PROJETS D'ASSASSINAT CONTRE DAVID SAREL (27/02/2007)

David Sarel est le personnage récurrent des romans publiés par Thierry Le Bras aux Éditions Astoure (*). Cette série comprend pour l’instant trois titres :

- Circuit mortel à Lohéac ;

- Faits d’enfer à Carnac ;

- Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans.

D’autres suivront dès 2007.

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            - Vous avez de la chance de ne pas avoir été assassiné, confie Luc Jaffré à David Sarel sur le ton de la confidence.

            Luc Jaffré est commissaire de police (1, 2 et 3). Il apparaît dans les trois premières aventures de David. Mais si Luc a tenu à s’entretenir discrètement avec David ce mardi 27 février 2007 à l’occasion d’un déjeuner au domicile d’Éric Trélor, le parrain et associé de notre héros, c’est parce qu’il a recueilli une information terrifiante auprès d’un de ses indicateurs.

            - Je sais, répond David. J’ai échappé à la mort plusieurs fois, et pas seulement lors d’accidents en course automobile.

            - Et vous êtes encore menacé, enchaîne Luc. Soyez très prudent, faites très attention. Selon mon informateur, monsieur Gianetti, monsieur Pierre Hasselinec, le successeur de votre père dans ses affaires immobilières, et votre belle mère, Soizick Pierret-Sarel, songent à un attentat contre vous.

            - Je sais qu’ils ont tous des mobiles, soupire David. Gianetti veut se venger d’affaires (2 et 3) où j’ai déjoué ses plans. Hasselinec a magouillé des opérations louches avec mon père et il redoute les conséquences des investigations que j’ai confiées à la famille Delagano et à Benjamin (3). Quant à la morue, ma sinistre belle-mère, elle sait que je vais lui faire cracher tout le pognon détourné de l’héritage au mépris de ma part réservataire. Donc, ils ont tous intérêt à me faire buter.

            - Selon mon informateur, ils hésitent à passer à l’acte parce qu’ils ont peur de quelque chose.

            - Je m’en doute, commente David. Malgré son QI d’huître, la morue se doute sûrement que j’ai pris des précautions maintenant et qu’il ne suffit pas de me tuer pour enterrer les preuves de ses malversations. Enfin, j’espère, parce qu’elle a tout de même déjà tenté de me faire supprimer (3).

            - Si cette bande de malfrats osait passer à l’acte, ils le paieraient à un prix qu’ils n’imaginent même  pas, intervient Éric.

            - Je m’en doute, mais je préfère ne pas entendre ça, répond Luc.

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(*) diffusées par Breizh

(1) cf. Circuit mortel à Lohéac

(2) cf. Faits d’enfer à Carnac

(3) cf. Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans

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