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  • LA F1 DANS L'UNIVERS DE DAVID SAREL

                La F1 fait partie intégrante de l’univers de David Sarel, le héros dont Thierry Le Bras raconte les aventures dans ses romans policiers parus aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac »

                Freddy Vivien, un des héros de Circuit mortel à Lohéac, fut un des pilotes de Formule 1 les plus brillants de sa génération (il est né en 1952 et remporta plusieurs titres de Champion du monde). Le lecteur observera que héros  de fiction issus du Clan Vivia et pilotes réels se mêlent dans l’univers des aventures de David Sarel. Freddy répond ici aux questions du journaliste Sébastien Ménier, un personnage qui jouera un rôle important dans les prochains épisodes des aventures de David.

    SM : Les premiers Grands Prix de la saison se sont déroulés de façon assez conforme à tes prévisions, sauf en ce qui concerne les aléas qui continuent de retarder Kimi Raïkkönen. Considères-tu que Kimi est frappé par la malchance depuis l’an dernier ?

    FV : Si l’on entend par chance la manière favorable dont les événements se produisent, il est incontestable que Kimi Raïkkönen accumule la malchance. La guigne s’acharne sur lui. L’an dernier, Kimi s’est presque toujours montré le plus rapide en course. Injustice du destin, malgré sa domination en piste, Iceman a passé l’année à tenter de rattraper son retard sur le Taureau des Asturies. Il a perdu au moins trente points à cause de défaillances de sa voiture qui ne lui étaient pas imputables.

    SM : Les chiffres parlent d’eux-mêmes en effet. Crois-tu que les Dieux préféreraient le feu à la glace ?

    FV : J’espère que non. Mais en Malaisie, ils ont semblé retomber dans leur errances passées en projetant une autre voiture dans la McMaren de Kimi dès le premier tour.

    SM : Tu nous as promis des anecdotes tout au long de la saison. Que pourrais-tu nous raconter aujourd’hui ?

    FV : Je t’ai parlé de l’atmosphère particulière qui règne en F1. Tout le monde surveille tout le monde. Quand la femme d’un pilote parle avec les membres d’une autre écurie, les observateurs voient son mari changer d’équipe la saison suivante. Bien sûr, c’est encore pire si c’est son agent qui discute avec un autre patron de team. Quand j’étais en F1, mon ami Éric Télor, qui est un avocat renommé, négociait tous mes contrats.

    En 1998, mon écurie m’avait proposé quinze millions de dollars par an pour renouveler mon contrat. Je souhaitais obtenir dix huit millions, et je savais qu’une autre équipe, moins performante mais dotée d’un budget confortable, signerait avec moi pour seize millions. Éric a arraché vingt trois millions par an pour les deux saisons suivantes en faisant croire à l’équipe que si elle refusait, je signerais dès la semaine suivante chez Ferrari. Le patron de l’écurie au sein de laquelle je roulais a signé, soucieux de conserver ma collaboration. Il voulait éviter de me retrouver comme adversaire. Éric a bluffé. Aucune négociation n’avait jamais été entamée avec Ferrari. Il s’est contenté de s’afficher avec le patron des rouges dans le paddock du Grand Prix de Silverstone, puis de laisser échapper devant des journalistes que la couleur de ma combinaison changerait peut-être la saison suivante. Les rumeurs circulent très vite dans le milieu. Dès le lendemain, la presse sportive mondiale évoquait mon arrivée chez le constructeur de Modène.

                « Vivien vengera-t-il son ami Pironi ? lisait-on en première page de couverture d’un grand quotidien national. Sera-t-il le premier Champion du monde français au volant d’une Ferrari ? ».

                Du côté de Modène, où on discutait les salaires des pilotes au titre de la saison suivante, personne n’a démenti l’information. Les pilotes des voitures rouges se montreraient moins exigeants s’ils sentaient la menace de se voir remplacés par un champion du monde. Le jeu des chaises musicales et de la chasse au baquet inquiète les pilotes et leurs agents.

                Éric avait parié sur ce phénomène. Il ne lui restait plus qu’à attendre que Priceley cède à ses prétentions, ce qui n’a demandé que quelques heures.

    SM : un vrai jeu d’intox ?

    FV : Comme je te l’ai déjà expliqué, la F1 est un monde sans pitié. Rien à voir avec l’univers du Club des cinq.

    SM : Pour revenir à l’actualité, le déroulement des premiers Grands Prix modifie-t-il un peu tes prévisions pour le championnat 2006 ?

    FV : Sur un point seulement. Avant Bahreïn, je croyais que Nico Rosberg ferait de belles performances mais qu’il fallait lui laisser un peu de temps car il débutait en F1. Compte tenu de ce qu’il a montré lors des deux premières courses, je pense que son potentiel est encore plus exceptionnel que je le pensais. Ce garçon est tellement doué, intelligent et motivé qu’il pourrait bien gagner son premier Grand Prix dès 2006 !

  • LE TEAM ASTOURE DEDICACE !

    Ce n’est pas un

    Poisson d’avril !

    VENEZ TOUS  A LA PÊCHE AU POLAR !

    Samedi prochain, 1er avril 2006,

    quatre auteurs du fameux Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) dédicaceront leurs livres de 10 heures à 19 heures à l’Intermarché de Pontivy dans le Morbihan.

    L’équipage Astoure pour cette course d’endurance sera composé (par ordre alphabétique) de :

    Thierry Le Bras

    Éric Rondel

    Bruno Ségalotti

    Guénolé Troudet.

    Signalons que Guénolé habite Baud et qu’il « pilotera » donc cette dédicace sur une piste qu’il connaît parfaitement et qui lui est chère. Devant son public, devant ses amis, il sera particulièrement motivé pour entraîner le Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) vers des records de signatures jamais atteints jusqu’à présent.

    Les auteurs du Team Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) mettent leurs stylos au point. Samedi matin à la première heure, ils les feront chauffer pour être prêts à lancer leurs plumes à toute allure sur les pistes des dédicaces les plus audacieuses !

  • BRAVO BRIAN !

    IL A SU REBONDIR

    Il n’existe pas de grande carrière sans déceptions ni accidents de parcours. Michel Jazzy, Éric Tabarly, Bernard Hinault, Ayrton Senna, Kimi Raïkkönen, tous ont connu les affres du résultat qui ne correspondait pas à leurs attentes.

    La compétition de haut niveau ne ressemblera jamais à un long fleuve tranquille. Comment pourrait-il en être autrement dès lors qu’elle oppose des concurrents motivés par une volonté de gagner hors du commun ?

                Le propre d’un grand champion est de savoir puiser une nouvelle force dans l’analyse de la compétition qu’il n’a pas réussie comme il le souhaitait.

                Naturellement talentueux, fort mentalement, maître de ses émotions, Brian a prouvé qu’il fait partie de la race des seigneurs en remportant la médaille d’argent aux championnats du monde de patinage artistique. D’autres médailles suivront, dont certaines d’or, n’en doutons pas !

    Et bonne chance au livre de Brian Joubert. Pour ma part, je ne l’ai pas encore lu, mais je compte bien combler cette lacune dans les prochains jours !

                                                                                                                Thierry Le Bras

    PS :

    Les héros de fiction liés au sport ne sont pas nombreux dans la littérature policière. Moins que les commissaires ou les détectives privés en tout cas. Mais depuis quelques mois, David Sarel défend la cause des automobiles Vivia sur les pistes le week-end et celle de ses clients (souvent des sportifs de haut niveau) dans les prétoires durant la semaine.

    « Les personnages de fiction vivent quelque part dans un univers parallèle », affirmait l’écrivain Serge Dalens. Dans ce monde, David s’intéresse aux performances des pilotes automobiles bien sûr, mais aussi de champions d’autres disciplines. Et parmi ses sportifs préférés figure Brian Joubert (cf. chronique du 3 mars 2006 sur ce blog dédié aux aventures de David Sarel, mon personnage récurrent, ainsi qu’à ses coups de cœur et ses coups de gueule qui sont aussi les miens).

    Retrouvez les aventures les plus palpitantes de David Sarel, pilote et avocat, dans les romans de Thierry Le Bras publiés aux Éditions Astoure (cf : http://astoure.site.voila.fr ) , notamment « Circuit mortel à Lohéac » et « Faits d’enfer à Carnac ».