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alexandre dedisse

  • LA PASSION AUTOMOBILE D’ALEXANDRE DEDISSE

    Vivre la course de l’intérieur

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     « J’ai besoin des sensations que procure le pilotage, annonce Alexandre. Je n’abandonnerai jamais mon objectif qui est de devenir pilote automobile »

     

    A 19 ans, le jeune kartman de Baincthun près de Boulogne-sur-Mer vit pour la course. Et il ne ménage pas son énergie afin de  faire coïncider ses rêves avec la réalité.

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    Dans une société française tristement autophobe, allergique à la compétition et méfiante face à l’idée de récompense de l’effort, il est réconfortant de  trouver des jeunes sportifs comme Alexandre qui savent encore construire les fondations d’une carrière sportive. Notre pilote de kart aime l’automobile et s’intéresse à de nombreuses disciplines. Il apprécie un proto ou une GT des années 60. Il adore se battre roues contre  roues sur une piste de kart  et il a hâte de s’installer dans le baquet d’une monoplace.

     

    Une trajectoire tendue vers le sport auto

     

    « Le rêve absolu, c’est la F1, reconnaît Alexandre Dedisse. Mais je sais que les probabilités d’y arriver sont faibles. L’essentiel, c’est de piloter en course et d’en faire mon métier. Intégrer le plateau WTCC me comblerait aussi. Je crois beaucoup en l’avenir de cette discipline qui est médiatisée maintenant et qui attire des constructeurs et des sponsors. A dire vrai, toutes les disciplines du sport automobile me séduisent. Après le kart, piloter en monoplace me plairait bien. C’est juste une question de moyens financiers ».

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    L’argent, problème incontournable dans l’univers des sports mécaniques qui nécessitent un matériel performant et forcément coûteux. « J’aurais ben intégré l’Auto Sport Academy. J’avais 16 ans quand une chaine de télévision a diffusé un documentaire présentant son fonctionnement, témoigne Alexandre. Les caméras avaient suivi la promotion 2010 dont faisaient partie Paul-Loup Chatin et Stoffel Van Dorme. Je me suis renseigné. Et là, le coût m’a stoppé net. Il fallait réunir 140.000 € pour la saison, sans compter les conséquences d’éventuelles sortes de piste ». Alexandre se sent soutenu par sa famille. Son grand-père et son père s’intéressent à l’automobile et à la compétition. Mais accéder aux disciplines offrant des débouchés exige un investissement qui dépasse les sommes susceptibles d’être apportées par une famille, à moins qu’elle soit propriétaire d’une firme internationale.

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    Alexandre ne souhaite pas que ses parents consentent des sacrifices pour lui. Il cherche d’autres moyens d’atteindre son objectif. Parmi eux, l’exercice d’un métier au cœur des sports mécaniques. « J’ai obtenu mon Bac S option Sciences de l’ingénieur en 2013,  Je suis maintenant en 2eme année d'un BTS MCI (moteurs à combustion Interne). Après, je ne sais pas encore quelle voie je choisirai. Soit aller au Mans préparer une licence de mécano sport auto. Ou sur le circuit de Nogaro à l'École de la performance dans la préparation de véhicules de compétition.  Ou encore à l'École de l'Institut Français du Pétrole pour, j’espère, réussir dans l'ingénierie pétrolier en course auto. En tout cas, ce sera une filière qui me permettra de travailler dans le sport automobile et de piloter. »

     

    Alexandre ne manque pas une occasion d’acquérir des connaissances et de l’expérience. Stages, jobs de vacances dans le secteur de la mécanique, assistance d’un copain pilote un week-end où il ne court pas, autant d’activités qui prouvent que le jeune homme ne manque ni d’énergie ni de courage.

     

    Tout a commencé par la découverte des Grands-Prix

     

    « J’étais le seul garçon de la famille, se souvient Alexandre. J’aimais jouer aux petites voitures. Souvent le dimanche, mon père et mon grand-père regardaient la F1 à la télé. Vers 8 ou 9 ans, j’ai commencé à suivre les reportages avec eux. Je me suis immédiatement laissé captiver par les courses au point de ne plus pouvoir m’en passer.

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    « A cette époque, Schumacher gagnait tout ou presque. Il est devenu mon idole de jeunesse.

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    « Mon premier contact avec le karting date de l’année de mes 13 ans. J’étais à Berck, chez mon grand-père. Un jour de plein soleil, il m’a payé quelques tours de kart sur le petit circuit de Berck. J’ai tout de suite adoré.  Les sensations étaient magnifiques. J’ai même aimé mes tête-à-queue de débutant…  Après, à chaque séjour chez papi et mamie, je voulais retourner faire du karting encore et toujours.  Conscient de ma passion, mon père est venu me voir rouler. Par curiosité, il a regardé sur Internet le monde du karting. Nous sommes  allés voir des courses dans la région pour étudier leur déroulement et observer le matériel utilisé. Nous avons acheté mon premier kart de compétition  quand j’avais 14 ans. Nous avons  pris une licence « loisirs » pour rouler quelques week-ends. Nous  avons  progressé sur les réglages et moi, j’ai senti que mon pilotage s’améliorait.

     

    Une progression  régulière

     

    « Je ne vais pas prétendre que j’ai gagné d’entrée. La course demande un apprentissage. Je m’y suis appliqué et j’ai progressé régulièrement. Sans m’inspirer de mes pilotes de F1 préférés. En développant mon agressivité et ma technique tout seul. D’ailleurs, quand j’ai acheté mon premier casque, je n’ai pas reproduit les motifs d’un pilote renommé. J’ai choisi un modèle dont les couleurs étaient assorties à mon kart. Je n’ai jamais cherché à devenir un nouveau Michael Schumacher mais un meilleur Alexandre Dedisse. J’aime les tracés rapides, les grandes courbes. Je suis plus un pilote à l’aise dans les virages qui passent vite qu’un freineur. Attention quand même. Ce n’est pas parce que ce n’est pas mon exercice préféré que je me laisse faire si on vient me chercher au freinage…

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    « J’ai bien senti ma progression au fil des courses. Fin 2012 par exemple, j’ai couru une épreuve du  Championnat de France avec un nouveau châssis. D’entrée, j’étais dans le bon paquet. J’ai fini 5ème après avoir signé le 3ème chrono en course. Je suis monté pour la première fois sur le podium l’année suivante, en 2013. Quatre autres ont suivi la même année. Cette saison, je suis premier pour l’instant du Championnat de ligue (catégorie Nationale 160 kg). Il reste 3 courses. Je vais me battre pour conserver la tête ! »

     

    Alexandre grandit d’année en année. Il ne lui manque que des moyens financiers pour s’imposer au plus haut niveau du karting puis en automobile. Sérieux, calme, réfléchi, à l’aise dans les contacts, Alexandre Dedisse représentera un excellent vecteur de communication pour les partenaires qui s’associeront à son ascension.

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    Les Établissements Lefrancois (http://www.lefrancoistp.com/ ), entreprise de Travaux Publics et de transports située à Cleucleu l’ont déjà fait. Puissent d’autres se joindre à cette société afin de mettre en place un programme incluant des opérations de promotion et de réceptif permettant à tous les partenaires du programme de grandir ensemble grâce une synergie gérée dans l’intérêt commun de tous les partenaires.

     

    Rationnel mais humain

     

    S’il travaille sa trajectoire vers le sport automobile de manière rigoureuse et rationnelle, Alexandre n’en reste pas moins humain, attachant, et parfois même… un peu superstitieux. « A chaque fois que je m’installe dans le baquet du kart, c’est en montant du côté moteur, reconnaît-il spontanément. Objectivement, j’ai constaté que  je mettais mon casque, ma minerve et mes gants dans un ordre bien précis, toujours le même.  En outre, ma passion des sports mécaniques est une histoire familiale dans ma tête. Mon père est mon mécanicien .J’aime qu’il soit à mes côtés les week-ends de course. Une fois, il n’a pas pu venir. Il m’a manqué. Nous avons un rite tous les deux. Avant  chaque manche, il me donne une grosse poignée de main. Ça contribue à me motiver et à me mettre dans les meilleures dispositions avant la compétition. »

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    Alexandre fait aussi partie des pilotes qui manifestent des préférences quant à leurs numéros de course. « J’aime avoir un numéro comportant un 7. Mon préféré est le 17. C’était le numéro de mon père quand il participait à des compétitions de speed-sail dans sa jeunesse. Aujourd’hui, le 7 et le 17 sont souvent indisponibles  car déjà choisis par d’autres pilotes. Alors, j’ai décidé de prendre le numéro 71 qui est l'inverse du numéro 17. »

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    Au quotidien, Alexandre roule dans une Honda Prélude. Il adore cette voiture qu’il a trouvée à quelques kilomètres de chez lui. Elle l’a incité à s’intéresser à la marque et à ses modèles sportifs. Il se reconnaît volontiers sensible au mythe Ferrari. Mais si une écurie lui offre dans quelques saisons l’occasion de défendre les couleurs d’autres constructeurs, nul doute qu’il le fera avec cœur, énergie et talent. Car l’histoire d’Alexandre Dedisse et des sports mécaniques ne fait que commencer. Nous aurons l’occasion d’en reparler, c’est certain. Rendez-vous est pris pour suivre l’ascension d’Alexandre dans le monde fascinant des sports mécaniques !

     

    QUELQUES LIENS A SUIVRE

     

    Pour en savoir plus sur Alexandre Dedisse et le contacter :

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    * sa page Facebook : https://www.facebook.com/alexandre.dedisse.210

    * son compte Twitter : https://twitter.com/ADedisse

     

    Yoann Bonato, un des meilleurs rallymen français - dont Alexandre est supporter - développe des opérations de communication audacieuses et  efficaces avec ses partenaires ! http://www.youtube.com/watch?v=ByZnPgeQVTI

     

    L’ascension commune d’une entreprise et d’une écurie (docufiction) grâce à un partenariat sportif  http://bit.ly/1i6dakx

     

    Une autre histoire de jeunes pilotes, avant  http://0z.fr/povoC

     

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    Thierry Le Bras