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CIRCUITMORTEL - Page 213

  • J - 4

    LES VÉHICULES D’ÉPOQUE COURENT ENCORE

                Si les 24 Heures constituent naturellement l’essentiel du menu de la vingt-quatrième semaine de l’année dans la Sarthe, d’autres épreuves complètent le programme. Notamment la Course du Centenaire de l’ACO. Il s’agit d’une course de VHC construits au plus tard en 1955 qui se déroulera le samedi 17 juin dans la matinée.

                Le Team Vivia s’est intéressé à cette épreuve qui honore l’histoire des 24 Heures du Mans. Ne disposant pas de modèles assez anciens pour y participer (la première Vivia date de 1978), l’écurie engage une MG TF Course 1954.

                Comme dans les autres fictions rapportant des courses du Team Vivia, pilotes réels et personnages de fiction se côtoient dans le roman qu’écrit actuellement Thierry Le Bras, l’auteur des aventures de David Sarel et du Clan Vivia. Dans ce roman, la MG est confiée à un équipage de jeunes pilotes, Julien Mouthon et Fabien Trélor.

                Julien Mouthon est un pilote réel et un authentique espoir du Rallycross. Ses exploits en karting lui ont permis d’obtenir une licence de sport automobile dès ses 16 ans. Il devint alors le plus jeune pilote du plateau de Rallycross. Combatif et adroit, très mûr pour son âge, Juline ne tarda pas à se faire remarquer au volant de sa Citroën Saxo engagée en D 4. Il ne lui manque qu’un complément de budget pour s’affirmer au tout premier plan. Si vous pouvez l’aider (son budget est très raisonnable), écrivez nous sur ce blog, nous lui transmettrons votre message.

                A la Course du Centenaire, Julien partagera le volant de la MG avec Fabien Trélor, (personnage de fiction). C’est le fils d’Éric Trélor et le cousin de David Sarel, héros récurrents des romans auxquels ce blog est consacré. A 20 ans (bientôt 21), Fabien a fait ses preuves en Course de côte et en rallye sur une Vivia 2000 groupe N. Il est lui aussi un pilote très rapide. En attendant de participer un jour aux 24 Heures du Mans, il se fait une fête de participer à la course de VHC qui précède le plat de résistance de la semaine.

                Lors de la Course du Centenaire, la MG de Julien Mouthon et Fabien Trélor partira au milieu d’un plateau de choix. Elle se battra en effet contre une Porsche 356 (ex James Dean), une Cooper-Jaguar UBH 2S2, une Aston Martin DB 2 s, des Triumph TR 2, une Ferrari 375 MM, des BMW 328…

                Retrouverons-nous dans quelques années Julien Mouthon et Fabien Trélor dans un nouveau roman qui aura pour cadre les 24 Heures du Mans ? Pourquoi pas au volant d’une Vivia LM GT2 ? C’est tout à fait vraisemblable.

    Nous ne vous en dirons pas beaucoup plus sur la prochaine Aventure de David Sarel qui se termine aux 24 Heures du Mans 2006. Pour tromper votre impatience en attendant sa sortie prévue en octobre prochain, nous vous invitons à lire ou à relire les premières aventures de David Sarel, le héros de fiction particulièrement attachant dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac ».

  • J - 5

    J – 5

    LE MENTAL D’UN PILOTE

             Le Team Vivia va vivre dans les prochains jours un épisode capital de son histoire. Outre le défi sportif qui fait partie du jeu normal de la compétition, le Clan Vivia doit gérer sa sécurité face aux menaces incessantes adressées à ses membres depuis six mois.

             Le journaliste Sébastien Ménier vivra la semaine du Mans à l’intérieur du Clan Vivia. David Sarel accepté de répondre à ses questions.

    SM : Avant de parler plus précisément des 24 Heures, quelques questions sur ce que ressent un pilote. D’abord, qu’est-ce qui fait qu’un pilote va vite, qu’il est devant les autres ?

    DS : Pour être devant, il faut d’abord avoir très envie de gagner, le vouloir plus que les autres. C’est largement une question de volonté.

    SM : Mais tous les pilotes ont envie de gagner.

    DS : Certains plus encore que d’autres. Il ne faut jamais se relâcher, se concentrer à fond, ne penser qu’à ça à partir du moment où tu arrives sur le circuit, te dire qu’il n’y a aucune raison pour que quelqu’un reste devant toi. Un pilote, c’est ¨par définition un égoïste. Dès qu’il arrive sur le circuit, il doit fédérer l’énergie de l’équipe autour de lui et donner le maximum.

    SM : Qu’est-ce qui fera la différence entre plusieurs compétiteurs acharnés disposant du même matériel ?

    DS : Cette volonté de gagner justement, comme dans tous les sports. Pourquoi un garçon comme Rafaël Nadal gagne-t-il autant de matchs ? Parce qu’il le veut plus que n’importe qui. Parce qu’il sait se faire mal pour aller gagner des points. Parce qu’il analyse le match et son adversaire. Parce qu’il montre à l’autre qu’il en veut et qu’il va le bouffer. C’est pareil en course auto. Tu dois montrer aux autres que tu es là pour gagner. La victoire, c’est d’abord une question de mental.

    SM : Et les aléas ?

    DS : Ils sont toujours possibles en sport mécanique. Tu n’es jamais à l’abri d’un incident technique. Ni d’une évolution d’une voiture qui offre à ton concurrent un matériel supérieur au tien. Mais même quand tu es dominé, il faut t’accrocher et te battre. Ton concurrent peut sortir de la piste, casser son moteur… Plus tu le pousses, plus tu vas l’amener à tirer sur la mécanique et à prendre des risques. Et dans une course d’endurance, si tu as pépin, tu peux toujours te dire que tant que la voiture roule, tu conserves des chances. Le sort frappera peut-être tes adversaires avant l’arrivée.

    SM : La chance joue-t-elle un rôle ?

    DS : Il faut bien reconnaître que oui. Elle intervient principalement avant la course, au moment du jeu des chaises musicales pour les baquets. La course aux sponsors conditionne le déroulement d’une saison. Et là, certains facteurs incontrôlables troublent le jeu. Si un pilote a rendez-vous avec un sponsor à 10 heures et qu’à 9 heures 30, le chef d’entreprise qui le reçoit s’est engueulé avec sa femme, s’est fait larguer par sa maîtresse, a perdu un gros marché ou vient d’apprendre par le représentant syndical qu’une grève s’annonce dans son usine, l’entretien sera difficile quelle que soit la volonté du pilote de convaincre son interlocuteur. Si au contraire, celui qui le reçoit vient d’apprendre que son fils sort major de sa promo, ça se passera beaucoup mieux. Mais de toute façon, celui qui décroche des contrats, c’est quelqu’un qui sait se battre pour convaincre. Il repart à la conquête de nouveaux partenaires quand il reste sur la touche. S’il garde la rage de vaincre et de convaincre, il aura cent fois plus de chances d’y arriver que celui qui se laisse vivre.

    SM : Considères-tu que tu as eu ta part de chance dans le milieu du sport auto ?

    DS : A l’évidence oui. Le Clan Vivia m’a donné ma chance de faire mes preuves en compétition quand j’étais encore étudiant. Maintenant, je cours régulièrement en GT au plus haut niveau. Mais dès que je monte dans la voiture, je fais tout pour gagner. Même quand je me bats contre la Corvette de Jan Magnussen ou l’Aston Martin de Stéphane Ortelli, je ne fais aucun complexe.

    SM : La Vivia LM GT1 te semble-t-elle à la hauteur de tes ambitions ?

    DS : C’est une excellente voiture. Je pense que nous pourrons tenir le rythme des Aston et des Corvette. Le Mans a changé. Il n’est plus question de faire une course d’attente en attendant que les autres cassent. Il faut rester au contact, accepter l’épreuve de force dès les premiers tours de roues. Je prévois une lutte de Titans en LM GT1. Tant mieux. On va se faire plaisir derrière le volant.

    Nous ne vous en dirons pas beaucoup plus sur la prochaine aventure de David Sarel qui se termine aux 24 Heures du Mans 2006. Pour tromper votre impatience, nous vous invitons à lire ou à relire les premières aventures de David Sarel, le héros de fiction particulièrement attachant dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac ».

  • J - 7

    VEILLÉE D’ARMES

    Chaque vingt-quatrième semaine de l’année, de sympathiques fous roulant dans leurs drôles de machines se retrouvent au Mans pour disputer la course automobile la plus médiatisée du monde. Cette année, la semaine mancelle commencera le lundi 12 juin. Le Mans 2006 représente un événement particulier pour le Clan Vivia. Le team a mis toute son énergie en œuvre pour réaliser de grandes performances.

    Vivia engage trois voitures officielles aux 24 Heures :

    - un  proto LMP 2 qui vise un podium, voire la victoire au scratch. Nous publierons l’identité de ses pilotes sur ce blog après le pesage ; signalons dès aujourd’hui qu’un jeune pilote manceau très performant fait partie de l’équipage ;

    - une Grand Tourisme LM GT1 confiée à l’équipage David Sarel – Denis Grenier – Yvonnick Le Squernach ;

    - une Grand Tourisme LM GT2 qui sera pilotée par Freddy Vivien – Éric Trélor – Arnaud Trélor ;

    Vivia soutient aussi trois équipages privés de premier plan :

    - la LM GT1 engagée par l’Italien Felipe Mosso ;

    - la LM GT2 du Team Hervieux, pilotée par Didier Caradec – Stéphane Dréan – Aurélien Vivien ;

    - une LM GT2 dont l’équipage est entièrement féminin ; qu’on ne s’y trompe pas, les filles inscrites sur cette voiture sont des pilotes très rapides et visent la victoire dans leur catégorie au même titre que leurs collègues masculins.

    Bien sûr, nous ne vous disons par tout. Pour connaître les détails de cette nouvelle aventure de David Sarel, il va falloir être patient et attendre jusqu’au mois d’octobre 2006. Bon, puisque vous insistez, nous fournirons quelques détails la semaine prochaine, mais jusque quelques petites infos… De toute façon, comme affirme une pub télévisée contemporaine, c’est meilleur quand on attend.

    Et pour tromper vote impatience, nous vous invitons à lire ou à relire les premières aventures de David Sarel, le héros de fiction particulièrement attachant dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac ».