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rallye de la baule

  • RALLYE DE LA BAULE : DES ÉMOIS INOUBLIABLES

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    FICTION VINTAGE POUR LES GOURMETS

     69, année érotique, chantent Serge Gainsbourg et Jane Birkin.

     

    69, âge d’or de l’automobile aussi. Nous sommes à la fin du tourbillon des sixties. Les radars n’existent pas. La vitesse est libre sur la plupart des routes. Cela m’a donné l’idée de créer des personnages de fiction qui évoluent à cette époque. Les souvenirs de Philippe Georjan, le principal héros de ce monde Vintage, se situent au cœur des sixties et s’inspirent de cette période pleine d’espoir et d’optimisme. Philippe était adolescent. Il croquait la vie à pleines dents. Ses histoires savoureuses enchanteront ceux qui se rappellent qu’avant de devenir des adultes responsables, ils furent des adolescents turbulents. Et, cerise sur le gâteau, lls les replongeront  dans leur propre adolescence, un moment unique dans la vie de chacun, des années qui font généralement naître la nostalgie lorsqu’elles sont évoquées plus tard dans l’existence.

     

    En 69 justement, Philippe se souvient d’une émotion particulière, d’un émoi inoubliable à La Baule les Pins, juste avant le rallye. Une histoire légère, avec un discret hommage à une belle époque révolue, à Gainsbourg et Birkin, à la gastronomie française, à la Porsche 911, joyau éternel de la performance automobile et à … Baudelaire.

     

    “ Nous vivions la dernière semaine de juin 1969, se souvient Philippe Georjan. Georges Pompidou venait d’être élu Président de la République. Son épouse Claude, grande amatrice d’art, roulait en Porsche et adorait la vitesse. Le sculpteur Aslan décidait d’immortaliser Brigitte Bardot comme symbole de Marianne, figure de la République. La belle chantait qu’elle n'avait besoin de personne en Harley Davidson. Elle ne reconnaissait plus personne en Harley Davidson. Elle allait à plus de cent et elle se sentait à feu et à sang. Que lui importait de mourir les cheveux dans le vent… Dieu avait créé la femme en utilisant comme outil la main de Vadim.

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     « Moi, j’allais sur mes 17 ans. Je venais de passer mon bac de français. J’avais une confiance totale en l’avenir. Je me sentais en osmose totale ave le tourbillon des sixties, la croyance que tout irait de mieux en mieux, que rien ne me résisterait, que dans quelques années je partagerais ma vie avec une créature de rêve encore plus ensorcelante que BB.

     « Je me sentais parfaitement heureux. Et pour cause, le week-end suivant, j’allais disputer le Rallye de La Baule comme navigateur de mon ami Xavier Ferrant, pilote automobile confirmé malgré son jeune âge, 24 ans. A cette époque, les pilotes couraient encore dans toutes les disciplines. Ainsi, Xavier pilotait-il à la fois en endurance, en F1, et parfois en rallye. Nous courions à La Baule pour une raison précise. Xavier pilotait pour le team UTP (Univers Travaux Publics) créé par Mathieu Daramon. UTP faisait partie des leaders européens sur le marché des TP et de la construction. Monsieur Daramon avait décroché des marchés importants à La Baule et il en visait d’autres. Aussi voulait-il mettre son entreprise en valeur en engageant une voiture qui se battrait pour la victoire. Nous nous sommes donc retrouvés au départ dans une Porsche 911. Notre mission, tout faire pour remporter la course. » 

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     Certains s’étonneront que Philippe ait pu courir avant l’âge du permis. Pourtant, cette possibilité existe en rallye pour le co-pilote. Celui-ci ne prend pas le volant. Durant la course, son rôle consiste à annoncer à son pilote les notes sur le tracé de l’épreuve spéciale. Exactement ce que fait encore aujourd’hui Daniel Elena aux côtés de Sébastien Loeb. Daniel quant à lui possède son permis depuis longtemps. Mais il suffisait à Philippe, encore mineur, d’obtenir une autorisation parentale pour demander sa licence de navigateur à la Fédération. Cela ne lui posa aucun problème particulier. D’habitude lorsqu’il courait en rallye, Xavier faisait appel à Alain, un copain habitué à ce rôle. Mais Alain, tout jeune marié, ne souhaitait pas courir à La Baule. Une défection bien compréhensible qui faisait le bonheur du jeune Philippe.

     «  Nous disposions d’une Porsche 911 orange aux ailes magnifiquement galbées, raconte Philippe. C’était une voiture envoûtante. Sanglé dans le siège baquet du co-pilote, je sentais la fièvre monter en moi quand Xavier faisait rugir les chevaux sauvages du Flat 6 Porsche. Les dérobades du train arrière me plongeaient dans une extase totale. Quelques années plus tard, Jacques Henry, un Champion de France des rallyes, déclara qu’il ne connaissait qu’une sensation aussi forte que celle que procure une voiture de course, l’orgasme. Sans le formuler, j’ai ressenti cette impression magique au Rallye de La Baule cette année-là. »

     

    Le rallye se disputait le samedi et le dimanche. Mais Xavier et Philippe arrivèrent à La Baule le dimanche précédent en fin d’après-midi. Ils auraient le temps de reconnaître les spéciales et de profiter de la vie bauloise. En outre, monsieur Daramon organisait plusieurs manifestations pour la promotion de son entreprise, notamment un cocktail avec présentation de la voiture dans un restaurant installé sur le Remblais le mercredi soir et un dîner à l’attention de ses partenaires le jeudi. Naturellement, Xavier et Philippe assistaient à ces mondanités. Leur présence faisait partie de leurs obligations vis à vis du Team UTP. Ils y satisfaisaient bien volontiers tant  le couple Daramon se montrait charmant à leur égard.

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     Mathieu Daramon veillait d’ailleurs tout particulièrement au bien être de son équipage. Au même titre que le couple Daramon, le pilote et son navigateur bénéficiaient d’un hébergement avec vue sur l’océan à l’hôtel L’Hermitage. C’était une grande bâtisse blanche d’architecture anglo-normande, édifiée face à la mer. Xavier et Philippe dînaient chaque soir au restaurant avec leurs hôtes et se faisaient inviter à choisir les meilleurs mets, A la fin des sixties, la préparation physique des pilotes comportait moins de contraintes qu’aujourd’hui.

     « Le midi, nous nous contentions de sandwichs entre deux passages dans les spéciales à reconnaître, précise Philippe. Le soir, nous ne pensions pas à la diététique. Nous nous contentions d’éviter des plats qui nous seraient restés sur l’estomac le lendemain. A nos yeux, La Baule symbolisait la douceur de vivre. Alors, comment résister à la fraicheur d’huitres plates qui nous plongeaient dans la subtilité des saveurs océanes, à un homard dont la chair ferme se mariait avec volupté à une sauce armoricaine aux parfums emprunts de perfection, à un filet de bœuf si tendre qu’il fondait sur langue, à un soufflé au Grand Marnier dont la simple présence sur la carte des desserts attisait toutes les convoitises ?.La cuisine de qualité et la course automobile possèdent en commun la faculté d’exciter les sens. Pendant le rallye, nous dévorerions sauvagement tous nos adversaires grâce à notre recette mijotée avec des ingrédients de premier choix, le talent de pilote de Xavier et notre préparation minutieuse. Avant le goût de la victoire, nous dégustions en fins gourmets les performances du chef de L’Hermitage dans la convivialité qu’inspire traditionnellement la gastronomie.

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      « J’avais l’impression de flotter en plein rêve, poursuit Philippe. Mon seul regret était que mon cousin Laurent, parti quelques jours en croisière avec son père, ne puisse pas voir ça. Laurent  avait mon âge et nous étions comme des frères jumeaux. Je ne manquerais pas de lui raconter ma semaine de préparation du rallye dans les moindres détails ! »

     Philippe marque une pause. Ses yeux marron semblent se perdre dans la contemplation d’un horizon lointain. Puis il reprend la parole. « Le mardi en soirée, l’apparition d’un soleil confirma l’influence paradisiaque qui régnait sur ces jours magiques. Attablés à la terrasse d’un café de l’avenue du Général de Gaulle, Xavier et moi dégustions des oranges pressées agrémentées par un nuage de sucre et une glace pilée rafraichissante avant de rejoindre les Daramon pour le dîner. Soudain, la femme apparut dans mon champ de vision. Blonde à la peau bronzée et satinée, le regard mystérieux masqué par des lunettes noires, des jambes découvertes par une jupe blanche très courte, un chemisier assorti dont le décolleté découvrait juste les formes nécessaires à l’excitation de l’imagination, la perfection absolue de la création. Son sourire mutin accéléra encore mon rythme cardiaque. Une seconde plus tard, elle s’était évanouie, comme un mirage. »

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     Un poème de Baudelaire me revint en mémoire. A une passante, extrait des Fleurs du mal…

    La rue assourdissante autour de moi hurlait.

    Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

    Une femme passa, d'une main fastueuse

    Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

     

    Agile et noble, avec sa jambe de statue.

    Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

    Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,

    La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

     

    Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté

    Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

    Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

     

    Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !

    Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,

    Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais

     

    « Ce poème, je l’avais commenté en cours de français au mois d’avril précédent, se souvient Philippe. J’avais reçu une excellente note, 17. Mais si j’avais  recommencé mon commentaire à cet instant précis, j’aurais décroché un 20/20 tant mon émoi rejoignait celui du poète. Une anecdote me revint. Karine, une copine de classe, m’avait demandé si Baudelaire se trouvait bien à la terrasse d’un café au moment de la scène. Je lui avais répondu par une boutade. Oui, bien sûr, il te dit qu’il buvait. Donc il était dans un café. C’était une blague. Ce que buvait Baudelaire, c’était la douceur qui fascine et le plaisir qui tue. A ce moment-là, j’imaginais plutôt Charles Baudelaire déambulant sur un trottoir, pris dans un flot de marcheurs parisiens stressés qui l’emportaient loin de la beauté fatale. J’avais tort. Karine voyait juste. Charles Baudelaire se trouvait forcément à la terrasse d’un café, comme moi, lorsqu’il vit cette femme sublime. Ma passante était différente de la sienne. Elle reflétait le bonheur, la plénitude, pas la douleur du deuil. Je ne l’oublierai jamais. Je sais que rien n’était possible entre nous. Je n’avais pas encore 17 ans. Elle avait au moins deux fois 17 ans. Mais qu’importe… »

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    Cinq minutes plus tard, nous remontâmes dans la Porsche 911 de série que nous utilisions pour les reconnaissances du rallye afin de regagner l’hôtel. A la radio, Serge Gainsbourg et Jane Birkin chantaient :

     

    Gainsbourg et son Gainsborough

    Ont pris le ferry-boat

     

    De leur lit par le hublot

    Ils regardent la côte

     

    Ils s'aiment et la traversée

    Durera toute une année

     

    Ils vaincront les maléfices

    Jusqu'en soixante-dix

     

    Soixant'neuf année érotique

     

    Soixant'neuf année érotique…

     

    « Ma femme va me manquer tout à l’heure », plaisanta Xavier. 

     

    « Mon copain pilote  partageait la vie d’une speakerine de l’ORTF, se rappelle Philippe. Cette soirée était décidément celle des émois… »

     

    NOTE MODIFIÉE LE 22 SEPTEMBRE 2014

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    Philippe et Xavier sont désormais deux des personnages principaux de   VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES, LE polar vintage, gourmand automobile et humoristique. Plus de précisions et possibilité de lire gratuitement les premières pages en cliquant ICI  http://bit.ly/1zmPqE6

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Une autre présentation de VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES  http://0z.fr/u88wT

     

    PREMIÈRE FAN, ou la face cachée de la célébrité. Confidences d’une star du sport qui a brisé le cœur de sa plus grande supportrice. L’amour, l’amour, l’amour… http://bit.ly/1rIFFzY

     

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    Thierry Le Bras

  • 3 décennies plus tôt : une #BMW #M1 contre une #Lancia 037

    Même la nostalgie n’est plus ce qu’elle était, nous assure une célèbre comédienne au … « casque d’or ».

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    Loin de nous l’idée de nous complaire dans un passéisme empreint de neurasthénie au point de refuser les joies que nous offrira peut-être le XXIème siècle au prétexte que « c’était mieux avant ».
     
    Si nous évoquons volontiers le passé, c’est tout simplement parce qu’il fait partie de nos racines. Et l’histoire du sport automobile, celle d’une passion formidable qui anime encore quantité d’hommes et de femmes dans notre pays, ne sera jamais dépassée – contrairement à la vitesse sur route ouverte, radars obligent - quoique inventent les autophobes grincheux toujours prêts à mettre des bâtons dans les roues de nos chères automobiles sportives.
     
    Dans les années 80, le sport automobile se débattait déjà dans un contexte difficile. L’équipe organisatrice du Rallye de la Baule s’efforçait alors de maintenir une épreuve de première division sur les routes de Loire Atlantique et du Morbihan.

    Un plateau royal

    Les organisateurs s’étaient montrés convaincants avec les pilotes. Cent soixante équipages répondaient présents à leur appel. Parmi eux figuraient les principaux animateurs du Championnat de France, dont Bernard Béguin sur BMW M 1, Jean-Claude Andruet sur Lancia 037, Jacques Pantiaticci (Alfa GTV 6), Alain Serpaggi (R 5 Turbo), sans oublier Christian Rio, Jean-Louis Ravenel, Segolen et Patricia Bertapelle(tous sur Visa), ni Marcel Grué (R 5 Turbo). Un jeune débutant se faisait remarquer par son sens de l’attaque au volant d’une 205 GTI. Personne ne le connaissait encore. Il s’appelait François Delecour.

    Monstrueuse avec son moteur 6 cylindres 24 soupapes, la BMW M 1 de Bernard Béguin se montrerait-elle à son aise sur les routes de campagne ? Les M 1 s’étaient bien sûr illustrées en circuit et en course de côte. Certains pilotes de haut niveau n’avaient pas hésité à s’engager à leur volant, Didier Pironi, Hans Stuck, Dieter Quester et Philippe Alliot en tête. Mais aucune équipe avec n’avait osé le pari de faire rouler une telle voiture en rallye avant qu’Hugues de Chaunac (patron d’Oreca) et Bernard Béguin ne tentent l’aventure.

    Une crainte s’empara de Bruno Le Bedel, membre du comité d’organisation, quelques jours avant le départ. La spéciale de Saint-Jacut comprenait un passage très étroit entre des murs de ferme. La M 1, plus large que les autres voitures, passerait-elle sans dommages ?

    « J’ai téléphoné chez Oreca pour m’en assurer, se souvient Bruno. Ça ne passait pas. Il manquait deux centimètres. On a modifié le parcours de la spéciale en évitant ce passage. »

    Engagé sur une Porsche 911 avec son ami Thierry Grimaud comme navigateur, le Rennais Didier Caradec inaugurait un nouveau système de reconnaissances. « J’avais enregistré les spéciales sur une cassette vidéo, raconte-t-il. Après, je n’avais plus qu’à les apprendre en les visionnant dans mon canapé ! » L’histoire n’apporte pas de réponse quant à l’efficacité de cette technique car la Porsche fut éliminée d’entrée par un problème électrique.

    Duel sur les routes de l’Ouest

    La 037, belle italienne conçue pour le rallye allait-elle dominer la M 1, magistrale Allemande échappée des circuits ?

    Une météo menaçante se réservait un rôle d’arbitre dans ce match où la Lancia recueillait la faveur de nombreux pronostiqueurs.

    Pourtant, ce fut l’Allemande qui prit l’avantage dès les premiers kilomètres. « J’ai des problèmes au niveau de la suspension, soupirait Andruet. C’est celle que nous avions en Corse. Elle est bien trop souple pour ici. J’étais en sous-virage sans arrêt. Des problèmes aussi du côté des compresseurs. Et pour tout arranger, la boite de vitesses s’est bloquée à un moment. »

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    Le dimanche matin, des averses soudaines rendirent la route très glissante. Andruet retrouva une voiture adaptée au terrain et reprend 25 secondes à son rival. Le rallye allait-il basculer ? La réponse tomba dès le chrono suivant. Le moteur de la grosse BM rugissait. La voiture sortait des virages serrés en dérive des quatre roues et repart comme une fusée dès qu’elle retrouvait un peu d’adhérence. Béguin ne concéda plus rien à Andruet. Il termina la course avec une minute sept secondes d’avance sur son dauphin.

    « Je me suis juste un peu endormi au milieu du rallye, commente le vainqueur. Quand j’ai senti le danger, je suis reparti. »

    Malgré leurs efforts, les organisateurs du Rallye de la Baule n’ont pas réussi à obtenir l’inscription de leur épreuve au Championnat de France 1ère division. Aujourd’hui, ce championnat a oublié la région Ouest. Dommage. Heureusement qu’il nous reste quelques rallyes régionaux et nationaux comme celui de Lohéac.

    Vous pouvez également me retrouver sur http://circuitmortel.com , https://gotmdm.com/driver/ et http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/

    QUELQUES LIENS A SUIVRE (note modifiée le 26/01/2013) :

     

    Rallye de la Baule toujours, une fiction vintage, gourmande et sensuelle

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2009/08/25/rallye-de-la-baule-des-emois-inoubliables.html

     

    Bientôt un polar jeunesse teinté de fantastique dans le monde du rallye ; l’action se déroule en Auvergne. Le projet, initialement prévu en 2012, a pris un peu de retard. Mais il sera disponible au plus tard au tout début de l’été 2013

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2011/12/15/mont-dore-1977-des-souvenirs-au-projet.html

     

    D’autres BMW M1 en course, au Mans cette fois

    http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2011/06/22/des-pilotes-de-l-ouest-au-volant-de-bmw-m1-au-mans.html

     

    Des nouvelles, des romans, des récits dans le monde du sport automobile et de la course au large

    http://polarssportsetlegendes.over-blog.com/

     

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