre venait de fêter son quatorzième anniversaire. Les deux garçons campaient à Larmor Plage sous la surveillance bienveillante du grand-père Victor, papa de la mère du plus jeune. Victor, le fameux grand-père, s’était installé lui-aussi au camping, mais en caravane avec sa compagne Régine, une jeune femme qui se distinguait dans les courses de côtes et les rallyes de l’Ouest au volant d’une Ford Cortina Lotus. Les deux gamins se passionnaient pour les voitures de course depuis qu’ils étaient tout petits. Connaître une pilote leur prouvait que la course était accessible.
    « Cet été-là, les jours de pluie, les deux enfants s’abritaient sous la tente ou dans la caravane et dessinaient une petite voiture de sport bi-place, un coupé lift-back à moteur avant. Au fur et à mesure qu’ils grandissaient, ils continuèrent à imaginer cette voiture, à faire évoluer son concept.

    « Puis l’aîné passa son permis, prit une licence de sport automobile et engagea sa NSS TT dans des compétitions. Le plus jeune devint son navigateur en rallye. Il n’avait pas encore l’âge de conduire, mais la fédération permet de devenir co-pilote dès 16 ans. Un sponsor, les montres Time O’Clock, les suivit dans leurs projets. Une Alfa Roméo 1600 puis un coupé 2000 GTV succédèrent à la NSU. Un jour, l’aîné entra dans une écurie de F 2, puis fut engagé en Formule 1. Le sponsor principal suivait toujours et attribua un budget au plus jeune afin de continuer à faire courir l’Alfa Roméo. Nous étions en 1976.
    « Ces deux garçons, vous les avez reconnus. Il s’agit de Freddy Vivien, qui depuis cette période a conquis quatre titres de champion du monde de Formule 1, et d’Éric Trélor, avocat brillant et pilote très performant.

    Sébastien se tut quelques secondes. La musique de I will survive prit le relais tandis que des photos de Freddy et Éric défilaient sur l’écran.

    - Mais un autre aspect extraordinaire de cette histoire, c’est la concrétisation du rêve de gosses des deux amis, reprit le journaliste. Car la petite voiture de sport imaginée par Freddy et Éric au camping de Larmor Plage a vu le jour.

    « Dès qu’il accéda à la Formule 1, Freddy décida de réaliser leur rêve d’enfants. Il allait fabriquer cette petite voiture de sport deux places, 1600 cm3, 680 kg, 150 chevaux, la sportive à l’état pur, auprès de laquelle la Golf GTI série 1 à l’époque ressemblerait à une berline bourgeoise. Il utilisa sa notoriété de pilote de F 1 et fédéra des industriels bretons autour de l’opération. Les Automobiles Vivia venaient de naître. Et qui fut l’avocat chargé de mener les opérations ? Son ami Éric Trélor bien sûr, qui commençait sa carrière comme avocat stagiaire.
    « Éric devint tout naturellement le premier pilote à courir sur Vivia dès que les premiers coupés sortirent de l’usine construite à Kervignac, près d’Hennebont dans le Morbihan.


    Les années ont passé. La gamme Vivia a beaucoup évolué depuis 30 ans. Nous vous le raconterons bientôt.

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    Vous aimeriez mieux connaître dès à présent l’histoire des Automobiles Vivia. ?

    C’est possible. Vous découvrirez des épisodes stupéfiants, terrifiants, car la vie de la firme automobile ne ressemble pas à « un long fleuve tranquille ». N’hésitez pas à lire au plus vite les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras qui mettent en scène l’avocat –pilote David Sarel :
    - des nouvelles (fictions courtes) sont en ligne dans les archives de ce blog ;
    - les romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh).

  • #ZIDANE ET LA #F1 : il témoigne son amitié à Jules Bianchi

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    « J’aime toutes les formes de sports mécaniques, mais je dois dire que c’est la F1 qui arrive en numéro 1 », confiait  Zinédine Zidane à Stéphane Samson du Parisien –Aujourd’hui en France au mois de mai 2007.

     

    Beaucoup de pilotes de F1 aiment le foot. Les footballeurs pour leur part apprécient aussi la discipline reine du sport automobile. Au moins notre Zizou national !

     

    « Les pilotes comme Schumacher sont des extraterrestres, poursuit l’ancien capitaine de l’équipe de France. A 300 km/heure, ils risquent leur vie à chaque seconde. »

     

    Un mois plus tard à Magny Cours, Zizou se voyait offrir quelques tours de piste comme passager deMichael Schumacher. Mais si le champion de foot venait au GP de France de Formule 1, ce n’était pas uniquement pour le plaisir d’assister à la course. Il apportait son soutien à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) dont l’ancien pilote de la Scuderia ainsi que Jean Tpdt et, entre autres, le professeur Gérard Saillant sont membres fondateurs.

     

    NOTE MODIFIÉE LE 7 OCTOBRE 2014

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    Aujourd’hui, Zinédine Zidane se dit très touché par ce qui est arrivé à Jules Bianchi lors du Grand-Prix du Japon.  « Je tiens à lui témoigner, ainsi qu’à sa famille, tout mon soutien et toute mon amitié », a déclaré le champion du monde 1998 au quotidien L’Équipe. L’ancien footballeur a souligné la gentillesse, l’exemplarité et la discrétion de Jules. Zinédine et Jules se connaissent. Le pilote de Formule 1 vient régulièrement jouer au foot à 5 dans le complexe que l’ancien footballeur exploite à Aix-en-Provence avec ses frères. Nous souhaitons tous que Jules y reprenne vite ses habitudes et que les matchs lui servent de préparation physique pour un retour au volant. Car même si son état est grave, le communiqué publié aujourd’hui mentionne qu’une récupération complète est possible. #ForzaJules ! #KeepFightingJules !

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    FORZA JULES : Jules Bianchi est très aimé et il le mérite. Quelques témoignages de sympathie notées sur les réseaux sociaux   http://bit.ly/1El8RAz

     

    Une  pétition pour améliorer la sécurité en F1  et éviter des accidents comme celui de Jules Bianchi se reproduisent. Je l’ai signée. J’espère que vous serez nombreux à faire de même http://chn.ge/1ree1Uw

     

    Le site de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM)

    http://icm-institute.org/menu/fondation/organisation

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    Le compte Twitter de Jules qui continue à être mis à jour

    https://twitter.com/Jules_Bianchi

     

    Des pages Facebook de soutien à Jules Bianchi

    https://www.facebook.com/pages/Soutien-%C3%A0-Jules-Bianchi/1482881511994097?fref=ts

    et

    https://www.facebook.com/pages/Soutien-%C3%A0-Jules-Bianchi/282248791973738

     

    Le site de Jules Bianchi  http://www.jules-bianchi.com/

     

    Le compte Twitter du Team Marussia qui informera de l’état de santé de Jules

    https://twitter.com/Marussia_F1Team

     

    Thierry Le Bras

  • FERRARI FETE SES 60 ANS !

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    ET VIVIA SES 30 ANS !




    Le 12 mars 1947, Enzo Ferrari a conduit la première voiture portant son nom. Il s’agissait d’une 125 S, un modèle déjà équipé d’un 12 cylindres qui participerait à sa première compétition deux mois plus tard aux mains de Cortese.

    Trente ans plus tard, en 1977, la société des Automobiles Vivia se constitue à Kervignac en Bretagne. Elle s’attaque aussi au créneau des voitures ultra-sportives.

    Quelles différences entre la firme de Modène et celle du Morbihan ?

    D’abord, la société française n’a jamais engagé de Formule 1. Ses modèles courent pourtant. Mais en endurance, en rallye, en courses de côtes et bientôt en rallye-raid.. Il s’agit de coupés très sportifs, de GT, de prototypes ou de 4x4, pas de monoplaces.

    D’autre part, les Vivia se positionnent sur des créneaux moins haut de gamme que les Ferrari. Si la Super GT qui sert de base aux machines engagées en LMGT1 au Mans ainsi que dans les épreuves du Championnat LMS ou du FIA GT se rapproche du coût des Maserati MC 12 issues des Ferrari Enzo, les autres modèles restent beaucoup plus accessibles. La plus petite voiture de la gamme, un coupé 2+2 2000 cm3, joue dans la cour des Honda Civic R. Jamais Ferrari ne s’est intéressé à de telles voitures.

    Ensuite, Vivia ne produit pas ses moteurs. Elle les achète à un constructeur japonais. Par contre, elle commercialise son savoir-faire auprès d’autres industriels sous diverses formes, notamment la concession de brevets et la fourniture de prestations diverses comme le design.

    Enfin, et ce n’est pas la moindre des différences, Vivia n’existe que dans l’univers de fiction créé par Thierry Le Bras dont les scénarii mettent en scène son héros récurrent, l’avocat-pilote David Sarel.

    Demain, vous en saurez plus sur la première Vivia et l'origine de la marque.

    Vous n’avez pas les moyens de vous offrir une Ferrari sortant des ateliers de Modène ? Mais vous aimez les émotions que procure la course automobile et vous aimeriez les retrouver dans des fictions.

    C’est possible. Découvrez les nouvelles et romans rédigés par Thierry Le Bras :
    - des nouvelles (fictions courtes) sont en ligne sur
    http://www.fanaticf1.com/formule1/mot282.html
    - d’autres figurent dans les archives de ce blog ;
    - trois romans, pour l’instant « Circuit mortel à Lohéac », « Faits d’enfer à Carnac » et « Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans » ont été édités par les Éditions Astoure (diffusées par Breizh). D’autres suivront !