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LA NAISSANCE DU CLAN VIVIA (3)

LE CLAN VIVIA (3)

Pilote automobile le week-end, avocat pendant la semaine, David Sarel se trouve au centre d’enjeux considérables, donc dangereux. En outre, la seconde épouse de son père, une dangereuse aventurière, souhaite sa mort… Un cocktail de périls et de suspense en perspective.

Les aventures de David sont rapportées dans les romans policiers publiés par les Éditions Astoure. La première s’intitule « Circuit mortel à Lohéac ». Ce livre est disponible en librairie, ou à défaut sur commande à l’éditeur (9 € franco de port) : Éditions Astoure, 22240 SABLES-D’OR-LES-PINS.(cf : http://astoure.site.voila.fr  ).

Ce blog apporte des détails et anecdotes complémentaires sur David et ses proches qui ont formé le Clan Vivia.

Pour respecter l’ordre chronologique, commencez votre lecture par la note mise en ligne le 21 février 2006.

La naissance du clan (3)

            Au fil des années, la gamme Vivia s’est développée. Fin 1981, une GT rivale des Porsche est venue s’ajouter au petit coupé 2 places d’origine. La GT a affirmé ses qualités en rallye, en course de côtes, et même aux 24 Heures du Mans.

Puis le modèle initial est devenu un 2+2. il a reçu une nouvelle gamme de moteurs, un 2 litres atmo, un 2 litres turbo…

            Éric, le parrain de David,  a continué à piloter des Vivia et à enrichir le palmarès de la marque. Parfois, Freddy Vivien s’échappait des GP de Formule 1 le temps d’une course d’endurance avec lui (cf. Circuit mortel à Lohéac).

            « La vraie vie ne ressemble pas au Club des cinq, se plait encore à rappeler David. Ni à un long fleuve tranquille. Il existe dans tout environnement des personnes dont la seule fonction sociale est de nuire aux autres. »

            Un constat effectué aussi par Freddy dès son arrivée en F 1.

            « J’ai découvert une nouvelle vision du monde, se souvient encore Freddy âgé aujourd’hui de 53 ans. Des tas de prétendus vieux copains ont retrouvé ma trace. Ils ne cherchaient qu’une chose. Me taper du pognon ou se faire embaucher chez Vivia. Des aigrefins de toutes natures m’ont proposé des placements aux rendements inimaginables, des solutions de défiscalisation qui m’auraient amené directement derrière les barreaux, des villas de rêve dans des pays qui ne figuraient sur aucune carte, des bijoux destinés à une clientèle d’émirs, et j’en passe… »

Freddy Vivien apprit à se méfier de tout et de tout le monde. Il n’accorda sa confiance qu’à Éric.

            D’un naturel plus méfiant que son ami, Éric ne se faisait guère d’illusions sur les arcanes de l’âme humaine. Ses études de droit et son entrée de la profession d’avocat renforçaient sa conviction qu’il ne faut accorder sa confiance qu’à de rares personnes.

            Ce fut ainsi qu’Éric et Freddy instaurèrent de manière informelle l’esprit du Clan Vivia, une sorte de famille où ne seraient admis que quelques proches. Leurs épouses, leurs enfants lorsqu’ils en auraient, David, le filleul d’Éric, ses copains Nick Vareski et Denis Grenier, ainsi que Mickaël Mermant, un ami illustrateur qu’ils appréciaient beaucoup.

            Quelques autres personnes de qualité viendraient ensuite s’intégrer au clan ou s’associer à lui.

            Au sein du Clan Vivia, la solidarité était totale. Ses membres s’étaient choisis. La trahison n’existait pas.

            Tous savaient qu’ils devaient se serrer les coudes. Car ils ne manquaient pas d’ennemis…

A suivre (le 2 mars 2006 : la première victoire de David)

Pour en savoir plus sur les aventures de David Sarel, découvrez Circuit mortel à Lohéac », le roman de Thierry Le Bras. Ce livre est disponible en librairie, ou à défaut sur commande à l’éditeur (9 € franco de port) : Éditions Astoure, 22240 SABLES-D’OR-LES-PINS.(cf : http://astoure.site.voila.fr )

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