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CIRCUITMORTEL - Page 205

  • LES REMPARTS DU CRIME

    LE FESTIVAL DU ROMAN POLICIER FRANCO - BRITANNIQUE

    C’est une manifestation organisée à Saint-Malo le samedi 23 et le dimanche 24 septembre prochains par l’Association France – Grande Bretagne.

    L’accent britannique de la manifestation n’étonnera personne. Les écrivains d’Outre Manche ne firent-ils pas partie des précurseurs en matière de littérature policière, de Conan Doyle à Agatha Christie, sans oublier Enid Blyton et son fameux Club des cinq dont l’atmosphère a enchanté l’enfance de la majorité des lecteurs restés fidèles aux romans policiers une fois devenus adultes ?

    Rendez-vous au Théâtre de Saint-Servan, place Bouvet, salles Bouvet et Charcot :

    - samedi 23 septembre de 9 heures 45 à 12 heures 30 et de 14 heures 45 à 19 heures ;

    - dimanche 24 septembre de 9 heures 45 à 13 heures.

    Au programme des conférences (animées par des représentants de Scotland Yard, de la police scientifique française et de l’École de police de Saint-Malo interviendront), des stands de libraires et d’éditeurs (dont les Éditions Astoure , à découvrir sur le site http://astoure.site.voilà.fr ), des dédicaces des auteurs de romans policiers présents, dont l’écrivain journaliste malouin Thierry Le Bras, qui écrit les Aventures de David Sarel.

    David Sarel est un héros particulièrement attachant que ses aventures mettent en grand danger. Cette série comprend pour l’instant deux livres : Circuit mortel à Lohéac (1) et Faits d’enfer à Carnac. Le prochain roman le mettant en scène sera présenté mi - octobre 2006 aux 24 Heures du livre du Mans et disponible en librairie au cours de la seconde quinzaine de novembre.

    (1) plusieurs scènes de Circuit mortel à Lohéac se déroulent sur la Côte d’Émeraude, entre Dinard et la Pointe du Grouin.

  • CHICANES ET DERAPAGES

    Comme le savent déjà ses visiteurs habituels, ce blog est dédié à David Sarel, le héros de fiction des romans policiers écrits par Thierry Le Bras et publiés aux Éditions Astoure ((cf : http://astoure.site.voila.fr ). Cette série qui comprend pour l’instant deux histoires, Circuit mortel à Lohéac et Faits d’enfer à Carnac, va très bientôt s’enrichir d’un troisième livre. Le prochain roman de la série sortira en effet mi octobre 2006 aux 24 Heures du Livre du Mans. Un choix logique dans la mesure où la course automobile mancelle joue un rôle important dans le scénario !

    Cette année, le Team Vivia, basé à Kervignac, annonce un programme ambitieux pour les 24 Heures du Mans.

    Immédiatement, ses membres reçoivent des lettres de menaces s’ils ne renoncent pas à leur projet. Puis quelques jours plus tard, le corps de Simon Granval, ami d’enfance de David Sarel, est découvert sur le site des Automobiles Vivia. Menaces, attentats, actes de malveillance se multiplient autour de David.

    Qui veut encore la peau du Clan Vivia ? Sont-ce des adversaires acharnés du Cabinet d’avocats Trélor – Sarel et Larivière, la monstrueuse marâtre de David qui entend capter l’intégralité de l’héritage de son défunt père et vit désormais avec un gangster prétendument repenti, un autre ennemi ? Qui est le mystérieux sorcier chinois qui rôde à Ploemeur ?

    L’avocat lorientais David Sarel et le journaliste Sébastien Ménier mènent une nouvelle enquête pleine de pièges. Leurs vies sont en grand danger, tout comme celles de leurs proches. Mais l’assassinat de Simon rend David revanchard.

    Comme les premiers habitants de Lorient du temps de la Compagnie des Indes au XVIIème siècle, le Clan Vivia s’ouvre sur le monde. Ses aventures le conduiront d’ailleurs jusqu’en Inde le temps d’un court séjour.

    Les membres du Clan Vivia Parviendront-ils à vaincre dans la Sarthe comme ils l’espèrent ? Quelles surprises la course leur réserve-t-elle au-delà de ses péripéties sportives ?

    Comme dans Circuit Mortel à Lohéac, des pilotes et acteurs bien réels du monde de la course auto apparaîtront dans l’histoire aux côtés des membres du Team Vivia. ¨Parmi eux, Bastien Brière, Caty Caly, Denis Vaillant, Stéphane Dréan, Didier Caradec, Julien Mouthon…

    Pour un avant-goût de l’ambiance de cette histoire mancelle, n’hésitez pas à consulter les archives du mois de juin sur ce blog !

  • ODYSSEE HUMORISTIQUE DE LA F1 2001

             La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ), notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac ».

             Vous l’avez lu dans HUMOUR EN F1 , la note parue le 6 mars sur ce blog, David a souvent plaisanté avec Edmond au sujet de Jean Alesi. En 2001, David et Edmond prirent l’habitude d’échanger des mails de pronostics des résultats des Grands Prix. Des messages que David, avec sa verve d’avocat, agrémenta de quelques traits d’humour que n’auraient pas reniés les Guignols de l’Info. Quelques extraits qui sortiront agréablement les lecteurs de l’ambiance foot qui va s’instaurer pour un mois.

    GRAND PRIX D’Allemagne (2001)

    * Jean Alesi (abandon, comme d’habitude sur … sortie de piste, dans laquelle il a entraîné Michael) : « Ze sais pas c’qui m’arrive. Logiquement, ça devait passer de front avec Michael. Ze m’demande si ceux qui disent que z’suis nul, y z’ont pas raison finalement. Ou alors mon subconscient a agi et z’ai voulu empêcher Michael de rejoindre Alain avec 51 victoires. Mais y paraît que z’peux pas avoir de subconscient avec un Q.I. de 27. Quoique, on m’a dit ça, mais moi, z’sais pas c’que c’est qu’un Q.I. Zean juste savoir, à fond, à fond, à fond et bac à graviers, qu’y disait Briatore quand z’bossais pour lui avant qu’y m’vire à coups de pied dans le cul en me traitant de Cretino. »

    * Michael Schumacher (abandon sur sortie de piste en prenant un deuxième tour à Alesi, après seulement 20 minutes de course) : « Jean est brave, j’aime bien faire la fête sur son bateau à Saint-Trop, mais il n’est vraiment pas au niveau », soupire le pilote Ferrari. « Je traverse une mauvaise passe en ce moment, reconnaît-il. J’essaierai de faire quelque chose à Monza, mais je ne promets rien. Mika est vraiment trop fort, et lorsqu’aucune intervention extérieure (comme les hackkers) ne vient perturber sa progression, c’est bien lui le meilleur. »

    * Alain Prost (embrassant Alesi à son retour au stand) : « Merci, Jean ! Pour une fois, tu as fait ce que j’attendais de toi. Si tu continues comme ça, je renouvelle ton contrat et je t’augmente… Pas 51, pas 51, pas 51, hurle-t-il en sautant de joie et en débouchant un magnum de Mumm ». Et le très futur ex-président de Prost Grand Prix ne se réfère toujours pas au pastis.

    GRAND PRIX DE HONGRIE (2001)

    * Jean Alesi (qui espère pouvoir abandonner à nouveau sur … sortie de piste) : «. Z’ai douze ans d’expérience en F 1 ; z’suis pas l’crétin pour lequel certains, y voudraient me faire passer, déclare l’Avignonnais devant une assemblée de journalistes hilares. Z’suis très fâché après Alain. Y dit à tout l’monde qu’il aurait pu faire quequ’chose si qu’’il avait gardé Olivier (Panis) ou Nick (Heidfeld), et qu’z’suis un abruti bon à rien. Z’vais montrer que les voitures zaunes, elles marchent aussi bien que les bleues en tout-terrain dans les bacs à graviers. Z’ai quand même ma dignité, et une réputation à tenir.»

    * un journaliste à la fois génial et objectif : « pour une fois, Prost a eu une lueur de lucidité ».

    * Alain Prost (l’air hypocrite et sournois, attitude somme toute naturelle chez lui) : « C’est fini, je rends les clés dans quelques jours. Non, je ne pouvais pas garder Jean. C’est plus mon copain. Me faire ça, après tout ce que j’ai fait pour lui depuis onze ans ! C’est une escroquerie à l’amitié, mais je m’en remettrai. Si je l’avais gardé, Pedro (Diniz) et ses partenaires me demandaient de l’argent en plus de l’écurie. Je vais faire de la politique, comme ça je pourrai continuer à foutre impunément le bordel partout où je passe. »

    GRAND PRIX DE Belgique (2001)

    * Jean Alesi (abandon, comme d’habitude sur … sortie de piste) : « Certains me demandent pourquoi ze soigne encore ma condition physique alors que ça sert à rien, vu qu’ze fais zamais rien en course. C’est pour ne pas trop souffler en revenant à pied aux stands. C’est que mine de rien, ze sors une fois par séance d’essais, et une fois en course. Ça en fait des bornes à pied pour revenir aux paddocks.  A part ça, pour le moral, ça va plutôt bien. Pour moi, faut voir comment qu’ça va s’passer chez Jordan. . Prost, c’était mieux que Benetton et Ferrari. Alain, y criait même plus quand z’cassais la voiture. Parce que Flavio (Briatore) et Todt, qu’est-ce qu’y z’hurlaient sur moi ! Et Eddie (Jordan), on va voir avec l’expérience comment qu’y réazit. »

    * Alain Prost (la tête entre les mains, le regard presqu’aussi vide que celui d’Alesi, l’air absent) :  . . .  Nous sommes désolés de ne pouvoir le citer ; il n’a rien dit du week-end, ne laissant échapper que de longs soupirs et quelques grognements incompréhensibles. Et cette attitude ne serait pas due à l’abus de Pastis … 51. Lorsqu’il boit de l’alcool, il se limite au Champagne, et compte tenu des résultats de son écurie, il n’a plus goûté à ce délicieux breuvage depuis les départs