JAMES DEAN, NÉ UN 8 FÉVRIER

James Dean entretint une passion dévorante pour la course automobile


James Dean est né le 8 février 1931. Il aurait eu 77ans aujourd’hui, l’âge limite pour lire Tintin selon le slogan de l’hebdomadaire pour la jeunesse qui révéla un autre champion automobile, fût-il de fiction, Michel Vaillant. Les destins des deux pilotes se croisent dans les impénétrables voies du livre. les Éditions Graton ont en effet consacré un album à l’acteur principal de La fureur de vivre. Un livre passionnant que nous vous recommandons.

James Dean et sa Porsche furent-ils victimes d’une malédiction ? On pourrait le croire en suivant les péripéties dramatiques auxquelles participa l’épave du bolide dans lequel l’idole de toute une génération trouva la mort. QUAND HALLOWEEN RATTRAPE HOLLYWOOD, MALÉDICTION MÉCANIQUE GARANTIE, c’est sur :
http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2007/10/31/quand-halloween-rattrape-hollywood.html

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SÉBASTIEN LOEB : LA PREUVE PAR CENT

Le Rallye de Suède est la centième épreuve du Championnat du monde à laquelle participent Sébastien Loeb et Daniel Elena

Le compteur tourne. Sébastien Loeb et Daniel Elena participent ce week-end à leur centième rallye au plus haut niveau.

Ce n’est certes pas un record. Carlos Sainz a participé à 196 manches. Mais Seb et Daniel sont encore jeunes. De toute manière, les records qui les intéressent sont ceux du nombre de victoires et du nombre de titres. Et à ce niveau, Seb et Daniel sont déjà en tête : 37 victoires, 4 titres, et ce n’est pas fini.

Leur pourcentage de départs gagnants est facile à calculer : 37%. Et encore conviendrait-il pour mesurer les exploits de Seb au volant d’une WRC de corriger la statistique en retranchant du nombre total des manches disputées celles auxquelles notre vaillant équipage s’aligna avec une Saxo Super 1600. C’est ce qu’a fait ce matin Jérôme Bourret du quotidien L’Équipe. Selon ses calculs, les deux hommes ont remporté 42,5% des manches disputées en mondial. De quoi donner à un dessinateur humoristique l’idée de les représenter en épouvantails à l’intérieur de leur Citroën C4 !

Des épouvantails sympathiques bien sûr, des hommes qui ont su rester authentiques malgré leur réussite, des champions exceptionnels dont la renommée dépasse depuis longtemps les frontières de l’Hexagone.

« L’idéal serait de célébrer cette centième par une victoire en Suède », annonce tranquillement Sébastien Loeb. Une victoire qui porterait le score de victoires en Mondial de l’équipage à 38 et ferait bien plaisir à tout le Team Citroën, au jeune retraité Guy Fréquelin et à tous les supporters de l’Alsacien et du Monégasque.
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LOÏC DUVAL HISSE LA FRANCE EN TÊTE DE L’A1 GP

Champion de France de Formule Campus et de Formule Renault, Loïc Duval prouve qu’il n’a rien perdu de ses qualités au niveau supérieur !

La première fois que j’ai vu Loïc en piste, c’était en décembre 2000, au Masters de karting de Paris – Bercy. Ce jeune homme pressé, heureux de vivre et de piloter, faisait déjà partie des espoirs des sports mécaniques. Il sortait d’une magnifique saison de kart au terme de laquelle il venait d’accrocher à son palmarès une troisième place au Championnat du monde et une cinquième position à la coupe du monde.

A cette époque pas si lointaine, Loïc avait à peine plus de 18 ans. Le pilote français est né le 12 juin 1982, quelques jours seulement avant le prince William. Les deux garçons connaîtront des destins certes différents mais exceptionnels. Loïc ne règnera jamais sur l’Angleterre. Il préfère dicter sa loi sur les pistes. Si Loïc et William se croisent un jour, ce sera sans doute à Silverstone ou à Goodwood. Peut-être le plus jeune, William, remettra-t-il une coupe à son aîné de 9 jours, Loïc.

Car Loïc a déjà prouvé qu’il fait partie des meilleurs en sport automobile. Deux titres de champion de France témoignent de son talent, un en formule Campus, un en Formule Renault. Sans oublier 8 podiums en F3 Euroseries ni ses exploits en Formule Nippon et en GT que nous évoquerons prochainement.

Le week-end dernier, c'est en A1 GP que Loïc Duval s’est distingué. Il a brillamment remporté la « Sprint Race » sur le circuit d’Eastern Creek. Il a effectué une formidable démonstration lors d’une course rendue difficile par une violente averse survenue à mi-course. Loïc maîtrisa parfaitement la situation. Il géra sa course avec adresse et intelligence. C’est avec 9 secondes d’avance sur son dauphin que Loïc franchit le drapeau à damier. L’A1 Team France retrouve ainsi les joies de la victoire après une longue période d’abstinence qui durait depuis le Mexique 2006 ! Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, la France pointe désormais en tête du championnat à égalité de points avec la Nouvelle-Zélande.

L’embrayage et un problème électrique gâchèrent malheureusement les efforts de Loïc Duval lors de la « Feature Race » où il offrait pourtant une nouvelle démonstration de pilotage.

Quoi qu’il en soit, Olivier Panis, le directeur sportif du team, affichait sa satisfaction. « Notre mission du week-end est presque accomplie, puisque nous sommes revenus à égalité de points avec la Nouvelle-Zélande en tête du championnat ».

Loïc Duval, pour sa part, ne boudait pas son plaisir: « J’avais vraiment à cœur de quitter Sydney avec au moins une victoire : c’est fait ! Celle-ci fait du bien à toute l’équipe. Nous sentions venir ce résultat depuis plusieurs courses mais n’avions jamais vraiment pu concrétiser. Mon abandon dans la deuxième course est décevant, bien sûr, mais nous avons tous fait notre maximum pour voir la ligne d’arrivée. Ce week-end, nous étions une nouvelle fois dans le rythme et nous n’avons pas commis d’erreur. Nous sommes désormais à égalité de points avec notre concurrent direct : il nous reste quatre rendez-vous pour passer devant… et y rester ! »

Seul problème, l’équipe de France va sans doute devoir se passer des services de Loïc Duval lors des dernières courses de la saison. Le jeune Français sera en effet retenu par ses obligations au Japon.

« J'ai signé mon contrat au Japon avant que l’A1GP ait commencé, » a-t-il déclaré. « Il est donc peu probable que je sois présent en Afrique du Sud et je ne pourrais, c’est déjà certain, ne pas être sur les trois dernières manches. »
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Pour tout savoir sur Loïc Duval, visitez :
http://www.loicduval.com/home.htm
un site très complet, agrémenté de nombreuses photos et un graphisme agréable.

Loïc Duval en F1 ? C’est que lui souhaitent tous ses supporters. Et si ce bonheur lui arrivait dès 2009 ? Pour ma part, je n’ai pas hésité à l’imaginer dans un scénario que vous découvrirez sur :
http://circuitmortel.hautetfort.com/archive/2008/01/07/course-en-fête-5.html
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